EHL : La Business School fait le pari de l'engagement et de la bienveillance

L’Ecole Hôtelière de Lausanne (EHL) est la meilleure école hôtelière du monde en 2021 selon QS World University Rankings. Mais qu’en est-il de l’avis des étudiants ? Diplomeo s’est entretenu avec deux étudiants de l’EHL, qui confirment cette position et la considèrent comme « une école d’excellence ».
Mis à jour le / Publié à 9h21 — Sponsorisé par EHL.
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EHL : La Business School fait le pari de l'engagement et de la bienveillance

L’EHL (Ecole Hôtelière de Lausanne) est classée meilleure université au monde par QS World University Rankings en 2019, 2020 et 2021 pour le management hôtelier et des loisirs. Elle se classe également 5e meilleure école de commerce en Suisse cette année. Mais qu’en est-il de l’avis des étudiants ? Diplomeo s’est entretenu avec deux étudiants de l’EHL, qui confirment cette position et la considèrent comme « une école d’excellence ».

Louise Genner et Thomas Pradoura étudient à l’EHL depuis maintenant plusieurs années. Tous deux en dernière année de Bachelor, ils vantent les mérites de leur école et recommandent cette formation en management à tout passionné de la relation client et du secteur hôtelier. 

Vous avez la possibilité de poser toutes vos questions directement à Louise et Thomas en visitant le site internet de l’école, ou en cliquant sur ce lien

Quel a été votre parcours avant d’arriver à l’EHL ?

Louise : J’ai effectué mes années de collège et de lycée dans le sud de la France, où j’ai obtenu mon bac S, avec mention très bien. Étant une personne très créative, j’ai voulu tester le secteur du design et de l’architecture après le baccalauréat. Pendant une année, j’ai donc découvert le monde de l’architecture et du design, mais il me manquait réellement l’aspect concret, l’aspect humain. Après cette année d’études à Paris, je me suis donc lancée dans mon parcours à l’EHL. 

De même, avant d’intégrer l’école, j’ai eu plusieurs expériences professionnelles de par moi-même. J’ai travaillé dans différents hôtels en Suisse, deux mois à Dubaï dans un resort, puis dans le sud de la France à Arles dans un boutique-hôtel. Ces expériences m’ont permis de forger mon anglais et d’avoir plusieurs outils pour pouvoir candidater à l’EHL. Actuellement, je suis en dernière année de Bachelor.

Thomas : J’ai passé toute mon enfance à Cannes, où j’ai effectué un bac ES que j’ai obtenu avec mention bien. Pendant mes années de collège et lycée, j’ai eu l’opportunité de faire deux stages, l’un dans un cabinet d’architecture, l’autre en conciergerie à l’hôtel Majestic Barrière, qui est un 5 étoiles. Après mon bac, j’ai travaillé un mois dans un restaurant à Londres afin de perfectionner mon anglais et ainsi pouvoir passer le TOEFL avec succès. Ensuite, après avoir visité le campus de Lausanne et participé aux journées de sélection, je suis entré à l’EHL en 2018.

Comment avez-vous connu l’EHL et qu’est-ce qui vous a fait porter votre choix sur cette école pour votre Bachelor ?

Louise : J’ai grandi dans l’environnement hôtelier, de plus mon père est un ancien de l’EHL. Cette école, j’en ai donc beaucoup entendu parler depuis que je suis petite et pour moi, c’était une évidence. De même, mon père est le propriétaire d’un boutique-hôtel dans lequel j’ai souvent été impliquée. Grandir dans ce secteur a donc été un atout, dans le sens où j’ai pu être confrontée à des personnes assez matures depuis mon jeune âge.

De plus, l’école est très prisée par les entreprises. D’après ma mère, c’est presque l’employeur qui s’adapte à l’étudiant quand ce dernier provient de l’EHL. Cela m’a rassurée, mais il faut tout de même garder les pieds sur terre.

« On nous forme vraiment à être des leaders, mais pas des leaders froids : des leaders humains. »

Thomas : J’ai connu l’EHL grâce à des reportages à la télévision, mais aussi parce que mon grand-père tenait une boucherie à Cannes, ville où j’ai grandi, et il servait les palaces et les hôtels de la Côte d’Azur. Quand je lui ai évoqué mon intérêt pour l’hôtellerie, il m’a dit : « Il faut que tu regardes cette école, c’est la meilleure ». 

