Vous avez une appétence pour le droit et souhaitez exercer dans un cabinet d’avocats ou de conseil ? Pourquoi ne pas devenir Assistant(e) juridique ? Opter pour cette formation, très professionnalisante, permet d’acquérir toutes les compétences juridiques et exercer dans ce secteur très porteur !
Vidal Formation, établissement basé à Toulouse, propose des formations diplômantes en assistanat juridique. Ces dernières sont également dispensées dans 23 centres partenaires installés dans toute la France. Elles sont certifiées niveau 5 au RNCP (Répertoire national de la certification professionnelle), et permettent donc de valider un bac+2 en seulement 18 mois dans le secteur ; pour être directement opérationnel sur le marché du travail !
« J’ai découvert Vidal Formation par hasard. C’était une de mes cousines qui était en relation avec l’école », raconte Nawel, 23 ans, ancienne alternante du cursus d’Assistant juridique. « La formation m’a paru intéressante, car c’était en alternance et j’avais besoin de composantes théoriques et pratiques pour bien progresser », précise-t-elle.
Un cursus tous profils : il n’y a pas d’âge pour se former !
Au sein de l’établissement, la formation diplômante correspond à tous les profils, bien qu’il y ait des prérequis. Le plus important est d’être titulaire d’un baccalauréat, sésame obligatoire pour l’admission, mais pour intégrer la formation, il faut aussi avoir « une sensibilité à l’outil informatique » souligne Céline Caralp, chargée des relations entreprises à Vidal Formation. Toutefois, il n’y a pas de limite d’âge, tout le monde peut s’inscrire dans le cursus s’il le désire : la reconversion professionnelle via la VAE (Validation des acquis par l’expérience) est envisageable, par exemple. À condition, bien sûr, de passer les tests de l’école et l’entretien individuel d’admission. « Ces tests servent à voir la cohérence de leur projet professionnel », explique la chargée des relations entreprises.
De plus, de nombreuses personnes qui se tournent vers la formation d’assistant juridique proviennent d’une fac de droit. « Ils se rendent compte qu’ils veulent rester dans l’environnement juridique, sans faire de longues études », indique Céline Caralp. « Avec ce volet juridique, ça leur permet de mieux aborder leur apprentissage et d’être aussi plus performants sur le terrain ».
C’est notamment le cas de Nawel, qui est passée par une licence de droit avant d’intégrer Vidal Formation. « Je me suis arrêtée à la L2, puis je me suis inscrite à Vidal, car cela me semblait être une suite logique à mon parcours juridique, mais c’était autre chose que la fac », précise l’ancienne étudiante. Margaux, 26 ans, est actuellement en formation et travaille dans un cabinet d’avocat de Toulouse. Elle avait opté pour un BTS Notariat à l’université Toulouse 1 Capitole, avant de s’inscrire dans cette formation. « Pendant ces deux années de BTS, j’ai eu la chance de faire des stages en études notariales qui se sont très bien déroulées et qui m’ont permis d’en apprendre plus sur le métier de notaire », confie-t-elle. Pour elle, poursuivre en assistanat juridique était aussi « une suite logique » à son parcours.
Vidal Formation fait le pari de l’alternance
La formation Assistant(e) Juridique dispensée à Vidal Formation est uniquement proposée en alternance, par le biais d’un contrat de professionnalisation ou d’un contrat d’apprentissage. « Il y a un jour de formation par semaine, le vendredi, à hauteur de 8 h de cours », explique Céline Caralp. « Ensuite, c’est 27 heures sur le temps travaillé réparties comme le souhaite l’employeur, du lundi au jeudi et la durée totale de ce contrat est de 18 mois ». Les étudiants peuvent ainsi postuler auprès des cabinets d’avocat, des cabinets de conseils, des notaires, des huissiers et — plus rarement — des mandataires judiciaires.
Grâce à la formule de l’alternance, les étudiants acquièrent des expériences significatives sur le terrain. « J’ai commencé mon contrat en mars 2020, peu avant le premier confinement. Tout a été très vite et c’est Céline Caralp qui m’a aidée pour la recherche d’entreprise », confie Margaux. « Je suis très satisfaite de mon rythme de formation et Vidal est une école compétente. » Cette dernière termine bientôt son contrat et passera ses examens d’ici la fin du mois d’avril.
