Les relations humaines sont au cœur du commerce. Passionnée par ce secteur, mais aussi par le lien qu’elle peut créer avec d’autres personnes, Mélody ne jette pas son dévolu sur n’importe quel cursus. Après plusieurs expériences professionnelles dans le domaine commercial, c’est tout naturellement qu’elle décide de poursuivre ses études supérieures en école de commerce. Pour ce faire, elle choisit l’ECEMA (campus de Valence), une business school membre du Collège de Paris qui forme des professionnels du commerce et du management.
Amoureuse des langues, Mélody recherche un travail où elle pourra mettre à profit ses compétences linguistiques. Bilingue français-anglais et en plein apprentissage de l’italien et du russe, elle intègre le Mastère Développement et Commerce International en alternance, après une licence professionnelle métiers de l’entrepreneuriat, pour gagner en responsabilités et évoluer dans un secteur qui l’attire !
Des cursus 100 % en alternance pour un maximum de compétences
Mélody se voyait mal reprendre ses études sans mettre les pieds dans la vie active en parallèle. C’est pourquoi elle s’est dirigée vers une école qui ne propose que des cursus en alternance. « Ce mode de scolarité permet de se challenger, de développer ses compétences sur le terrain et d’avoir plus de crédibilité une fois son diplôme en poche », assure la jeune femme. Elle trouve alors un poste chez Nougat Chabert & Guillot et découvre l’univers de l’industrie agroalimentaire.
Lors de sa première année de Mastère, Mélody occupe le poste d’assistante commerciale et apporte sa pierre à l’édifice quant au développement du marché du nougat aux États-Unis. En deuxième année, elle évolue au poste d’attachée commerciale et se voit assumer plus de responsabilités. « Je fais de la prospection et de l’animation clientèle, je contacte les potentiels nouveaux clients et prends des rendez-vous avec eux pour essayer de leur vendre nos produits », raconte l’alternante. « Aujourd’hui, je gère seule un projet, celui de développer notre marché au Royaume-Uni, et c’est très challengeant », confie-t-elle.
Ce mode de scolarité permet de se challenger, de développer ses compétences sur le terrain et d’avoir plus de crédibilité une fois son diplôme en poche.
L’alternance est d’ailleurs un critère important, constamment mis en lumière par l’ECEMA. « Pendant les JPO, l’école insiste sur le fait que l’alternance est une expérience professionnelle significative, recherchée par les recruteurs et qui permet de trouver plus facilement un emploi », soutient Mélody.
Accompagnement, soutien et écoute : l’ECEMA est aux petits soins
Une école à taille humaine et à l’écoute. Voilà ce que représente l’ECEMA pour l’étudiante en 2e année de Mastère. Même si Mélody a trouvé son entreprise d’accueil seule, à aucun moment elle ne s’est sentie délaissée par son établissement. D’après l’étudiante, l’école de management recense toutes les offres en partenariat avec les entreprises locales pour les envoyer en avant-première aux Ecémaliens. « L’école propose aussi des ateliers pour améliorer son CV, faire des lettres de motivation ou s’entraîner à passer des entretiens d’embauche. C’est génial, notamment pour ceux qui n’ont jamais fait d’alternance ou qui n’ont jamais mis les pieds dans le monde pro », fait savoir la jeune femme.
L’ECEMA est une école de commerce créée en 2003. Elle est implantée sur 7 campus en France : Lyon, Saint-Étienne, Bourges, Clermont-Ferrand, Valence, Grenoble et Limoges.
Ce suivi ne s’arrête pas à la recherche d’une entreprise. Pendant l’alternance, le personnel de l’ECEMA accompagne de près ses étudiants dans leur parcours. « Ils nous demandent toujours si tout se passe bien et, à chaque fois qu’on revient en cours après une période en entreprise, on doit répondre à un questionnaire sur une plateforme pour savoir si celle-ci s’est bien déroulée, si on a rencontré des points bloquants et lesquels, si on a besoin de prendre un rendez-vous avec notre référent pour en discuter, etc. », détaille Mélody.
Ils jouent le rôle de médiateur entre l’entreprise et l’étudiant, on est vraiment bien accompagnés.
Et si ça se passe mal ? Même son de cloche : la business school est là pour accompagner ses alternants. « C’est l’ECEMA qui déclenche tout le process, qui nous aide à trouver une nouvelle entreprise d’accueil, qui échange avec la société pour comprendre ce qui ne va pas et qui tente de trouver des solutions », indique l’alternante. « Ils jouent le rôle de médiateur entre l’entreprise et l’étudiant, on est vraiment bien accompagnés », garantit-elle.
Enseignements et intervenants de qualité : le combo gagnant pour des étudiants épanouis
L’alternance, c’est bien, la théorie, aussi, mais les deux réunies, c’est encore mieux ! Pour fournir aux étudiants toutes les connaissances et compétences nécessaires une fois dans le monde du travail, l’ECEMA mise sur une pédagogie basée sur la professionnalisation, mais aussi sur des enseignements de qualité. Marketing, ressources humaines, gestion de projets, achat, finance, droit, management : le Mastère Développement et Commerce International propose des disciplines variées, pour ouvrir un maximum de portes à ses diplômés.
Entre accompagnement individualisé, qualité des intervenants, partenariats à travers le monde, cursus 100 % en alternance ou encore expériences culturelles incroyables, l’ECEMA a tout pour plaire !
Qu’ils souhaitent devenir account manager, analyste financier, chef de produit, responsable marketing ou encore business developer international, les étudiants bénéficient d’un programme élaboré sur mesure, grâce à l’expertise de professionnels du secteur. Bien entendu, les cours à l’ECEMA ne sont pas dispensés par n’importe qui. Les intervenants ont eux aussi un rôle à jouer dans le partage de savoirs et l’acquisition de compétences des Ecémaliens.
L’ECEMA propose des cursus de niveau post-bac à bac+5 aux étudiants de tous horizons (filières littéraires, scientifiques, techniques ou sciences humaines). Il s’agit du premier établissement de la région Rhône-Alpes à avoir proposé, dès 2003, l’intégralité de ses cursus en alternance.
Ainsi, les intervenants de l’école de commerce sont sélectionnés avec soin et avec l’aide des étudiants eux-mêmes. « À chaque fin de cours, on évalue l’intervenant pour indiquer à l’école si le cours s’est bien passé et si l’intervenant est disponible, et pédagogue », explique Mélody. « Souvent, les conseillers de formation assistent même à nos cours pour vérifier que les savoirs transmis sont en accord avec nos attentes, ceux de la formation et ceux du monde professionnel », précise l’étudiante.
Si l’étudiante conseille la business school ? Totalement ! « Entre accompagnement individualisé, qualité des intervenants, partenariats à travers le monde, cursus 100 % en alternance ou encore expériences culturelles incroyables, l’ECEMA a tout pour plaire ! », se réjouit Mélody. « Faire une école de commerce en alternance, c’est s’ouvrir un maximum de portes et avoir accès à éventail d’opportunités, alors il ne faut pas hésiter à se lancer », conclut la jeune femme.