Mon choix s’est tout de suite confirmé lorsque je me suis rendu à Lausanne, en Suisse. L’ambiance qui règne sur le campus correspondait parfaitement à ce que je recherchais. Je me suis tout de suite senti bien lors des portes ouvertes, comme un coup de foudre, je me voyais bien y étudier et y vivre. Je ne savais pas exactement ce que je voulais faire, mais je savais qu’en tout cas, allier le côté pratique et théorique, avoir des expériences via les stages, tout cela m’intéressait.

Selon vous, quels sont les points forts de l’EHL ?

Louise : L’EHL a beaucoup de points forts. On nous forme vraiment à être des leaders, mais pas des leaders froids : des leaders humains. Dans ce but, l’école dispense des cours axés sur le développement personnel. Il s’agit d’une réelle valeur ajoutée. Quand on en discute entre camarades, on se dit que la façon dont on a évolué depuis le début est vraiment incroyable. 

D’autre part, il y a tout le service d’excellence que l’école propose. À l’EHL, nous n’avons pas que de la théorie, il y a vraiment un échange humain avec les professeurs. Nos programmes sont pluridisciplinaires et cela nous permet d’appliquer concrètement tout ce qu’on apprend. De même, nous avons la chance de pouvoir manier nos connaissances tout au long de l’année durant des stages. 

Par ailleurs, le fait que nous ayons un réseau de 25 000 anciens étudiants dans 150 pays à travers le monde est une réelle plus-value. Ce côté familial est très réconfortant et j’ai pu l’expérimenter lors de mon premier stage à Hong Kong, où j’ai retrouvé des étudiants de l’EHL. On nous propose un package complet, ce qui est rassurant pour notre sortie d’études. 

Enfin, l’école a une étoile Michelin ce qui est un réel atout, et elle se situe au premier rang du classement QS World University Rankings pour « Hospitality & Leisure Management Studies ».

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Thomas : Pour moi, le point fort de l’école est le programme pratique en 4 ans, avec l’année préparatoire en premier lieu. On fait 6 mois de découverte des secteurs de l’hôtellerie et de la restauration, en faisant du bar, de la cuisine, du housekeeping, de la réception. Puis, on a 6 mois de stage. On est vraiment entourés de professeurs qui ont de l’expérience et qui ont d’abord travaillé dans leurs hôtels, dans leur propre environnement. Ils ont ensuite créé leur entreprise ou leur start-up, ce qui fait qu’ils ont l’aspect académique, l’envie de transmettre leur savoir et la passion du métier. C’est très enrichissant. 

Par ailleurs, nous avons une appellation d’école hôtelière, car le but est vraiment de nous former à devenir de futurs managers ou directeurs d’hôtels, mais étant donné que ce Bachelor est quand même assez général, on peut être considéré comme une vraie école de commerce. On nous transmet des savoirs sur des matières telles que le marketing, la finance, la comptabilité, faire des placements, la bourse, du droit, du RH, des notions qui peuvent s’appliquer à n’importe quel secteur par la suite. 

« Nous sommes réellement considérés comme une école de commerce, car on va mettre en pratique la polyvalence de nos cours. »

L’EHL se différencie par sa volonté de plonger ses étudiants directement dans le monde professionnel pendant leurs années d’études. Quelles démarches entreprend l’école dans ce sens ?

Louise : Nous sommes particulièrement accompagnés dans le processus de recherche de stage. Nous avons des salons à l’école, pendant lesquelles de nombreuses entreprises viennent à notre rencontre. L’école nous aide à préparer nos CV, nos lettres de motivation et nous avons des conférences à ce sujet. Ainsi, cette préparation nous permet de mieux nous vendre auprès des employeurs. C’est d’ailleurs grâce à cette journée que j’ai trouvé mon stage au Peninsula à Hong Kong. Enfin, nous avons un coach à l’école, qui nous suit et nous épaule administrativement, jusqu’à ce que l’on soit employé pour un stage. 

Thomas : L’EHL nous permet de nous plonger dans le monde du travail et dans le quotidien que l’on vivra après nos études. Personnellement, à part quelques petits boulots et jobs d’été, je n’avais pas d’expérience concrète. L’école nous plonge dans la vie active, avec des career fairs par exemple : 150 entreprises qui viennent sur le campus le temps d’une journée, pour chercher soit de futurs employés ou des stagiaires. Il y a beaucoup de grandes entreprises — comme Coca-Cola, McDonald’s, LVMH, Swiss Airlines — qui viennent recruter. C’est un peu une compétition : chacun essaye de se démarquer. Les entreprises, surtout les grands groupes, viennent chercher les meilleurs stagiaires pour remplir leurs hôtels. Rencontrer l’entreprise sur le campus nous met directement en contact avec la réalité. 

