Pourquoi j’ai choisi Digital School of Paris 

Maxence rêve d’une seule chose depuis son adolescence : travailler dans le milieu de la bande dessinée japonaise, le manga. Pour ce faire, il s’est orienté vers le monde de l’édition, mais après plusieurs années d’études dans les métiers du livre et quelques stages, il se rend compte qu’il a besoin de plus d’expérience pour intégrer ce monde très fermé. C’est pour cette raison qu’il décide d’entrer cette année en MBA Expert Digital Marketing à Digital School of Paris. Il nous raconte...
Mis à jour le / Publié à 15h41 — Sponsorisé par Digital School of Paris.
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Pourquoi j’ai choisi Digital School of Paris 

Maxence rêve d’une seule chose depuis son adolescence : travailler dans le milieu de la bande dessinée japonaise, le manga. Pour ce faire, il s’est orienté vers le monde de l’édition, mais après plusieurs années d’études dans les métiers du livre et quelques stages, il se rend compte qu’il a besoin de plus d’expérience pour intégrer ce monde très fermé. C’est pour cette raison qu’il décide d’entrer cette année en MBA Expert Digital Marketing à Digital School of Paris. Il nous raconte...

Tu voues une passion pour le manga. Quand est-ce que ton intérêt pour la BD nippone a commencé ? 

C’était au collège pendant une heure de permanence. J’avais fini tous les travaux à faire à la maison et je me suis mis à dessiner, parce que je n’avais rien d’autre à faire. On m’a grondé parce que je dessinais, donc il fallait que je trouve une autre activité. Je me suis dit « J’aime bien les dessins animés donc je vais me mettre aux mangas », et c’est à partir de ce moment que j’ai commencé à en lire. 

Qu’est-ce qui te passionne particulièrement dans les mangas ?

Je dirais que ce sont les histoires, le style de dessin et la variété des sujets. On peut trouver un manga sur n’importe quelle thématique. Par exemple, si on cherche bien, il y a une offre de mangas sur la plomberie. 

Quel a été le moment où tu t’es vraiment dit que tu voulais travailler dans ce secteur ?

C’était fin collège voire début lycée, quand je me suis mis à lire un manga particulier : Bakuman.  Je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire à cette époque. Dans cette BD, on suit les aventures de deux jeunes auteurs de manga et on y découvre le milieu de l’édition. Donc je me suis dit : pourquoi ne pas travailler dans ce secteur.  

Peux-tu nous détailler ton parcours ? 

Lorsque je suis entré dans l’enseignement supérieur, j’ai suivi un DUT métiers du livre. Pendant ces deux années, j’ai fait plusieurs stages : un premier en librairie et un deuxième en maison d’édition. 

J’ai ensuite fait une licence professionnelle en communication, avec un stage en agence de voyages en tant que CRM (Customer Relationship Management, gestion de la relation client). 

Après mon bac+3, j’ai suivi un master commercialisation du livre, complété par deux stages : l’un en droit de reproduction dans une maison d’édition française et le second en marketing dans une maison d’édition de BD. 

Aujourd’hui, je suis un MBA 2 en marketing en alternance à F2I de Digital School of Paris. 

Quand tu t’es lancé dans l’enseignement supérieur puis le monde du travail, tu as eu des difficultés à accéder au secteur de l’édition par la suite. Pourquoi ?

On entre très difficilement dans le milieu de l’édition lorsqu’on n’a pas de réseau ni d’expérience. Quand on ne connaît personne dans ce milieu, c’est un fonctionnement compliqué. Il faut vraiment jouer de ses connaissances ou avoir de la chance. C’était le cas pour ma première expérience dans l’édition.Un jour, j’ai lancé comme on lance une pierre dans l’eau, sans attendre de retour, une candidature chez un éditeur de manga français et j’ai eu une réponse positive. 

Est-ce que tu as déjà rencontré d’autres jeunes qui veulent travailler dans le manga et est-ce qu’ils ont aussi eu des difficultés ? 

Oui, c’est aussi difficile pour eux, que cela soit dans la littérature ou dans la bande dessinée d’ailleurs. Ceci étant dit, le manga est assez « select » : il y a beaucoup de gens qui cherchent à y entrer et peu de places disponibles.  

Quelle est ta meilleure expérience professionnelle ?

J’en ai eu deux. D’abord, mon premier stage en maison d’édition chez Glénat, où l’équipe était très gentille, très pédagogue, j’ai appris énormément de choses, j’ai vraiment vu que l’édition du manga me plaisait énormément. La deuxième était mon poste en tant que CRM en agence de voyages, où je me suis rendu compte qu’animer les réseaux sociaux, faire de la veille sur internet, faire des articles pour le web, me plaisait beaucoup également. 

Depuis septembre, je suis d’ailleurs en alternance dans l’édition. J’apprends beaucoup. Je vois un peu l’évolution du marché du livre, comment cela se passe selon les périodes et les sorties, c’est très intéressant. 

Pourquoi avoir choisi le MBA Expert Digital Marketing de Digital School of Paris ? 

J’ai choisi un MBA Digital parce que mon expérience en tant que CRM dans l’agence de voyages m’avait plu. Puisque c’est difficile d’entrer à un poste éditorial, j’ai pensé que passer d’abord par le métier de CRM dans une maison d’édition pourrait m’aider ensuite à accéder au marketing éditorial.

Pourquoi avoir sélectionné ce MBA plutôt qu’un autre ? 

Le MBA de Digital School of Paris était la formation qui me demandait le moins de présence, moins d’entretien et moins d’épreuves, tout en ayant un programme approprié.

Au moment où je postulais, j’étais en stage et je n’avais pas forcément la possibilité de me libérer, sans compter la rédaction d’un mémoire, donc c’était un peu compliqué. 

Quels sont les points forts de ton école ?

Je n’en suis qu’au début de ma formation pour le moment, mais je pense que c’est la diversité des intervenants et leur expérience. Il y a aussi une belle diversité des profils au sein d’une même promotion. 

Et quels sont les points à améliorer selon toi ? 

Je dirais que puisque les étudiants ont tous des profils très différents, il faudrait essayer de classer davantage les groupes par niveaux, selon les cours pour que, par exemple, les étudiants qui connaissent très bien les logiciels de PAO ne s’ennuient pas pendant et que ceux qui sont moins calés suivent le cours à leur rythme.

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