ISC Paris : une fenêtre ouverte sur le monde

Faire ses études dans une excellente école de commerce en France, c’est bien. Pouvoir partir en échange à l’étranger dans le cadre de ses études, c’est mieux ! À l'ISC Paris, les étudiants doivent obligatoirement se former dans un autre pays. À quoi ressemble la vie de ces expats ? On les a interrogés !
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Toronto de nuit © Gregory Muller

Étudiants à l'ISC Paris, Ké et Grégory ont fait le choix de cette école de commerce pour ses opportunités académiques et internationales. Étudiante en bachelor au sein de l’institution, Ké est aujourd’hui en échange à Lingnan University (Hong Kong). De son côté, Grégory a fait le choix de Wilfrid Laurier University à Waterloo (Canada) dans le cadre de son master en gestion de projet.

Les deux étudiants de l’école se confient sur cette expérience folle qu’ils recommandent à 100%, mais aussi sur la manière dont l’école les a accompagnés pour préparer leur échange en immersion dans une autre culture. Rencontre.

Pourquoi l'ISC Paris était-il un choix évident après vos études ?

Ké : Je m’intéressais à la finance et, n’étant pas sûre de ce que je voulais faire après mon bac, j’ai décidé d’intégrer une école de commerce. Si j’ai choisi l'ISC Paris, c’est par rapport au classement de son bachelor, mais aussi aux opportunités internationales offertes aux étudiants. J’ai aussi été attirée par le parcours 100% en anglais, ayant étudié dans un lycée bilingue.

Grégory : Je viens d’un BTS MCO. J’ai intégré le bachelor d'une autre école de commerce, puis j’ai cherché une école qui permettait de partir en échange dès la première année de master. C’était une composante qui manquait à mon parcours. Je voulais aussi lier cela à un cursus qui propose l’alternance en deuxième année. C’était le cas à l'ISC Paris, qui est partenaire des écoles qui m’intéressaient au Canada.

Ké, qu’est-ce qui t’a donné envie d’aller à Hong Kong ?

Ké : L’Asie de l’Est est un territoire inconnu pour moi. Étant sénégalaise et ayant beaucoup voyagé en Europe, je voulais découvrir un nouvel environnement et une nouvelle culture. Hong Kong est idéal car la majorité de la population parle anglais et je voulais éviter d’être confrontée à la barrière de la langue.

Grégory, pourquoi avoir choisi le Canada ?

Grégory ISC Paris

Grégory en visite à Détroit © Grégory

Grégory : C’est un pays cosmopolite doté d’une immense richesse culturelle. Adorant la nature, j’étais naturellement intéressé par cette destination. J’avais exploré la partie française étant plus jeune. Actuellement, je suis proche de Toronto et je découvre un environnement très américanisé avec d’énormes campus. C’est super !

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Comment l’ISC Paris vous a accompagné pour préparer vos échanges ?

Ké : L’école m’a aidé à choisir le pays qui me convenait le mieux et mon université. Il n’y a pas que l’aspect académique à prendre en compte quand on part en échange, il y a aussi tout ce qui touche à l’environnement, à la dimension économique… Les démarches administratives sont aussi stressantes et l'ISC Paris s’est occupé de tout avec moi. Ils m’ont aussi donné des conseils pour les logements et, dès que j’ai une question, j’envoie un mail. Ils sont extrêmement réactifs.

Grégory : J’ai fait mes démarches seul, mais ils sont disponibles pour répondre à toutes nos questions et m’ont envoyé des liens pour les appartements.

Quelles sont les principales différences qui vous ont surpris ?

Grégory : Le campus n’a rien à voir. On a une piscine olympique, un complexe sportif, une salle de sport sur deux étages qui est 100% gratuite pour les étudiants, un terrain de basket, de volley, de badminton… C’est une mini-ville et il est facile de se perdre la première semaine ! L’autre différence notable, c’est le fait que les Canadiens sont moins réservés. Ils n’ont pas peur de poser des questions, de passer à l’oral et d’interagir avec toi. Ils n’hésitent pas non plus à se contredire en cours, mais toujours avec bienveillance.

