Un jeune salarié sain dans un environnement sain… et vert ! C’est ce que préconise une nouvelle enquête réalisée par l’Ifop pour WO2, expert en promotion immobilière de bureaux bas-carbone.
L’étude a été réalisée en novembre 2023, auprès d’un échantillon de 1 011 personnes, âgées de 18 à 34 ans, déjà en poste ou préparant leur entrée dans la vie active. Elle révèle qu’aux côtés de l’intérêt des missions, de l’ambiance de travail ou d’un salaire intéressant, les jeunes actifs aspirent également à des locaux dans lesquels il fait bon vivre. Ils voient même d’un meilleur œil les aménagements qui reflètent un engagement environnemental fort.
Aménagements et engagement environnemental fort : des critères prioritaires pour rejoindre une entreprise
90 % des 18-34 ans affirment que la qualité des bureaux (« espaces de convivialité, salles de réunions équipées, phone box, végétation intérieure, mobilier design, etc. ») est déterminante dans leur décision de rejoindre ou non une entreprise. Ils sont 92 % à estimer que l’engagement environnemental d’une organisation est important dans leur décision de la rejoindre.
Orientation, travail, écologie : la quête de sens des jeunes
6 sondés sur 10 estiment que l’amélioration de la performance énergétique des bureaux fait partie de cet engagement. Par ailleurs, ils sont40 %à juger que « cet engagement doit se traduire en priorité par des bureaux à haute performance environnementale ». Pour ces jeunes actifs, des locaux bien aménagés et qui mettent en avant la sobriété énergétique constituent donc un eldorado.
Les bureaux à faible empreinte carbone séduisent les jeunes actifs
Les bureaux bas-carbone se positionnent comme des atouts de séduction pour les entreprises, au moment d’attirer les jeunes générations.
7 sondés sur 10 se déclarent même prêts à allongerson trajet domicile-travail, jusqu’à 15 minutes, pour travailler dans des bureaux « de dernière génération à haute performance environnementale ».
Cela pourrait être un argument de taille pour inciter les organisations à passer au vert, en interne. C’est peut-être aussi là un éventuel levier d’action pour réconcilier les plus récalcitrants avec leprésentiel. Pour rappel, une étude publiée en 2022 révélait que 1 jeune âgé de 18 à 24 ans sur 2 était prêt à démissionner s’ils n’avaient pas la possibilité de télétravailler.