SupVéto : l’école qui forme les ASV de demain

SupVéto a bien évolué au fil du temps, proposant désormais plusieurs formations. Ces établissements visent à former les meilleurs Auxiliaires de Service Vétérinaire et managers de cliniques, par le biais de formations courtes et professionnalisantes.
Mis à jour le / Publié à 11h57 — Sponsorisé par Groupe EcoSup Campus.
Lecture
Trouver mon école
Quelle école est faite pour toi ?
Prends 1 minute pour répondre à nos questions et découvrir les écoles recommandées pour toi !
Trouver mon école (1min 🕓)
https://f.hellowork.com/edito/sites/5/2022/03/23446.jpg
©SupVéto

Vous souhaitez exercer dans le domaine de la santé animale, sans pour autant pratiquer le métier de vétérinaire ? C’est ce que SupVéto propose aux bacheliers souhaitant faire carrière auprès des animaux. Avec 25 campus sur l’ensemble du territoire français, SupVéto s’engage à rester au plus proche des étudiants. Vous habitez à Lille ? Il y a une école pour vous. Vous vivez à Lyon ou à Toulouse ? Vous n’aurez pas besoin de quitter votre ville pour suivre vos études et devenir Auxiliaire de Service Vétérinaire ! Labellisés et certifiés par Qualiopi, le premier certificateur de centres de formation en France, les établissements de SupVéto permettent d’acquérir des compétences solides, adaptées au marché de l’emploi et aux attentes des employeurs.

«L’idée est surtout que l’on puisse donner de l'emploi aux étudiants et répondre aux exigences des métiers qui évoluent», Raphaël Lejeune, enseignant à SupVéto.


©SupVéto

Un parcours pluridisciplinaire

À l'origine, SupVéto proposait uniquement une formation liée au métier d’ASV. La nouveauté est la poursuite d’études à travers un programme bachelor en apprentissage sur 18 mois. Enseignements théoriques, travaux pratiques, mises en situations réelles, ou encore créations de projets, le programme proposé par les formations de SupVéto se veut complet, afin de permettre aux élèves de s’insérer dans le marché de l’emploi avec toutes les compétences nécessaires et exigées par le métier. « L’idée est surtout que l’on puisse donner de l'emploi aux étudiants et répondre aux exigences des métiers qui évoluent », explique Raphaël Lejeune, ancien ASV et enseignant à SupVéto Tourcoing.

La validation des acquis de compétences des étudiants se fait à travers un contrôle continu, des partiels, ainsi que par le rendu d’un rapport d’activité, présenté à un jury en fin de cursus.

Dix-huit mois pour devenir ASV

À SupVéto, tous les enseignements sont programmés afin de former vite et efficacement les futurs Auxiliaires de Service Vétérinaire. Si les étudiants intègrent une de ces écoles après le baccalauréat, il ne leur faudra que 18 mois pour être opérationnel une fois sur le marché du travail.

«Le vétérinaire et l’ASV forment un véritable binôme», Florence Tupin-Rubenach, vétérinaire-enseignante à SupVéto.

Mais alors, en quoi consiste ce métier ? L’ASV est en réalité le bras droit du vétérinaire, sans qui ce dernier ne pourrait assurer ses journées de travail. « La plupart des vétérinaires sont conscients que le rôle des ASV dans la clinique est essentiel. Ces deux professionnels forment un véritable binôme », affirme Florence Tupin-Rubenach, vétérinaire-enseignante à SupVéto Lyon. Ce spécialiste est présent pour épauler le vétérinaire, mais aussi pour accompagner l’animal, dès son entrée dans la clinique. Il joue donc le rôle d’assistant, de secrétaire, mais également d’infirmier, puisque c’est lui qui apporte les soins à l’animal. Les ASV sont également chargés de l’hygiène des locaux et des animaux, de la prise de rendez-vous, de la gestion des stocks, de conseiller les propriétaires et de leur vendre les produits adaptés à leur besoin.

S’il vous faut 18 mois pour devenir un ASV professionnel, il vous faudra aussi avoir 18 ans pour intégrer cette formation, détenir le bac, qu’il soit général, technologique, professionnel ou agricole, être motivé, et avoir une véritable passion pour les animaux !

Dix-huit mois de plus pour devenir manager de clinique

« Ouvrir de plus en plus de portes aux ASV » : c’est le but du bachelor chargé de gestion et de management en structure animalière de SupVéto, ouvert depuis la rentrée 2021 en apprentissage. En effet, après leur formation ASV, ou après un BTS agricole option vente des animaux de compagnie, les étudiants ont une possibilitéd’évolution, en poursuivant leurs études avec un bachelor de 18 mois. À son issue, ils sont donc titulaires d’un diplôme de niveau bac+3, certifié au RNCP (Répertoire National de la Certification Professionnelle).