Ké :Les Hongkongais sont très timides. Ils restent accueillants et très ouverts, mais c’est à nous de faire le premier pas. Sur le plan architectural aussi, c’est très loin de ce que j’ai pu voir au Sénégal ou en France. Je suis entourée de grands immeubles et on constate l’absence d'espaces verts ou même de maisons.

À quoi ressemble votre quotidien ?

Grégory : J’ai cours du lundi au vendredi de 19h à 22h. La journée, je profite de la salle de sport et je poursuis ma recherche d’alternance pour l’année prochaine. Je travaille aussi sur mes projets de groupe. Le week-end, dès que je peux, je visite. Je suis parti à Detroit, une ville qui m’intéressait pour sa forte culture afro-américaine. Je suis également allé à Toronto. L’hiver est rude au Canada, mais je vais profiter des beaux jours pour voyager davantage.

Ké ISC Paris International

Ké en visite autour de Hong Kong © Ké

Ké : Je suis beaucoup plus active ici qu’à Paris et j’essaie de faire des activités tous les jours. Il y a beaucoup de circuits de randonnée vers Hong Kong ! Sinon, j’en profite pour visiter des musées, des îles, faire du sport, sortir avec les amis que je me suis faits sur place. J’essaie de faire quelque chose tous les jours pour n’avoir aucun regret à mon retour.

Que pensez-vous des cours dans vos universités d’accueil ?

Ké : C’est vraiment très différent de ce que j’ai pu vivre en France. À Hong Kong on a beaucoup moins de travail de groupe ou de présentations. Le professeur déroule simplement son cours en amphithéâtre.

Grégory : Les cours sont plus orientés vers l'interaction. On ne va pas se contenter d’écouter le professeur pendant trois heures. Il pose une question, puis on débat et on construit le cours ensemble. Les enseignants sont d’ailleurs beaucoup plus amicaux et n’hésitent pas à organiser des goûters à la fin des classes. On a plus de contrôle continu, de travaux de groupe. Dans certaines matières, la participation compte pour 20% de la note.

Que pensez-vous de la vie étudiante dans vos pays respectifs ?

Ké : C’est beaucoup plus facile de s’intégrer. Dès qu’on arrive, un « buddy » vient nous chercher à l’aéroport et nous fait visiter la ville et organise des sorties. L’université fait vraiment tout pour qu’on s’intègre avec les étudiants locaux qui n’hésitent pas à partager leurs tips. On reçoit également de nombreuses invitations pour des activités.

Grégory :Les gens sont très sociables, mais il faut aller vers eux. Au bout de 2h, ça leur paraît normal de t’inviter à boire un verre. Les responsables qui gèrent les élèves internationaux sont extrêmement bienveillants et organisent de nombreux événements comme la visite des Chutes du Niagara.

Cet échange a-t-il fait évoluer vos projets pro ou perso ?

Grégory : Le premier élément qui a changé, c’est ma vision du Canada. Je voulais y habiter plus tard, mais je préfère la France. L’hiver est rude, avec des températures avoisinant les -25°C que tu retrouves pendant six mois. L’autre changement, c’est la confiance en moi. Je souhaite travailler dans la gestion de projet, un domaine dans lequel il faut être à l’aise à l’oral. Ici, on s’exprime en anglais devant 60 personnes et je me suis rendu compte que la confiance est la base de tout.

Ké : Sur le plan perso, j’ai découvert une culture riche et j’ai beaucoup appris. Sur le plan professionnel, j’ai pu rencontrer des expatriés, participer à des événements… C’est un véritable hub de la finance et je suis en train d’étudier la possibilité de venir travailler en Asie.

Quel conseil donneriez-vous à un étudiant qui hésite à partir à l’étranger pour ses études ?

Grégory : Il faut choisir une grande ville, car il est facile de s’ennuyer dans une petite ville, surtout que le Canada est très dépendant de la voiture. Il peut y avoir des hauts et des bas, mais c’est une expérience enrichissante ! Il est facile de se faire des potes, si tu n’es pas timide.

Ké : Il ne faut pas hésiter et foncer les yeux fermés. Il est quand même recommandé d’apprendre quelques mots de cantonnais. Ça facilite l’interaction et ça montre aux locaux que tu t’intéresses à leur culture.

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