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IMT-BS : “Les étudiants ne sont pas juste des dossiers : il y a un réel suivi.”

Maud Crépin a 21 ans. Actuellement en première année de master English Track à Institut Mines-Télécom Business School, elle livre son témoignage sur ses années passées au sein du Bachelor de cette grande école de commerce.
Mis à jour le / Publié à 8h20 — Sponsorisé par Institut Mines-Télécom Business School.
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IMT-BS : “Les étudiants ne sont pas juste des dossiers : il y a un réel suivi.”

Maud Crépin a 21 ans. Actuellement en première année de master English Track à Institut Mines-Télécom Business School, elle livre son témoignage sur ses années passées au sein du Bachelor de cette grande école de commerce et sur les nombreuses opportunités qu’elle a pu saisir au cours de son cursus.

Peux-tu nous parler de ton parcours ?

J’ai obtenu mon bac ES il y a 4 ans. J’ai alors passé le concours Passerelle Bachelor. Je me suis rendue dans différentes écoles pour passer des oraux. Au final, j’ai décidé d’intégrer IMT-BS et son Bachelor en Management et Nouvelles Technologies. À l’issue de ces trois années, j’ai passé le concours Passerelle 2 pour poursuivre en Master, j’ai décidé d’intégrer à nouveau IMT-BS.

Pourquoi avoir choisi d’entrer en bachelor à IMT-BS ?

J’ai intégré le bachelor parce que je ne me sentais pas prête à faire une prépa, ni à aller à la fac. Il fallait que je sois quand même relativement encadrée, tout en gardant un maximum de portes ouvertes, puisque je ne savais pas précisément ce que je souhaitais faire. Le bachelor a été le meilleur choix pour moi, car il m’a permis de découvrir de nouvelles matières, mais aussi, car c’est un cursus professionnalisant et tourné vers l’international.

Quel est le programme du bachelor à IMT-BS ?

La première année est celle de la découverte de nouvelles matières. Ce sont des modules de 3h, avec 1h30 de théorie et 1h30 de pratique. On a des cours de comptabilité, de marketing, de droit, de vente, de programmation...Il y a énormément de matières ! On travaille également beaucoup avec les nouvelles technologies pour être prêt à répondre aux exigences des entreprises.

Les cours de développement personnel m’avaient énormément plu. J’ai pu y travailler sur mon aisance à l’oral, qui était l’une de mes lacunes, avec un professeur génial, qui nous poussait à prendre la parole, nous donnait des techniques, nous faisait jouer des pièces de théâtre... J’aimais également beaucoup les cours de ressources humaines et j’ai d’ailleurs effectué un stage dans le domaine ensuite.

Au cours des années, on approfondit toutes ces matières. La deuxième année est un peu plus spécifique, puisque finalement des étudiants internationaux rejoignent la promotion et on passe davantage à de la construction de projet et à du travail de groupe.

«L’échange culturel était extrêmement riche, nos camarades venaient du monde entier, et pas seulement d’Europe. C’était très intéressant d’observer le mode d’apprentissage de chacun.»

Quelle expérience tires-tu de cette promotion partagée avec des camarades internationaux ?

L’échange culturel était extrêmement riche, nos camarades venaient du monde entier, et pas seulement d’Europe. C’était très intéressant d’observer le mode d’apprentissage de chacun. Dans notre petite promo, on avait nos habitudes : en tant que Français, on travaillait d’ailleurs de manière assez similaire. Et là, c’était deux salles deux ambiances !

On découvrait les points faibles et les points forts de chacun. Dans un sens, on se complétait tous. On avait tous des points de vue, des âges, des visions et des projets différents. C’était un peu compliqué de s’adapter au début, mais on s’y fait vite et ça nous a aussi permis de prendre du recul, d’être plus patient, plus observateurs et à l’écoute.

Un échange international est prévu en troisième année de bachelor. Tu t'es rendue à l’université San Ignacio de Miami. Pourquoi avoir choisi cette destination ?

On avait de nombreux choix : Irlande, Espagne, Corée,… et Miami faisait fraîchement partie des accords. Outre le fait que ça soit une destination du type « il fait beau, il fait chaud », c’était surtout parce qu’il s’agissait des États-Unis : une puissance économique imposante et une culture totalement différente. Mais c’était également un endroit qui me permettrait d’améliorer mon niveau d’anglais, qui n’était pas mauvais, mais je voulais être vraiment à l’aise dans cette langue.

Que t'a apporté cet échange ?

D’abord, nous avons découvert une façon différente d’apprendre. Il fallait déjà avoir lu les livres au programme et préparer les cours en amont, pour débattre, poser des questions et vraiment réfléchir tous ensemble le jour J. C’est une synergie totalement différente de celle de la France, où on est assis et on nous apprend des choses.

