Les vacances, ce moment suspendu où tu ne sais plus quel jour on est (surtout entre le 25 et le 31 décembre), mais où tu sais très bien ce qui t’attend après, même quand tu es dans le déni ! Avant Noël, certains étudiants enchaînent les partiels en mode survie. Pour d’autres, c’est à la rentrée, la semaine du 5 janvier, que les choses s’accélèrent. Et entre les deux ? X (ex-Twitter, RIP) est devenu le journal intime collectif de la vie étudiante.
Stress des exams, bonheur d’entamer les vacances en ayant passé tous ses partiels, joie (ou non) de retourner chez les parents… Florilège de tweets, léger et sans rattrapage, sur ce moment si particulier que sont les congés de fin d’année pour les étudiants !
Les partiels avant les vacances : pour le meilleur et pour le pire
Pour certains, les vacs commencent vraiment après le dernier partiel. Pour d’autres, c’est tout pareil, mais elles commencent aussi avec trois heures de sommeil au compteur et beaucoup de déni sur les résultats à venir. Tu sais ce qu’on dit : on verra plus tard !

3 plus 0 plus 1 h 30 ? Je ne suis pas mathématicienne, mais ça ne sent pas bon !

Certains sortent de partiel, d’autres sortent d’un cauchemar.

Des vacances avec « un goût de bracelet électronique »
Officiellement, ce sont les congés. Officieusement, les exams planqués juste après le Nouvel An transforment les vacances en compte à rebours anxiogène.

Le calendrier universitaire n’a aucune pitié.

Le mot « vacances » n’a jamais été aussi relatif !

Aux grands maux, les grands remèdes…

Ces vacances n’ont certainement pas un goût de « reviens-y »
Vacances ou pas, rentrer chez ses parents (ou quitter sa ville étudiante pour quelques jours) est parfois un choc émotionnel. Après 24 heures à la maison, certains étudiants ne tiennent pas longtemps…

Et oui, le retour au bercail, ça se prépare mentalement ! (Véridique, il a la cote ce meme ! Si tu veux le trouver facilement, tu peux taper « Jason Isip running girl ».)

Et noyeux joel !






