Étudiante en Master 2 sur le Programme Master Grande Ecole dispensé par Brest Business School, Anna Morizur dispose d’un parcours complet au sein de l’école de commerce bretonne. En effet, elle a également suivi le Bachelor International Management avant d’intégrer le Master de BBS. À travers les différentes expériences d’Anna, qui fréquente l’école depuis maintenant cinq ans, découvrez tous les avantages de Brest Business School.
Quel a été ton parcours avant d’arriver à Brest Business School ?
Avant d’arriver à Brest Business School, j’ai eu un parcours assez particulier. Je suis issue d’une filière scientifique, car au lycée je me suis dirigée vers les STL (Sciences Techniques de Laboratoire). Une fois mon baccalauréat en poche, j’ai suivi une formation en Génie Biologique, puisque j’étais vraiment partie pour faire des sciences, et je me suis rendu compte que ce n’était pas du tout ma voie. Le déclic a eu lieu lorsqu’en été j’ai travaillé chez Decathlon, où j’ai compris que j’aimais le commerce, la vente, le contact avec les clients et je ne m’imaginais plus rester enfermée dans un laboratoire.
Je me suis donc dit qu’il fallait que je me réoriente, ce qui était assez compliqué puisque j’avais un parcours scientifique. L’inscription a été un peu ardue au niveau des écoles, mais BBS recrute sur concours, ce qui m’a facilité la tâche, puisque sur dossier les étudiants privilégiés sont les bacheliers ES. À l’heure actuelle, j’aime toujours la biologie, mais je ne regrette pas du tout mon choix de réorientation.
Comment as-tu connu Brest Business School et pourquoi avoir choisi BBS plutôt qu’une autre école de management ?
Ma mère m’avait parlé de BBS. Je passais souvent devant, mais l’idée d’intégrer une école de commerce ne m’avait jamais traversé l’esprit. Mes parents m’ont donc dit que, si je voulais faire du commerce, ils pourraient financer mes études jusqu’aux années d’alternance. C’est à ce moment que j’ai vraiment considéré l’idée d’intégrer une école de commerce.
Je me suis donc dit que j’allais tenter et tester près de chez moi, parce que je n’avais jamais fait de commerce auparavant. Je ne savais pas encore si ça valait le coup de partir loin, de prendre un appartement, sans avoir la certitude de ce que je voulais faire. J’ai également tous mes amis dans le coin, donc cela a joué dans mon choix. On peut dire que j’ai opté pour le confort, puisque je me réorientais et que c’était déjà assez compliqué pour moi.
Comment s’est déroulée ton admission au sein de Brest Business School, notamment ton Talent Day (concours d’entrée) ?
Même sans notions dans le domaine du commerce, j’ai eu l’opportunité de me démarquer à travers mon dossier et le concours d’entrée. Mon Talent Day s’est plutôt bien passé, il n’y a pas de préparation particulière. J’avais juste un peu peur pour l’anglais, épreuve pendant laquelle je me suis retrouvée avec un autre candidat avec qui je devais échanger en anglais.
Parmi les autres épreuves, il y a un travail de groupe à faire pour observer notre comportement au sein d’un groupe, un exercice de synthèse dans lequel on doit résumer ce qu’on a vu dans une vidéo… Le concours d’entrée n’est pas si compliqué que ça, il est à la portée de tous. En réalité, le fait de provenir de filière scientifique n’est pas un réel problème en école de commerce, puisqu’ils recherchent des profils capables de s’intégrer et de s’adapter à toutes les situations et surtout des personnes qui savent travailler en groupe.
Selon toi, quels sont les atouts de BBS ?
Le gros point fort de BBS est la proximité que l’on peut avoir avec les autres étudiants. C’est une petite école, et on est tous très proches, même de la direction. Il existe un esprit familial au sein de l’école, tout le monde se dit bonjour, même si on ne se connait pas.
D’autre part, les cours dispensés sont très satisfaisants et intéressants. En effet, à BBS, nous avons la chance d’avoir de très bons enseignants. La plupart sont des chercheurs ou des intervenants extérieurs, avec qui nous arrivons à avoir une certaine proximité. Nous avons des professeurs étrangers, qui proviennent du Mexique par exemple, pour nous transmettre les meilleurs enseignements possibles. En général, ce sont de bons professeurs qui ont une sacrée carrière et qui viennent partager leurs expériences professionnelles et leurs connaissances.
Quels sont les enseignements essentiels de ton Master ?
