Se préparer au monde de demain et être capable d’affronter les nouveaux défis : voilà ce que recherchent plus que jamais les nouveaux diplômés qui veulent faire la différence, mais aussi les entreprises qui ont besoin de recruter des profils dynamiques et conscients des nouveaux enjeux.
Aujourd’hui, si les compétences techniques demeurent importantes pour les étudiants et les jeunes actifs, elles ne constituent plus le levier principal de recrutement pour les entreprises. En effet, leur niveau d’obsolescence est tel qu’il devient difficile de recruter un jeune diplômé sur la seule et unique base de ses savoir-faire techniques ou de son niveau de diplôme.
Aussi, les employeurs tendent à reconnaître et apprécier davantage les « soft skills » dans leur process de recrutement. Traduites en français comme des compétences humaines ou transversales, les « soft skills » sont des compétences durables qui favorisent à la fois la compréhension des grandes transformations et une capacité à évoluer dans son métier, ainsi que sa fonction. Stephan Galy, Président et Fondateur d’IRIIG, partage ses conseils, pour mettre toutes les chances de son côté et décrocher le « bon job » après un bac+5.
Créée en 2019 par des entrepreneurs français, IRIIG est la première école 100 % dédiée au management de l’innovation et à l’impact qui prépare les futurs acteurs de la transformation des entreprises.
6 compétences clés à développer pour une carrière riche et durable
Si les savoirs fondamentaux restent une condition essentielle pour être employable, IRIIG a choisi, dans le cadre de ses programmes de poursuite d’études (MSc et MS*) de mettre au cœur de sa pédagogie le développement de six compétences transversales pour accroître sa capacité d’apprendre à apprendre, compétence indispensable et non périssable au XXIe siècle : les « 6C ». « Ce que nous nommons les “6C” est le résultat d’études réalisées par des neuroscientifiques et des psychologues afin de déterminer une approche différente et plus durable des compétences », explique Stephan Galy, Président et Fondateur d’IRIIG. « Ces compétences ne servent d’ailleurs pas seulement dans la vie professionnelle. Elles font partie des capacités que chaque citoyen devrait être en mesure d’exercer et de développer tout au long de sa vie », explique-t-il.
Mais alors, que signifient ces « 6C » ? D’abord, « 4C », résultats d’études neuroscientifiques et psychologiques, qui ne sont autres que la créativité, l’esprit critique, la communication et la coopération. « Ces 4 compétences, combinées entre elles, représentent le socle nécessaire à cette fameuse compétence impérissable : « apprendre à apprendre », témoigne Stephan Galy. À ces « 4C », IRIIG en a ajouté 2 : le courage et la confiance, qui composent le second pilier de la pédagogie de l’école : « Entreprendre pour apprendre, car il n’est que dans l’action que l’apprentissage et les transformations puissent se faire », ajoute le président.
Et comment les acquérir ? Grâce à une pédagogie axée sur l’échange et le partage. « La créativité, ce n’est pas seulement développer une approche artistique ou originale des choses. C’est un savoir qui se développe à partir d’une bonne culture générale et de méthodologies reconnues comme le Design Thinking », explique Stephan Galy.
Le Design Thinking est une nouvelle méthode centrée sur l’humain qui consiste à mêler pensée analytique et pensée intuitive. La démarche vise à solutionner un problème ou développer un projet d’innovation en passant par une approche de cocréation, dans laquelle l’utilisateur final a son mot à dire.
Avoir un esprit critique est aussi indispensable dans ce monde en transformation. « C’est bien de donner son avis, de parler de son ressenti, mais il est important aussi d’être capable de le justifier et de structurer sa pensée, surtout dans un monde où la surinformation et la désinformation règnent », indique-t-il. C’est donc tout naturellement que cette compétence rejoint celle de la communication. Au sein d’IRIIG, l’étudiant aura de très nombreuses occasions de partager, transmettre et convaincre différents auditoires.