Vous avez effectué plusieurs stages pendant votre cursus, notamment à Hong Kong pour Louise et à Bora-Bora pour Thomas. Comment s’est déroulée votre expérience ? 

Louise : Mon départ à Hong Kong a été un sacré challenge, mais j’avais besoin de me dépasser. C’était une expérience très enrichissante que je n’oublierai jamais, même si elle a parfois été dure. Je ne retiens que du positif, car ce stage m’a forgée et c’est à cet âge-là qu’il faut sortir de sa zone de confort. 

En ce qui concerne mes missions, j’étais en réception au Peninsula. C’était intéressant d’être face à cette culture et cette façon de travailler très différente de la nôtre. De plus, être la seule française là-bas était une plus-value, puisque j’ai pu travailler en VIP avec des clients français. Je suis même restée en contact avec des clients qui habitaient dans le sud de la France, donc j’ai tout de même réussi à créer des liens en Chine. Je suis ravie d’être à l’EHL, car je suis persuadée que c’est grâce à cette formation que je peux vivre ce genre d’expérience. 

Thomas : Pour mon premier stage, en année préparatoire, j’étais au Four Seasons de Bora-Bora pendant 6 mois en réception. Mes tâches étaient de m’occuper des clients dès leur arrivée, de faire le check-in. Étant donné que l’hôtel se trouve sur une île indépendante, je devais m’occuper du transfert de l’aéroport à l’hôtel, je faisais tous les départs et arrivées des clients, j’étais chargé des capitaines des bateaux, je m’occupais aussi des bagages. L’hôtel est un 5 étoiles, donc je m’occupais aussi de l’accueil des VIP, de toutes les célébrités qui arrivaient en jet-set privé, etc. Four Seasons est une marque très réputée que ce soit au niveau de son prestige, son excellence, les valeurs pour le client, mais aussi en tant qu’employeur. 

Que retenez-vous de votre expérience professionnelle ? 

Thomas : Cela m’a beaucoup appris, que ce soit du point de vue personnel ou social. Lors de mon stage à Bora-Bora, j’avais à peine 19 ans et partir à 16 000 kilomètres de chez moi m’a permis de mûrir, de me retrouver dans un autre contexte, dans une culture différente, même si la Polynésie est francophone. D’un point de vue technique, j’ai beaucoup progressé en langues, notamment en anglais, car la plupart des clients là-bas sont américains. Pour mon deuxième stage, que j’ai réalisé à Cannes dans une agence immobilière, j’ai aussi progressé sur le côté technique où j’ai appris à évaluer des biens immobiliers.  

Louise : Dans ce domaine, il faut être multifonction et avoir des valeurs très poussées. On nous apprend à nous habiller, à nous comporter, le savoir-vivre… et tout cela, c’est un apprentissage solide. J’estime avoir beaucoup appris et grandi grâce à toutes mes expériences, mais maintenant j’aimerais voir autre chose. Je suis ravie d’avoir pu me lancer dans cet univers, toutefois aujourd’hui je suis curieuse de découvrir d’autres horizons, comme appliquer ma vision créative et mon amour du design dans l’environnement hôtelier par exemple. C’est une autre facette de l’hôtellerie que je n’ai pas encore explorée. 

« Tous les challenges liés à la Covid-19 ont servi à forger tout le personnel hôtelier. »

Les secteurs de l’hôtellerie et de l’événementiel sont les secteurs les plus touchés par la crise. Appréhendez-vous votre avenir dans ce secteur ?

Louise : La crise sanitaire nous a beaucoup chamboulés dans notre vision de l’avenir et de la suite après l’EHL, mais je reste optimiste dans le sens où la plupart des établissements vont réussir à s’en sortir, malgré les difficultés. C’est vrai que c’est effrayant, mais avec la relance qu’il y a depuis la réouverture de ces espaces en France, on est plus rassurés. À l’école, on se sent préparé, notre formation nous permet d’innover et d’avoir la clé pour trouver les solutions de demain. Tous les challenges liés à la Covid-19 ont servi à forger tout le personnel hôtelier. Une chose est sûre, dorénavant l’hôtellerie va évoluer, elle ne sera plus la même qu’avant, mais cela va apporter de bonnes choses pour la suite.

