Marketing, finance, management, ressources humaines… Les secteurs auxquels forme l’ISC Paris à travers ses Masters of Science (MSc) sont nombreux. En 12 ou 18 mois, l’école de commerce propose aux titulaires de bac +3 à bac +5 d’obtenir une double compétence en management et dans la spécialisation de leur choix.
Ce cursus, professionnalisant grâce au rythme de l’alternance et dont la pédagogie est adaptée aux besoins des entreprises, est le combo gagnant pour ceux qui savent où ils veulent aller et qui cherchent à acquérir des compétences pointues dans un domaine précis. Le plus ? Les MSc boostent la carrière des diplômés, aussi bien en France qu’à l’étranger !
Des cursus spécifiques et en alternance pour un maximum d’expérience
Plus de 180 intervenants professionnels partagent leur expérience aux étudiants de l’ISC Paris. Le but ? Transmettre des connaissances en phase avec les attentes du monde du travail et préparer les futurs diplômés de MSc aux réalités du terrain, grâce à l’une des 11 spécialisations en alternance.
« Certains arrivent déjà avec leur propre alternance, mais finissent par changer, car ils veulent tenter l’expérience ailleurs et acquérir de nouvelles compétences », apprend Mohamed Debboun, chargé des relations entreprises.
L’école aura donc tendance à conseiller les jeunes de partir vers de nouveaux horizons. « L’alternance donne l’opportunité d’apprendre différemment, dans des secteurs différents et des sociétés différentes », souligne Arnaud Teulé, directeur de CFA. « Ils ont ainsi la possibilité de déterminer réellement ce qu’ils aiment ou n’aiment pas faire. » Start-up, PME, grandes entreprises, en métropole, en région : les étudiants sont invités à tout essayer pour tenter de définir leur avenir !
© Capture d’écran / Brochure Alternance ISC Paris
Cette ouverture sur un grand nombre de secteurs s’explique par la diversité des spécialités proposées à l’ISC Paris. « Nos MSc représentent de vraies spécialisations, qui ouvrent les portes aux jeunes diplômés et facilitent leur insertion professionnelle », indique le chargé des relations entreprises. « Management des industries de la santé, on ne trouve pas ça partout. C’est ce qui fait notre force et ce qui attire les candidats. »
En plus de séduire les étudiants, cette pédagogie est très appréciée par les entreprises elles-mêmes. « De nombreuses sociétés m’appellent souvent à la recherche d’étudiants pour un stage ou une alternance, car elles savent qu’ils ont les compétences nécessaires pour travailler avec leurs équipes », confie Arnaud Teulé. « Elles sont si satisfaites, qu’il n’est pas rare que les jeunes diplômés poursuivent sur un CDD ou un CDI au sein même de ces organisations », renchérit-il.
La possibilité de faire carrière en France comme à l’étranger
Qu’ils souhaitent devenir chef de projet web, contrôleur financier ou encore chargé d’affaires internationales, l’avantage est que les diplômés d’un MSc peuvent prétendre à ces carrières aussi bien dans l’Hexagone que hors frontières. En effet, les enseignements dispensés par chaque spécialisation ont une approche internationale qui permet aux apprenants d’élargir leurs perspectives professionnelles.
Cerise sur le gâteau : « On permet à nos alternants de partir deux semaines à l’étranger au sein d’une université partenaire, à condition que l’entreprise d’accueil donne son accord », explique Arnaud Teulé. « Ils peuvent aussi décider de partir en filiale, c’est-à-dire au sein des locaux que l’entreprise a éventuellement à l’étranger », spécifie-t-il. Autre cas de figure pour avoir un parcours international tout en étant alternant : la mission professionnelle. « L’étudiant peut, par exemple, aller démarcher un produit à l’étranger », expose le directeur de CFA.
Madrid, New York, Montréal, Amsterdam… Les destinations européennes et internationales ne manquent pas. « Le but étant de les faire progresser en langues étrangères et de prétendre à des postes de cadres à l’étranger, les cours sont exclusivement dispensés en anglais », souligne-t-il.
Un Career Center à la disposition des étudiants
Quoi de mieux qu’une immersion totale dans le monde du travail pour se confronter à la réalité de la vie active ? Certes, mais encore faut-il y être préparé. C’est là qu’entrent en jeu le Career Center et tous les dispositifs mis en place pour accompagner les étudiants dans le processus de l’alternance. « Quand ils sont admis, nous lançons rapidement des webinaires pour présenter l’alternance », indique Mohamed Debboun. « Nous voulons qu’ils prennent conscience des aspects positifs, mais aussi de l’engagement que cela engendre », précise-t-il.
Une fois que la piqûre de rappel est faite, place à l’accompagnement. « À la demande de nos étudiants, nous organisons des ateliers de groupe pour les aider dans la préparation du CV, de la lettre de motivation ou encore des entretiens », explique le chargé des relations entreprises. « On leur donne notamment des astuces, comme le fait d’ajouter une phrase d’accroche dans son CV ou d’intégrer un QR code qui renvoie directement vers le profil LinkedIn », mentionne-t-il.
En parlant de LinkedIn, l’école de commerce a mis en place un groupe privé sur le réseau social professionnel, accessible à tous les profils admis. Ce dernier regroupe toutes les offres d’alternance ou de stage susceptibles de les intéresser. « Pour ceux qui ont un profil LinkedIn, ça peut aller très vite », révèle Mohamed Debboun.
En plus de leur fournir des conseils techniques, les équipes pédagogiques font le nécessaire pour que chaque étudiant trouve l’organisme qui sera en accord avec son projet professionnel. Ainsi, des jobs datings sont organisés tout au long de l’année, avec des entreprises partenaires issues de plusieurs secteurs d’activités. L’occasion de rencontrer son potentiel futur employeur !
Afin de rassurer les jeunes qui manquent de confiance en eux faute d’expérience, Mohamed Debboun met l’accent sur un point important : « Le fait de ne pas avoir d’expérience n’est pas rédhibitoire pour les candidats. » Le chargé des relations entreprises est convaincu que ce sont la personnalité et les qualités humaines qui font la différence en entretien. Et Arnaud Teulé confirme cette manière de penser : « Les entreprises sont conscientes que ce sont des jeunes qui sont en formation et qui sont là pour apprendre. Les compétences, ce sont elles qui doivent leur enseigner. »