Pour les deux jeunes filles, l’alternance est une plus-value qui leur permet de progresser et réussir leur formation d’assistante juridique. « Je préfère l’alternance plutôt que la formation initiale, car j’apprends plus de choses », raconte Margaux. « Nous sommes bien encadrés, le suivi avec les responsables pédagogiques se passe bien, ils sont là pour nous aider et nous éclairer ». Du côté de Nawel, même son de cloche. L’apprentissage a été bénéfique pour mieux appréhender le monde du travail. « J’ai vraiment gagné en autonomie. Cette formation m’a permis de me révéler », affirme-elle, avant de poursuivre : « Il faut savoir que dans ce cabinet, j’étais la seule assistante, du lundi au jeudi. J’étais toute seule et les avocats n’ont pas le temps d’être tout le temps derrière nous, donc je suis devenue plus polyvalente que je ne l’étais déjà ».
Elles se sont ainsi appropriées toutes les missions relatives à l’Assistanat juridique : gestion des mails, gestion des agendas des avocats, accueil physique et téléphonique des clients, facturation, relance de factures impayées, etc. Puis, au fil des 18 mois passés en entreprise, Nawel s’est vu confier des missions plus poussées, comme la rédaction d’actes juridiques ou encore la rédaction de conclusions de parties civiles. « Je pense que si la formation n’avait pas été en alternance, peut-être que je n’aurais pas été aussi séduite par l’idée. Le fait d’être en alternance, c’est le meilleur moyen de progresser et d’apprendre », avoue l’ancienne étudiante.
Quant à la formation, les alternants suivent leurs cours sur des thèmes variés dans le secteur juridique : secrétariat juridique, droit pénal, droit social, droit civil, droit des sociétés, mais aussi ressources humaines. « À Vidal, les enseignants sont des intervenants professionnels du droit qui nous transmettent leur savoir », précise Nawel. « Nous avions des avocats et même un vice-procureur de la République au tribunal de Toulouse. Ce sont donc quand même des personnes importantes et accessibles, ce qui est pratique pour leur poser des questions relatives aux enjeux du métier ».
Un levier d’insertion professionnelle
En plus de bénéficier d’une formation complète, le cursus Assistant juridique de Vidal Formation permet de bénéficier d’un taux d’insertion professionnelle élevé. Selon la chargée des relations entreprises, 85 % des diplômés décrochent un emploi à la suite de la formation : « Que ce soit pour un employeur ou un apprenti, la plupart du temps, ça peut déboucher sur une pérennisation de postes », explique-t-elle.
L’ancienne alternante admet que Vidal Formation ouvre des portes dans le milieu juridique pour l’après-cursus. Dans sa promotion, tous ses camarades ont trouvé un CDI à l’issue de la formation dans les entreprises où ils ont réalisé leur apprentissage. « Vidal nous permet de mettre un pied dans ce milieu-là et de faire nos preuves. L’employeur recrute aussi par la suite, car son but n’est pas toujours de reprendre un apprenti et de le former de nouveau pendant 18 mois », raconte Nawel. « Toutes mes anciennes camarades de classe ont été prises dans l’entreprise où elles ont effectué leur alternance », poursuit-elle.
Pour les étudiants : rentrée toute l’année, satisfaction assurée
Dans le centre de formation, nul besoin d’attendre la rentrée de septembre ou une rentrée décalée pour candidater ! L’établissement propose à tout moment de s’inscrire et se préparer à devenir les assistants juridiques de demain. « On a des examens tout au long de l’année, il y a plusieurs sessions dans l’année » décrit Céline Caralp. « On n’est pas sur des formats scolaires, c’est-à-dire qu’on est sur des entrées et des sorties permanentes ».
En plus d’être particulièrement accessible, la formation Assistant(e) Juridique satisfait ses étudiants à tous points de vue, à commencer par l’accompagnement permanent par les responsables pédagogiques et par un apprentissage possible à son rythme. « Chacun s’organisait comme il le voulait et honnêtement, il n’y avait pas une charge de travail énorme, c’était vraiment accessible », se souvient Nawel.
« La qualité pédagogique, le suivi et le programme, ainsi que les outils et le campus de Toulouse facile d’accès font que les étudiants sont satisfaits de leur formation en général » ajoute de son côté Céline Caralp. « Je recommande le centre de formation à d’autres candidats, car c’est un établissement formateur, avec un bon suivi et une bonne équipe », se réjouit Margaux.