Ensuite, ça nous a aidées à aller vers les autres. Avec ma camarade de promo, on ne connaissait personne quand on est arrivées. Il y avait beaucoup d’étudiants d’Amérique latine qui se connaissaient déjà et qui étaient là le semestre précédent. On ne connaissait rien, mis à part l’anglais. On n’a donc pas eu d’autre choix que de se lancer et d’aborder les autres.

As-tu gardé contact avec tes camarades de San Ignacio ?

Oui, c’est un vrai lien qu’on a créé là-bas ! Je les ai au téléphone toutes les 2-3 semaines. Ils se sont dispersés un peu partout aux États-Unis : certains sont à Orlando, à Miami, au Nevada, au Kentucky, à New York... D’autres sont retournés dans leur pays. Avec ma camarade, on était censés faire un road trip en Amérique et leur rendre visite pendant deux mois, mais ça a été reporté à cause de la crise du coronavirus. On a aussi prévu de visiter le Pérou dès que possible.

«Le département des stages est à notre disposition. Il nous aide dans la construction de notre CV, lettre de motivation et techniques d’entretien. On est encouragés à trouver notre stage par nous-mêmes afin de se familiariser avec les outils de recherche d’emploi, mais on peut se tourner vers eux en cas de problème.»

Après ton échange, tu as effectué un stage chez Maten en ressources humaines. Quelles étaient tes missions durant ce stage ?

J’étais chargée de recrutement. J’ai réalisé des fiches de poste et de compétences, des opérations de sourcing de CV. Je me suis occupée de l’entretien et du recrutement de plusieurs candidats. Au fur et à mesure que le stage avançait, j’ai manifesté mon envie d’apprendre le travail de chargé e d’affaires. Ma responsable m’a donc fait basculer sur ce poste.

As-tu eu l’occasion d’effectuer d’autres stages durant ton bachelor ?

Oui, à la fin de la première année de bachelor, un stage obligatoire de deux mois est prévu. Je l’ai fait dans la dématérialisation 3D de chantier, dans une startup qui s’appelle VTour, fondée par l’un de nos professeurs. Je l’ai accompagné sur des rendez-vous clients et j’ai réalisé des maquettes pour réagencer leur site internet. En deuxième année, nous n'avons pas d'obligation d'en effectuer de nouveau. Cependant, j'ai décidé d'effectuer CDD de trois mois dans l'administration.

Qu’est-ce que ces stages t'ont apporté ?

Premièrement, ça m’a permis de me rendre compte de ce que c’était de travailler en entreprise, car la théorie et la pratique sont deux choses totalement différentes, mais complémentaires. Humainement, ça m’a également appris à prendre du recul, à ne pas prendre les choses trop à cœur et à gérer les conflits. Ça peut paraître un peu bête, mais c’est vrai qu’on n’est pas formés à ce genre de choses en cours.

IMT BS

Comment se passe l’accompagnement à IMT-BS pour les stages et l’alternance ?

Le département des stages est à notre disposition. Il nous aide dans la construction de notre CV, lettre de motivation et techniques d’entretien. On est encouragés à trouver notre stage par nous-mêmes afin de se familiariser avec les outils de recherche d’emploi, mais on peut se tourner vers eux en cas de problème. On a également un très grand réseau d’alumni. Très souvent, on reçoit des propositions par mail. On a aussi une plateforme pour déposer nos CV.

Hormis l’accompagnement pour les stages, on a aussi quelqu’un d’extraordinaire : Anne-Laure, qui est en charge de notre scolarité, elle nous suit de la première année à la dernière année. Elle prend le temps de connaître tous les élèves afin d'affiner notre suivi. Elle nous aide et nous soutient quoi qu'il arrive. Si on a un quelconque problème, on va vers elle. Pour moi c’est une personnalité indissociable du Bachelor. Les étudiants ne sont pas juste des dossiers : il y a un réel suivi.

Désormais, tu es en première année de master PGE English Track, toujours à IMT-BS. Pourquoi avoir continué tes études dans la même école ?

Le bachelor que j’ai suivi m’a laissé le temps de réfléchir.J’ai pu toucher à tout et ça m’a permis de savoir ce que j’aimais le plus. En l’occurrence : le business, la création de projets, le management, la RH et surtout l’international. Et je savais très bien que IMT-BS m’offrait de nouvelles opportunités à ce niveau. Je suis allée voir les programmes des autres écoles, mais IMT-BS collait bien mieux à mes attentes.

Quels sont tes projets d’avenir ?

Je rêve de voyager, mais pour l’instant ce n’est pas possible. J’espère pouvoir m’épanouir, apprendre de nouvelles choses, continuer d’apprendre et de gérer plein de projets différents. Dans l’absolu, j’aimerais trouver un travail en tant qu’ingénieure d’affaires internationale. Ce que je recherche le plus c’est de rester dans le commerce et l’international. Combiner tout ça serait juste extraordinaire pour moi.

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