Ce qui est intéressant dans les enseignements de BBS, c’est que l’on peut choisir nos options. Pour ma part, j’ai choisi le Développement International, mais il y a aussi les Ressources Humaines, le Contrôle de Gestion, la Finance, l’Ingénieur d’affaires, le Marketing… On étudie également les stratégies d’entreprise, on réalise des études de cas concrets avec des étudiants internationaux, on va voir les marchés émergents, comment ils évoluent, les opportunités à saisir, du management interculturel, du droit international, de la logistique…
Le programme est très complet, notamment cette année, où les matières sont vraiment toutes très intéressantes. De même, j’apprécie les travaux de groupe, le fait que l’école fassevenir des internationaux dans les locaux français et qu’ils nous imposent de faire des stages afin de nous professionnaliser.
Quels sont les points forts de cette formation ?
Les formations à BBS ont l’avantage de nous laisser nous spécialiser dans un domaine en particulier. Dans mon cas, j’ai opté pour le Développement International, où tous les cours et les intervenants sont anglais. Il s’agit sans aucun doute d’un point à ne pas négliger pour les étudiants qui souhaitent approfondir une langue et devenir bilingues.
Par ailleurs, l’école nous pousse à multiplier les expériences à travers les stages, l’international, ou encore l’alternance, ce qui enrichit notre CV et fait en sorte que ce dernier soit bien chargé, alors que nous sommes encore jeunes et débutons dans la vie professionnelle. Ainsi, nous pouvons nous démarquer par rapport à d’autres candidats.
As-tu suivi tes études à BBS en alternance ? Si oui, quelles sont les entreprises qui t’ont accueillie et quelles sont tes missions ?
Oui, je suis en alternance depuis ma troisième année de Bachelor, et ce au sein de la même entreprise. Je travaille à Brittany Ferries depuis trois ans, au sein des ressources humaines. Brittany Ferries est une entreprise ancrée et iconique de la Bretagne. L’alternance était un choix personnel, car nous ne sommes pas obligés de le faire au cours du Programme Master Grande Ecole.
En ce qui concerne mes missions, en ce moment je ne fais que de la saisie, puisque je suis passée dans le service GPEC (Gestion Prévisionnelle de l’Emploi et des Compétences) en ressources humaines. Jusqu’à présent, nous n’avions pas ce service dans l’entreprise, alors qu’il est très important. Avant ça, j’étais dans le recrutement, la communication, le développementde la marque employeur… Je suis en distanciel depuis mars dernier, et psychologiquement cela devient compliqué. Toutefois, je ne peux pas me permettre de ne pas être efficace, je mets donc ce que je ressens complètement de côté pour continuer à fournir un bon travail au sein de l’entreprise pour laquelle j’exerce.
A-t-il été difficile pour toi de trouver une alternance ?
J’ai trouvé mon alternance pendant que j’étais en Corse, où j’ai effectué mon stage de deuxième année de Bachelor en tant que réceptionniste dans un hôtel de luxe à Bonifacio. C’était donc assez compliqué, parce que je n’avais pas les moyens de me déplacer en présentiel pour les entretiens. Il faut dire qu’avant la crise sanitaire les entretiens en visio n’étaient pas tant envisagés, donc j’ai perdu plusieurs opportunités d’alternance à cause de la distance.
Puis, j’ai vu passer une offre de BBS, qui est partenaire de Brittany Ferries, à laquelle j’ai immédiatement postulé. Les recruteurs ont accepté de me voir en entretien visio, pour ne pas que j’aie à me déplacer depuis la Corse, et l’entretien s’est bien passé. Maintenant, j’y suis depuis 3 ans et je suis très satisfaite de mon travail. Néanmoins, le rythme d’alternance est soutenu et demande beaucoup d’organisation, étant donné que nous passons beaucoup de temps à l’école, à savoir deux semaines à l’école, puis trois semaines en entreprise.
Que retiens-tu de ton expérience en tant qu’alternante ?
Je retiens notamment le quotidien en entreprise, le fait de s’adapter à plusieurs équipes, interagir et rester professionnelle. Grâce à l’alternance, j’ai appris à prendre du recul, à accepter la critique sans prendre les choses trop à cœur… C’est très formateur, autant d’un point de vue professionnel que personnel. Le fait d’être tout le temps en entreprise nous apprend donc à nous adapter à toutes les situations.
[ CLASSEMENT ALTERNANCE 2021 : Brest Business School dans le top 5 ! ]Brest BS maintient plus que jamais son engagement vis-à-vis de l’apprentissage, notamment grâce à un réseau de 400 entreprises partenaires !Source : https://t.co/25RQP7lDh4pic.twitter.com/VecEobnXw4
— Brest BS (@BrestBS) December 7, 2020
Brest Business School dispose de partenaires internationaux qui offrent la possibilité à ses étudiants de suivre leurs études à l’étranger. As-tu eu l’opportunité de profiter de cette ouverture internationale malgré le contexte ?