- Master of Science « Management des Projets d’Innovation & Entrepreneuriat » (6 spécialisations dont « Management de projets IA »)
- Mastères Spécialisés®* « Manager de Projet d’Innovation » (3 spécialisations)
- Executive MBA Corporate Entrepreneurship & Innovation
- Executive MSc « Entreprendre les Transitions »
Pour développer la coopération et donner vie à cette promesse d’un apprentissage dans l’action, IRIIG a mis en place les missions de conseil étudiantes. Le but ? Permettre aux étudiants de travailler sur des cas concrets d’entreprises qui rencontrent des problématiques d’ordre stratégiques, marketing, prospectives… « C’est nous qui créons les groupes de travail pour que chaque profil d’étudiant coopère au service d’un vrai client. On va mélanger nos étudiants - profils scientifiques, commerciaux, littéraires, artistiques - car c’est de l’hybridation que naît l’innovation », précise Stephan Galy.
Enfin la confiance et le courage sont essentiels pour donner aux étudiants les moyens d’agir. Il est en effet primordial qu’un jeune diplômé qui s’insère sur le marché de l’emploi puisse croire en lui et dans son environnement. « Il faut commencer par accompagner l’étudiant dans la définition de son projet de vie, pour ensuite le conseiller dans la formalisation de son projet professionnel », raconte le Fondateur d’IRIIG. Pour encourager cette génération souvent mal armée, l’école se donne une mission : donner les moyens aux futurs professionnels de réussir.« On leur apprend à avoir le sens du résultat et surtout la capacité à accepter l’échec et à s’en relever, pour les rendre acteurs des transformations inévitables du monde et des entreprises. »
Faire des étudiants des acteurs du changement
Les jeunes diplômés d’aujourd’hui sont de plus en plus mis au défi. Avec des changements géopolitiques majeurs, une réelle urgence climatique ou encore l’arrivée de nouvelles technologies telles que l’intelligence artificielle et l’informatique quantique, ce sont d’importants challenges qui attendent les talents de demain. C’est pourquoi les futurs jeunes actifs doivent avoir des capacités d’adaptation et de réinvention pour apprendre et désapprendre tout au long de leur vie.
Pour ce faire, un travail assidu est nécessaire, ainsi qu’une mise en pratique permanente. « Notre rôle, en tant qu’école qui forme les acteurs de la transformation de demain, est d’encadrer nos étudiants et leur donner les armes pour qu’ils réussissent. Nous faisons aussi en sorte qu’ils aient toutes les compétences nécessaires pour intégrer le marché de l’emploi et qu’ils soient capables de répondre aux enjeux actuels mais aussi futurs, avec le niveau d’engagement attendu par les entreprises », souligne Stephan Galy. « C’est comme un sportif : il a beau être bon et avoir du talent, s’il ne s’entraîne pas, il ne gagnera pas ses matchs », insiste-t-il.
IRIIG opte pour une pédagogie qui responsabilise ses étudiants et les engage dans l’action. En plus de l’alternance, les étudiants réalisent de vraies missions de conseil - jusqu’à 7 suivant le cursus - pour se confronter à la réalité d’une entreprise et développer leur réseau. Ils s’investissent également dans des associations pour soutenir leurs actions et leur développement.
Évidemment, les établissements doivent travailler dur pour proposer à leurs étudiants des programmes en phase avec les besoins du marché et avec ses évolutions. « C’est là tout l’intérêt d’avoir une école à taille humaine, avec volontairement peu d’étudiants, bien sélectionnés et bien accompagnés. Cela nous permet de nous concentrer sur chacun d’entre eux, sur leurs projets, leurs difficultés et d’adapter rapidement nos programmes en fonction des mutations en cours », précise Stephan Galy. Le secret côté étudiant ? « Être motivé, persévérant, créatif et se donner les moyens d’agir. »
*En partenariat académique avec l’ITECH accréditée par la Conférence des Grandes Écoles