Avec 85 % de ses étudiants en alternance, Brest Business School est aujourd’hui souvent classée parmi le top 3 des relations entreprises. En effet, grâce à ses nombreux partenariats, à savoir environ 400 entreprises, l’école de management a la possibilité de proposer à ses étudiantsentre 200 et 300 offres en alternance, chaque année. Le moins que l’on puisse dire, c’est que BBS excelle en termes de relations entreprises !
Un atout qui ne passe pas inaperçu aux yeux des étudiants, puisqu’ils sont les premiers à opter pour BBS en raison de son engagement vis-à-vis de l’apprentissage. « J’ai choisi Brest Business School, car l’école propose tout un programme tourné vers l’alternance », affirme Martin Claeyssen, étudiant en Master 1 sur le Programme Master Grande École et en alternance chez Crédit Mutuel Arkea. Et ce n’est pas tout ! En plus de dispenser des parcours combinant théorie et pratique, « BBS est la seule grande école de commerce qui délivre le grade de master dans le Finistère », souligne Martin. Un détail susceptible de faire la différence pour les étudiants bretons.
Le parcours enrichissant de BBS
Au sein de l’école de commerce française, trois parcours sont dispensés :
- Bachelor e-business et marketing
- Bachelor International Management
- Master Grande École
Il faut savoir que l’alternance est possible à partir de la deuxième année de bachelor, et ce jusqu’à la fin du master. Par conséquent, sur cinq années d’études, les étudiants ont la possibilité de suivre leur formation en alternance pendant quatre ans, ce qui représente un avantage une fois le diplôme en poche. « À la fin de notre cursus, lorsque nous arrivons sur le marché du travail, nous avons la chance d’avoir suivi des cours enrichissants à l’école et d’avoir découvert de nouveaux savoir-faire grâce à nos alternances », confirme Martin.
Qu’il s’agisse des parcoursenbac+3 ou en bac+5 proposés par BBS, chacun d’entre eux offre aux étudiants des débouchés variés dans le domaine du management, de l’ingénierie d’affaires, du commerce, du marketing, de la communication, de la finance, de la logistique et de la supply chain, de la gestion des ressources humaines…
Une diversité de possibilités qui attirent un grand nombre de jeunes, français ou étrangers. En effet, grâce à son parcours complet et varié, Brest Business School accueille prèsde1300 étudiants, dont 55 % d’étudiants étrangers. Parmi eux, 600 proviennent de Chine, un pays avec lequel l’école de management échange considérablement. Outre la Chine, les possibilités d’échanges sont nombreuses dans d’autres universités partenaires en Europe, en Asie, en Australie et en Amérique.
En plus de valoriser l’international, BBS souhaite également rester fidèle à sa région et mettre régulièrement en valeur son territoire, en créant des partenariats avec des entreprises locales, aussi bien dans le secteur de la banque, des assurances, de l’agroalimentaire, de l’industrie, ainsi qu’avec diverses PME qui caractérisent le territoire économique breton, notamment du Finistère.
Un programme flexible et avantageux
Il est bien connu que l’alternance est très appréciée et prisée par les étudiants en études supérieures. Effectivement, en plus d’offrir aux jeunes une expérience significative dans le domaine dans lequel ils évoluent, elle leur permet également de recevoir un salaire et de voir leurs frais de scolarité entièrement pris en charge par l’entreprise qui les accueille. « En dehors du fait qu’on soit rémunéré et que l’alternance nous paie notre école, ce type de parcours demeure très enrichissant, car je rencontre de nouvelles personnes tous les jours. De même, l’expérience acquise en alternance représente un gros plus sur le CV et elle nous permet de développer notre réseau », soutient Martin.
L’alternance : un réel atout pour le CV
« Grâce à l’apprentissage, deux tiers des étudiants en contrat de professionnalisation ou d’apprentissage se voient proposer une embauche. » C’est ce qu’affirme fièrement Pascal Régnier, responsable du service alternance à Brest Business School.
En somme, l’alternance est bénéfique pendant le cursus, puisqu’elle permet aux étudiants d’approfondir leurs connaissances et leurs compétences. Toutefois, elle l’est également pour leur avenir. Effectivement, « l’alternance permet aux étudiants de donner une orientation à leur formation et ainsi un positionnement sur le marché du travail à la sortie de l’école », explique Pascal Régnier. Une chose est sûre, plus le jeune est inséré dans le monde professionnel, plus il aura des facilités à décrocher son premier emploi.
« Mon rôle est donc d’aller promouvoir ce dispositif épatant auprès des étudiants de l’école, car il offre l’opportunité d’adosser une expérience professionnelle à un diplôme », garantit le responsable du service alternance. À BBS, et ce selon leur profil, leur orientation, leur projet personnel et leur spécialisation, les étudiants ont la possibilité de choisir un poste en alternance dans de nombreux domaines, ce qui fait la force du programme proposé par l’école de management.
Toutefois, même si elle est vivement conseillée, l’alternance n’est pas obligatoire pour valider son année à BBS. Selon Pascal Régnier, « l’alternance est un service qui est proposé et non imposé. Les étudiants peuvent faire le choix de rester réguliers et de suivre des stages, sans avoir l’obligation de faire de l’alternance. »
Des contrats pour tous et à n’importe quel moment
« Au sein de l’école, les étudiants peuvent signer un contrat à tout moment », assure le chargé des relations entreprises. En effet, « depuis l’instauration de la loi “Avenir Professionnel” et les précisions sur l’orientation en faveur de l’apprentissage, les circonstances se sont assouplies et permettent de favoriser les signatures de contrats d’apprentissage à tout moment », explique-t-il. À certaines périodes, ce dernier signe des contrats d’une semaine à l’autre, tant la mise en relation entre les étudiants et les entreprises est forte à BBS.