En réalité, ce bachelor vise à préparer à de nouveaux métiers, notamment celui de manager de clinique, ou manager ASV, et à fournir toutes les connaissances nécessaires dans le domaine de la gestion et du management, dans le but d’optimiser le fonctionnement d’une structure animalière, mais aussi d’assister au mieux le vétérinaire. Plus l’ASV aura des compétences solides, plus le travail en clinique sera fluide. « Aujourd’hui, on a besoin de personnels qui aient les compétences pour tout préparer et faire plus qu’assister le vétérinaire », précise l’enseignant ASV.

La création de ce bachelor a d’ailleurs été très bénéfique pour des élèves comme Alaïs, étudiante en première année de bachelor dans le campus de Toulouse, qui a pu bénéficier d'opportunités au sein même de l’entreprise dans laquelle elle exerce : « Les ASV et les vétérinaires ne font pas d’études dans la gestion et le management, donc je sais que ce sera un plus pour moi. La clinique vétérinaire va s’agrandir, et ils vont rechercher ce profil de manager ASV », explique Alaïs. « Grâce au bachelor, j’ai même plus de missions que les autres, alors que je suis la plus jeune de l'équipe. »


©SupVéto

Des cours dispensés exclusivement par des spécialistes

Qu’ils soient vétérinaires, assistants de service vétérinaire, éducateurs, ou encore comportementalistes, les enseignants de SupVéto sont tous des professionnels, en activité ou bien avec de nombreuses années d’expérience. Le réseau SupVéto établit donc un lien important avec ces derniers, dans le but d’adapter au mieux la formation aux demandes du marché du travail.

Et ces cours théoriques dispensés par des professionnels du secteur animalier ont le mérite de plaire, mais surtout d’être utiles aux étudiants de SupVéto : « Dans la clinique dans laquelle j’effectue mon alternance, nous sommes sept ou huit ASV, et seulement deux à avoir suivi des études d’ASV. Je peux dire que, souvent, j’ai plus de connaissances que ceux qui n’ont pas fait d’études ASV, alors que j’ai moins d’expérience », commente Alaïs.

En quelques chiffres SupVéto c’est :

25 écoles en France
+ de 1200 étudiants
+ de 300 enseignants
+ de 50 vétérinaires
+ de 1000 entreprises partenaires

En outre, les enseignants préparent également les étudiants aux situations complexes auxquelles ils pourraient faire face sur le terrain : « Certains professeurs nous montrent des circonstances réelles, nous mettent même en difficulté, pour qu’une fois en clinique on sache comment résoudre un problème. En plus, ils savent mieux que personne ce qu’ils attendent d’un ASV, c’est donc très formateur », ajoute-t-elle.

Avoir autant de professionnels qui enseignent à SupVéto n’est pas un hasard. En plus d’apporter des connaissances théoriques complètes et solides, c’est également un avantage dans la recherche de stage ou d’alternance. C’est ce que Raphaël Lejeune, ancien ASV, tient à souligner : « Entre ASV et vétérinaires, on se connaît presque tous. Nous pouvons donc aussi bien prendre les élèves dans notre structure pour leur stage, que transmettre leur contact à des collègues. Par exemple, quand j’exerçais, j’ai eu une élève qui avait du mal à trouver un stage et moi je n’avais personne. On l’a prise en stage et la coopération a été excellente », conclut-il. Et cela est également valable pour l’insertion professionnelle des jeunes diplômés ! En effet, la formation dispensée par des professionnels leur permet d’élargir leur réseau et d’avoir plus de contacts : « J’ai beaucoup de collègues vétérinaires qui me sollicitent pour trouver des ASV et je les renvoie automatiquement à nos anciens étudiants diplômés », assure la vétérinaire-enseignante.

La professionnalisation au coeur de la formation

Bien que la théorie soit essentielle pour connaître les démarches à suivre, comprendre certaines pathologies de l’animal, ou encore avoir des connaissances scientifiques plus approfondies, le métier d’Auxiliaire de Service Vétérinaire est très physique et demande de nombreuses maîtrises pratiques. Soins de l’animal, hygiène, conseil, vente, analyses, examens… tout s’apprend, particulièrement sur le terrain !

Une immersion en entreprise tout au long du parcours ASV

« Une des conditions obligatoires que l’on doit remplir, c’est qu’aucun élève ne se retrouve sans stage », déclare Raphaël Lejeune. « Nous avons un très grand réseau de vétérinaires qui nous font confiance, avec qui nous travaillons de façon régulière et qui n’ont aucun problème à prendre nos étudiants en stage », ajoute-t-il. C’est pour cette raison, et pour insérer les élèves dans la vie active le plus rapidement possible, que SupVéto propose d’effectuer 25 à 28 semaines de stage tout au long de la formation. Cela permet aux jeunes, dès leur sortie du bac, d’avoir des expériences professionnelles significatives et de découvrir toutes les facettes de leur futur métier. « Les premiers mois de la formation, c'est-à-dire de septembre à juillet, nous passons 90% du temps à l’école, avec des examens continus, et sommes en stage tous les vendredis. Ensuite, nous avons un stage de deux mois en hiver, puis deux mois en été », raconte Alaïs.

