Depuis sa création en 1986, l’ISCOM séduit chaque année des milliers d’étudiants à travers la France. La raison ? Un parcours personnalisable selon les ambitions de chacun, grâce à des spécialisations variées de bac +2 à bac +5.
Événementiel, relations presse, social media, design de marque… L’école de communication a tout pour plaire, et ce n’est pas Jean qui dira le contraire ! Étudiant en troisième année du Programme Grande École, dans la spécialisation événementiel, influence et réputation, l’amateur de création de logos se réjouit de son choix. En plein dedans, il raconte, avec enthousiasme, son arrivée à l’ISCOM et ce qui le motive au quotidien dans son parcours.
Une école aux valeurs humaines qui ouvre le champ des possibles
« J’ai découvert l’ISCOM par hasard et je ne pourrais être plus satisfait de mon choix d’orientation. » Il y a trois années de ça, Jean a choisi d’intégrer l’école de communication pour un motif précis : l’aspect humain que celle-ci a pu mettre en avant pendant leurs échanges. « Quand j’ai déposé ma candidature à l’ISCOM, nous étions en période de crise sanitaire et elle a été la seule école à faire le nécessaire pour se rapprocher davantage des candidats », raconte le jeune homme. « À distance, les écoles se ressemblent toutes. Il est donc essentiel de pouvoir mettre les pieds là où l’on va potentiellement passer les prochaines années. »
« Je suis vraiment passé de Jean qui regardait des tutos sur YouTube, à Jean qui rencontre des experts qui lui apprennent toutes les techniques de communication. »
Au-delà de ses valeurs humaines, c’est à travers ses opportunités que l’établissement se démarque. Échanges possibles à l’étranger, confrontation aux réalités du terrain grâce à une immersion totale en entreprise… L’ISCOM forme des professionnels qualifiés qui s’insèrent rapidement sur le marché de l’emploi. « Nous devons réaliser des stages tout au long du parcours, afin de développer nos compétences et de renforcer notre projet professionnel », explique Jean. « En troisième année, notre stage doit avoir une dimension internationale, pour se familiariser avec l’anglais, découvrir de nouvelles cultures et s’adapter à un environnement qui peut ne pas être le nôtre », ajoute l’étudiant.
Passionné de sport, Jean a décidé de mêler études et enjeux professionnels en choisissant la Coupe du Monde de Rugby 2023 pour son stage cette année. Une expérience qui l’a fait gagner en autonomie et évoluer dans ses missions : « Je suis vraiment passé de Jean qui regardait des tutos sur YouTube pour savoir comment créer un logo, à Jean qui rencontre des experts qui lui apprennent toutes les techniques de communication nécessaires pour être un bon communicant. »
Un accès facilité hors Parcoursup
En terminale, Jean a fait le choix de s’orienter hors Parcoursup pour éviter l’angoisse provoquée par la plateforme et ses délais. « Il y a plusieurs concours disponibles chaque mois, donc si l’étudiant sait dès le départ qu’il veut aller à l’ISCOM, il n’a pas besoin de subir le stress de Parcoursup », préconise le jeune homme. « Le processus d’admission des écoles privées est beaucoup plus simple et rapide. On dépose notre dossier, on reçoit les épreuves écrites, puis on passe l’entretien de motivation, et nous n’avons plus qu’à attendre les résultats », renchérit-il.
« L’ISCOM ne cherche pas des profils qui se ressemblent, mais plutôt des profils différents qui ont des projets originaux, en phase avec les enseignements en communication. »
Plusieurs documents doivent être fournis à l’établissement : un CV, une lettre de motivation et le détail de son parcours en tant qu’étudiant. Les épreuves écrites sont, quant à elles, composées de deux QCM en anglais et en culture générale. Une épreuve rédactionnelle en lien avec la communication est aussi au menu pour évaluer les compétences des candidats. « Le niveau d’exigences par rapport à cet examen n’est évidemment pas le même selon le profil de l’étudiant », rassure Jean.
Selon lui, la phase la plus importante reste l’entretien de motivation, qu’il qualifie plutôt comme un échange proche de ladiscussion : « Le but n’est pas de faire stresser l’étudiant, mais vraiment de discuter pour comprendre son projet. » Afin d’intégrer l’école de communication, il est indispensable d’être passionné. « L’ISCOM ne cherche pas des profils qui se ressemblent, mais plutôt des profils différents qui ont des projets originaux, en phase avec les enseignements en communication », précise-t-il.
©David COPPIETERS / Jean Faivre, étudiant en 3e année de Programme Grande École à l’ISCOM
S’informer et s’écouter pour mieux s’orienter
Alors qu’il a dû se débrouiller seul pour se renseigner au mieux sur les établissements d’enseignement supérieur au moment de son choix d’orientation au lycée, Jean joue aujourd’hui un rôle d’ambassadeur pour aider les élèves qui peinent à trouver leur voie. « Le meilleur conseil que je peux leur donner, c’est d’aller chercher les informations par eux-mêmes », incite-t-il. « Il faut qu’ils s’interrogent, fassent des recherches sur internet, aillent sur des salons et se rendent dans les écoles », conseille l’étudiant. « C’est en allant sur le terrain qu’on se rend réellement compte de ce à quoi on peut s’attendre, car on peut échanger avec des étudiants qui vivent l’expérience et qui peuvent répondre à nos interrogations. »
« Les études de communication requièrent de la curiosité, une importante ouverture d’esprit et de grandes capacités d’adaptation. »
Concernant le choix de la trajectoire à emprunter, Jean conseille encore une fois de se faire confiance. « Si l’élève se lance dans quelque chose qu’il n’aime pas, parce que c’était la volonté d’untel, il risque d’abandonner à mi-chemin. » Pour en avoir le cœur net, l’étudiant dévoile une astuce sympa : « Il faut imaginer qu’on t’annonce que tu as été sélectionné par telle ou telle école et être observateur sur ta propre réaction. » D’après Jean, cette méthode permettrait à l’élève de mieux déterminer la voie dans laquelle il souhaite se lancer. « À l’annonce de la nouvelle, réfléchis aux questions que tu t’es posées, aux doutes que tu as pu avoir ou encore à la peur que tu as pu ressentir. »
Si c’est en communication que l’étudiant souhaite se spécialiser, alors il faut se préparer avant de se lancer. « Les études de communication requièrent de la curiosité, une importante ouverture d’esprit et de grandes capacités d’adaptation », nous apprend Jean. Des soft skills qui vont se déployer à travers les programmes de l’ISCOM, cette école qui « se démarque, car elle met l’accent sur l’humain et l’individu. »
