Stun Game Jam à Epitech Rennes : 48h pour créer un jeu vidéo !

Les 17, 18, et 19 mai a eu lieu à Rennes le Stun Fest, un festival dédié aux jeux vidéo
Mis à jour le / Publié à 14h14 — Sponsorisé par EPITECH - Rennes.
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Stun Game Jam à Epitech Rennes : 48h pour créer un jeu vidéo !

Les 17, 18, et 19 mai a eu lieu à Rennes le Stun Fest, un festival dédié aux jeux vidéo. En amont, Epitech Rennes a accueilli la Stun Game Jam, grâce à l’organisation de l’association Indie Collective et 3 Hit Combo.

Les participants ont eu 48H pour créer un jeu vidéo dont le thème était « la mire » (une image d’étalonnage pour la télévision). Trois étudiants d’Epitech Rennes ont participé, parmi une trentaine de personnes présentes, étudiants d’autres écoles ou professionnels du métier.

Mener des projets ? Facile pour les étudiants d’Epitech

Guilian Ganster et Ghassane Sebaï, tous les deux étudiants en première année à Epitech Rennes, ont accepté de nous raconter ces deux journées de réalisation d’un jeu vidéo. Ils ont décidé de travailler ensemble et avec un troisième étudiant du campus rennais.

Dès l’annonce du sujet, les trois collègues se sont répartis les rôles entre eux, sans perdre de temps. « On a l’habitude de travailler sur des projets chez Epitech, alors contrairement aux autres équipes qui ont mis du temps à trouver un sujet, pour nous, c’est venu très vite », raconte Guillian.

Créer un jeu vidéo en 48 h

La mire s’apparentant au domaine de la télévision, la plupart des équipes se sont tournées vers ce thème. Les étudiants d’Epitech ont, au contraire, préféré créer un jeu vidéo sur la publicité dans la télévision.

«Nous avons imaginé un jeu vidéo de plateau où deux personnes s’affrontent. Ce sont des annonceurs de publicité, et ils doivent réussir à capturer le plus de fréquences ou de chaînes de télévision possibles. Les joueurs se volent des chaînes, protègent les leurs, et le gagnant est celui qui en a le plus à la fin de la partie », explique Guilian.

Répartition des rôles et efficacité

Les participants ont beaucoup aimé le format de cette Game Jam puisqu’il n’y avait pas de compétition, le thème était assez large, et ils ont pu être très libres dans le scénario du jeu. Ghassane s’est occupé du graphisme, des musiques, et du code du jeu ; tandis que Guilian a codé les ficelles et les comportements du jeu.

Ce dernier raconte : «Quand je code un jeu, j’essaie de créer des parties indépendantes pour après les mettre ensemble, comme pour un jeu de lego».

Quant à Ghassane, également développeur, mais aussi porté sur le graphisme visuel et auditif, a lui aussi adoré travailler sur cette Game Jam : « le thème nous a permis d’imaginer tout ce qu’on voulait, de construire un projet de A à Z sans avoir de rendu spécifique ».

Présentation officielle pendant le StunFest

Avoir seulement deux jours de prototypage peut être une contrainte pour les créateurs de jeux vidéo. Pourtant, les deux amis et collègues ont, au contraire, aimé devoir réfléchir rapidement et produire de manière consciencieuse.

«Ce qui est vraiment intéressant lors des Game Jam, c’est qu’on peut se rendre compte de tout ce qu’on est capable de créer en seulement un week-end», raconte Ghassane. Et Guilian de renchérir : «Notre jeu a beaucoup plu, car nous avons réussi à y insuffler de la compétition, des challenges, et on a vu que les personnes qui y jouaient y ont pris goût».

Une game jam familiale

D’ailleurs, puisque le prototype de leur jeu vidéo créé en 48H est valide et fonctionne, il a été présenté lors des 3 jours de festival les 18, 19, et 20 mai.

Les deux amis ont adoré l’ambiance de cette game jam. «C’est vraiment familial, tout le monde s’entraide, et puisqu’on avait du matériel pour enregistrer de la musique, on l’a fait pour d’autres équipes», raconte Ghassane.

Des étudiants rigoureux

« On a aussi remarqué qu’on s’appropriait vite le sujet, contrairement à d’autres personnes, très bonnes en théorie, et très compétentes, mais qui avaient plus de mal sur la pratique. Nous, 5 minutes après l’annonce du sujet, on avait déjà commencé à coder », explique Guilian.

« C’est vrai qu’on a plus de rigueur sur certains niveaux du code. Et côté organisation, on était aussi avantagés, on a l’habitude de ce type de projets, alors qu’on est seulement en première année à Epitech Rennes » renchérit Ghassane.

Et bien on a hâte de voir ce que ces étudiants deviendront dans quelques années !!

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