«Même si ce sont des jeunes ASV à l’issue de leurs études, ils sont directement opérationnels grâce aux périodes de stage», Florence Tupin-Rubenach.

« L’un des avantages chez SupVéto, c’est la souplesse vis-à-vis des stages. En 18 mois, les élèves peuvent intégrer 4 à 8 structures différentes, afin de découvrir plusieurs façons de travailler et celle qui leur correspond », relate Florence Tupin-Rubenach. « Et quand on parle de différentes structures, on ne parle pas que de cliniques vétérinaires. Les étudiants peuvent effectuer leurs stages en animalerie, dans des zoos, des refuges, ou encore au sein d’associations qui défendent la cause animale », précise-t-elle. Une opinion partagée par Alaïs, qui salue ce parti prit par SupVéto :« Le fait qu’il y ait beaucoup de périodes de stage, que l’on puisse changer de stage et avoir diverses expériences professionnelles est l’un des réels points forts de cette école. »

SupVéto c'est aussi...

90% d'insertion professionnelle en 2021, dont 10 à 20% d'élèves recrutés à l'issue de leur stage

Un point fort qui se traduit par la forte employabilité des diplômés de SupVéto, que ce soit dans leur entreprise d’accueil pendant la formation, ou dans n’importe quelle autre structure : « Même si ce sont des jeunes ASV à l’issue de leurs études, ils sont directement opérationnels grâce aux périodes de stage », garantit la vétérinaire-enseignante.

Un bachelor en apprentissage pour de futurs pro en avance sur leur temps

Quant aux étudiants de bachelor, ils ont la possibilité de suivre leur formation en alternance. En signant un contrat avec une entreprise, ils bénéficient d’une scolarité gratuite, mais aussi d’un salaire. Sans oublier qu’il s’agit d’une immersion presque totale des étudiants dans le monde professionnel, ce qui facilite leur embauche en fin d’études.

« Les entreprises recherchent des gens motivés et persévérants, qui partent à la recherche de leur stage, leur alternance, sans que cela ne leur tombe dessus », affirme Alaïs. Bonne nouvelle : après 18 mois de formation à SupVéto, les étudiants sont déjà des professionnels aptes à intégrer le marché du travail ! Décrocher un contrat d’apprentissage est donc d’autant plus simple pour eux. De plus, comme pour les stages, SupVéto met tout en œuvre pour que les élèves trouvent leur entreprise d’accueil, grâce à des structures toujours plus motivées à trouver leurs professionnels de demain !


©SupVéto

Pour intégrer une école du réseau, rien de plus simple ! Nul besoin de Parcoursup® une fois le niveau baccalauréat atteint, vous pouvez présenter votre candidature directement auprès de l’établissement. L’administration analysera vos résultats scolaires, mais aussi et surtout vos soft skills, ainsi que votre motivation à intégrer ces professions. De fait, le métier d’ASV est un métier de partage, où le relationnel et le savoir-être sont essentiels ! D’ailleurs, cet entretien se transforme presque en entretien d’orientation, puisque les responsables de formation feront le nécessaire pour que vous soyez certain de la voie que vous êtes sur le point d’emprunter. Un échange donc bénéfique pour les deux parties !

Il faut savoir que l’engouement autour des écoles de SupVéto est de plus en plus marqué : « Au début, on a commencé avec une promo d’une dizaine d’élèves, là nous comptons plus de 50 élèves. Cela montre l'intérêt pour la formation, pour le métier et particulièrement pour travailler avec les animaux. De plus, il y a 15 ans, il existait deux ou trois écoles en France, aujourd’hui il y en a 25 et à terme il y en aura 30. On passe de 100 étudiants en France à 1200 actuellement », explique l’ancien ASV, devenu enseignant. Alors, envie de sauter le pas ?

Pour en savoir plus sur ces écoles implantées un peu partout dans l’Hexagone, vous pouvez vous rendre aux journées portes ouvertes, pour savoir si la formation proposée correspond à vos attentes ! Pour connaître les dates de ces JPO, consultez le site internet de SupVéto !


©SupVéto

Trouve ton diplôme
en 1 min avec Diplomeo ! Trouver mon école

Plus de contenus

Toutes les actualités
Ne manque aucune info pour t’orienter
Deux fois par mois, reçois une newsletter par mail avec l’actu et nos conseils sur l’orientation.
En cliquant sur "S’inscrire", tu acceptes les CGU et tu déclares avoir lu la politique de protection des données du site Diplomeo