« L’EHL est une école qui se définit par un prestige et une excellence unique. À travers des pratiques innovantes, elle forme des étudiants volontaires, motivés, respectueux dans le secteur de l’hôtellerie-restauration, pour devenir des professionnels autonomes et confirmés prêts à rebondir. »

Thomas : On a tous eu des doutes ou des remises en question, mais personnellement, tout ce qui est de l’ordre de la restauration ne m’attire pas grandement à la base. Tout ce qui est lié à l’hôtellerie, au relationnel avec les clients, s’adapter à eux et être aux petits soins, tout cela va revenir. C’est comme le secteur du luxe, qui est en pleine expansion. Certes, les secteurs ont été beaucoup touchés par la crise sanitaire, mais à l’avenir, je suis assez confiant et je pense que cela va prospérer. 

Comment participez-vous à la vie associative de votre école ?

Thomas : Au sein de l’école, nous avons environ une trentaine de comités. Ces comités sont soit sportifs avec du foot, du tennis, du ski et de la voile sur le lac Léman, soit axés sur l’expérience sociale ou professionnelle. Par exemple, le comité Student social responsibility, dont j’ai fait partie pendant une année. Je m’occupais principalement du marketing du comité. Ce dernier organise notamment la « Sustainability Week » une fois par trimestre. On propose aux bars et aux restaurants de l’EHL de faire des gestes eco-friendly et on propose un menu 100 % végan. Des conférences sont aussi organisées pendant cette semaine spéciale. L’idée est vraiment de sensibiliser les étudiants aux thématiques sociales et environnementales, par des gestes responsables. On soumet aussi des idées à l’école. Au fur et à mesure, l’école évolue aussi dans ce sens. Les étudiants de l’EHL ont une conscience et une envie de changement.

Je m’investis également beaucoup en tant qu’ambassadeur, Louise vous en dira davantage. 

Louise : Je m’investis dans l’école en tant qu’ambassadrice et assistante de communication. Le programme d’ambassadeur permet aux étudiants de représenter les valeurs de l’EHL. Si on se base sur une période sans Covid, nous faisons des campus tour pour des familles et leurs enfants, ainsi que pour des entreprises. Nous leur présentons la globalité de l’expérience à l’EHL et son histoire. En plus de cela, nous faisons passer des entretiens aux candidats. Ces derniers ont une journée de sélection, animée par des entretiens, des activités et des tests, car l’école cherche à savoir quelles sont les valeurs, envies et motivation de chaque personne.

Quels sont vos projets après l’EHL ?

Louise : Je ne suis pas le meilleur exemple, je suis de nature très curieuse, et beaucoup d’opportunités de carrière m’intéressent ; ainsi je n’ai, pour le moment, pas encore d’idée précise en tête. En premier lieu, j’aimerais vraiment travailler à l’EHL. J’aime l’environnement de travail ici, dont le management est assez rigoureux. Enfin, je reste ouverte à toute opportunité, car beaucoup de choses peuvent se présenter à moi, comme le métier de design manager ou travailler dans l’événementiel par exemple.

Thomas : Je finis mon bachelor en février 2022. Puis, j’aimerais travailler, construire un début de carrière et gagner en expérience, et pourquoi pas me préparer pour intégrer un master. Tout ce qui est management m’attire beaucoup, mais j’aime aussi le marketing, la finance et je n’ai pas d’idée fixe de ce que je veux faire. Je crois que beaucoup de portes me sont ouvertes grâce à cette formation, alors je suis impatient de me lancer ! 

Conseilleriez-vous l’EHL à un autre étudiant et pourquoi ?

Louise : Oui, parce que c’est une école de la vie, ce n’est pas seulement une formation. L’EHL nous prépare à tous les challenges pour la suite de notre vie et carrière. L’école garantit une expérience et une formation extrêmement complètes que je recommande vivement à tout passionné du secteur de l’hôtellerie-restauration.

« EHL n’est pas seulement une école hôtelière, c’est aussi une vraie business school. »

Thomas : Oui à 100 %, car j’ai eu un véritable coup de foudre pour cette école, son atmosphère et son programme. Si je peux la conseiller, c’est aussi bien du point de vue théorique que social et humain. On est dans un environnement très diversifié, dans une école internationale, avec des cours polyvalents, on rencontre des personnes qui viennent des quatre coins du monde, avec de nouvelles cultures et pour moi, c’est hyper enrichissant. Il y a une ouverture d’esprit et on gagne en maturité.

Article réalisé en partenariat avec l'Ecole Hôtelière de Lausanne.

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