Grâce à cette loi orientée sur l’apprentissage, le dispositif de l’alternance au sein de l’école de commerce ne cesse de se développer à travers ces deux contrats existants depuis maintenant plusieurs années, à savoir le contrat de professionnalisation et le contrat d’apprentissage. « Depuis 4 ans, nous sommes passés de 70 % de contrats d’apprentissage à presque 95 % », déclare-t-il.
D’après le responsable du service alternance, « on commence le contrat d’alternance quand on veut. Une fois que l’apprenti a trouvé le bon projet, avec la bonne entreprise et que l’entreprise a trouvé le bon profil, pour le bon poste et idéalement avec le bon tuteur, on signe le contrat. » Une flexibilité qui permet aux étudiants de ne pas angoisser face aux dates limites souvent fixées dans les grandes écoles d’études supérieures.
Enfin, les étudiants peuvent également opter pour l’alternance en cours d’année. Par exemple, s’ils ont choisi la formation initiale au premier semestre, mais qu’ils changent d’idée au fil du temps, il suffit qu’ils le fassent savoir avant d’entamer le second semestre. « Un élève peut donc commencer avec un statut d’étudiant régulier au premier semestre, puis engager des démarches, profiter des différentes réunions d’information, avant de confirmer son inscription au dispositif alternance en vue du second semestre de l’année en cours », explique Pascal Régnier.
Un rythme adapté aux déplacements
Le rythme d’alternance de Brest Business School n’est pas commun. Il correspond, la plupart du temps, à trois semaines en entreprise, puis deux semaines à l’école. « Je trouve ce rythme vraiment super, car pendant les trois semaines d’entreprise j’ai vraiment le temps d’être concentré sur mes dossiers et de travailler tranquillement », avance Martin.
Et ce rythme n’a pas été choisi au hasard ! « Nous avons choisi ce rythme, car certains de nos étudiants sont en alternance un peu partout en France », affirme Pascal Régnier. De fait, entre 15 et 20 % des étudiants de BBS sont en alternance à Paris ou en Île-de-France. 70 % sont en Bretagne, et le reste un peu partout en France. Certains étudiants profitent même de ce rythme pour effectuer leur alternance à l’étranger : « Il y a deux ans, j’ai eu un étudiant qui était délocalisé en Espagne, près de Barcelone. Avec ce rythme, la mobilité des jeunes est beaucoup plus simple », ajoute-t-il.
Mais ce n’est pas tout ! L’école de commerce adapte également son rythme d’alternance au cursus suivi par les étudiants, ainsi qu’à leur niveau d’études et à l’entreprise qui les accueille. C’est le cas des étudiants en bachelor, qui ont tendance à effectuer leur alternance dans des entreprises liées au commerce. En effet, ces dernières apprécient que l’étudiant puisse être présent en entreprise le samedi. Par conséquent, le rythme d’alternance varie : les étudiants vont à l’école en début de semaine, puis en entreprise en fin de semaine.
Un accompagnement personnalisé pour chaque étudiant
« J’ai vraiment été aidé dans ma recherche d’alternance », témoigne Martin. Entre restructuration de CV, rédaction de lettre de motivation ou encore recherche d’alternance, BBSaccompagne ses étudiants tout au long de leurs démarches. En réalité, l’école fait part de son engagement envers l’alternance dès que les étudiants y mettent les pieds. « Très tôt, l’école nous a fait suivre des présentations sur l’alternance, afin de nous expliquer le déroulement, les différents types de contrats existants, les durées possibles… », explique-t-il.
Afin de suivre au mieux les recherches des étudiants, l’école propose des entretiens personnalisésavec Pascal Régnier, qui leur envoie des offres d’alternance une fois qu’il est au courant de la situation et du domaine dans lequel veut travailler chacun d’entre eux. « Nous avons un processus d’accompagnement avec une démarche duale », déclare le chargé des relations entreprises. Ce processus est d’ailleurs présent dans le cadre des cours à Brest Business School. À l’aide d’une approche pédagogique, les enseignants accompagnent les étudiants sur la formalisation de leur projet, pour qu’ils se préparent à leur entrée dans la vie professionnelle.
À BBS, l’étudiant est suivi avant et après la signature de son contrat. Avant, il est accompagné sur les démarches qui l’aideront à bien formaliser son projet professionnel, afin d’être crédible aux yeux des recruteurs. Pendant, le processus d’accompagnement se poursuit. « Tous les mois, j’échange avec les entreprises afin d’obtenir une sorte de traçabilité et une traduction concrète du travail fourni par l’étudiant en entreprise », explique Pascal Régnier. Les étudiants ont eux aussi un rôle important dans cette démarche duale : « chaque semestre, nous devons soumettre un compte-rendu permettant de faire un point général sur notre alternance, en mettant en avant son déroulé, les missions que nous effectuons, les difficultés rencontrées… », affirme Martin.
Enfin, Brest Business School motive ses étudiants en les mettant en avant auprès des entreprises. Lorsqu’une offre d’alternance se présente, Pascal Régnier n’hésite pas à défendre le profil des étudiants et « quand plusieurs d’entre eux sont en concurrence, je mets en valeur les qualités de chacun », souligne-t-il.
Les étudiants en apprentissage le confirment donc, l’une des plus-values de BBS est bel et bien l’alternance !