Malheureusement non, parce que je suis en alternance depuis ma troisième année de Bachelor et l’entreprise où je travaille a voulu renouveler mon contrat en master. Je ne pouvais donc pas me permettre de refuser un contrat en alternance pour aller faire des stages ou partir à l’international. Du coup, je n’ai pas encore validé mon international, puisqu’il faut que je parte 4 mois minimum à l’étranger pour valider mon année.
Au cours de tes années d’étude, as-tu participé à la vie associative de ton école ?
Quand je suis arrivée à BBS, j’étais dans une association où on allait aider des enfants de familles étrangères en difficulté. J’ai été amené à faire des activités avec une petite fille, par exemple. Cette association était en partenariat avec l’école et je peux dire que ce fût une expérience très enrichissante. La vie associative de l’école permet de s’impliquer dans des projets, monter des projets, être trésorier dans un événement par exemple, etc.
Comme je suis en alternance depuis trois ans, je n’ai pas eu l’opportunité de vivre pleinement de la vie associative de l’école. Ce manque de vie étudiante a d’ailleurs été accentué par la crise sanitaire, qui nous force à être à distance depuis maintenant un an.
Ta vie étudiante est-elle comme tu l’imaginais avant d’intégrer BBS ?
Non, pas du tout, mais c’est à cause de la Covid-19 qui a été une catastrophe pour moi. Il n’y a pas eu de remise de diplôme en troisième année à cause de la crise, ni de soirées ou de gala. Je me dis qu’heureusement que j’habite à Brest et que je connais des personnes avec qui je peux organiser quelques sorties, car la vie étudiante a réellement été impactée par la crise sanitaire.
Justement, regrettes-tu quelque chose, ou changerais-tu quelque chose dans tes années d’étude ?
Absolument pas, je suis très contentede mon parcours à BBS. La seule chose que je peux regretter c’est que nous n’ayons pas plus d’internationaux à nos côtés dernièrement, car pendant les années précédentes il y en avait beaucoup plus et c’était génial. Avec eux j’avais une vie étudiante, nous sortions souvent et avions beaucoup d’affinités. Je m’identifiais davantage avec les internationaux.
En somme, que t’a apporté BBS pendant toutes ces années ?
Je dirais la confiance en soi. Au sein d’une école de commerce, nous sommes presque obligés d’avoir confiance en soi et d’avoir confiance en autrui pour les travaux de groupes, pour parler devant les gens lors des oraux… Je suis plus que satisfaite de mes années à BBS, car je me sens prête pour intégrer le marché du travail. Si je devais commencer à travailler aujourd’hui, je sais que j’ai toutes les armes nécessaires pour être opérationnelle dans le monde du travail.
[ PALMARÈS #HappyAtSchool 2021 ]Brest Business School est fière de vous annoncer sa 13ème place dans le classement des écoles de commerce où il fait bon vivre pour les étudiants ! pic.twitter.com/O5tBF2R9xA
— Brest BS (@BrestBS) March 12, 2021
Quels sont tes projets après ton Master à Brest Business School ?
Je prévois de partir un ou deux ans à l’étranger, tout d’abord pour valider mon international, et donc mon diplôme à BBS, et pour ma propre expérience personnelle. J’aimerais bien faire un VIE (Volontariat International en Entreprise) en Asie ou en Amérique du Nord. Mais je m’adapterai selon les offres, car les VIE sont très prisées. Comme je suis en Développement International, je souhaiterais partir assez longtemps pour devenir bilingue et m’adapter à un environnement étranger.
Pour un futur métier, je n’ai pas encore de projet, parce que je m’intéresse à tout. De ce fait, je pense que partir à l’étranger va beaucoup m’aider. J’attends d’avoir plus d’expérience pour voir ce qui me convient le mieux.
Conseillerais-tu BBS à d’autres étudiants qui veulent intégrer une école de commerce ?
Je conseille à tous les étudiants qui souhaitent intégrer une école de commerce de candidater à Brest Business School s’ils envisagent de faire de l’alternance, car c’est vraiment la plus-value de l’école. Il y a un réel suivi vis-à-vis de l’alternance, aucun étudiant n’est délaissé, ni oublié. Enfin, BBS est une école bien classée, qui dispense tous les enseignements nécessaires pour être opérationnel une fois le diplôme en poche. Avec les connaissances et les compétences acquises après 5 années au sein de BBS, les diplômés peuvent compter sur une bonne insertion professionnelle.
