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Miss France 2026 : quelles études ont suivi les candidates ?

Samedi soir, les prétendantes à la couronne Miss France vont défiler au Zénith d’Amiens pour espérer succéder à Angélique Angarni-Filopon. Si les paillettes et les strass leur vont bien, ce n’est pas que sur le podium qu’elles excellent. Zoom sur le parcours des Miss !
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La soirée que tu attendais tant arrive enfin ! Ce samedi soir, comme depuis des années, tu seras devant ta télé avec ta famille, en train de commenter chaque faits et gestes des candidates Miss France. Qui a le plus beau sourire ? Qui a le plus joli visage ? Mais aussi qui fait quoi ? Parce que oui, les candidates au concours de beauté sont bien évidemment loin de seulement savoir défiler en talons !

Chacune d’entre elles suit des études supérieures ou exerce un job, généralement complètement éloigné de l’univers de la beauté. Étudiante en médecine ou diplômée du domaine de l’immobilier : les voies empruntées par les candidates sont nombreuses. Pour les connaître un peu plus avant samedi, découvre leur profil académique !

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Santé, finance, immobilier : les diplômes de chaque Miss en lice

Au total, ce sont 30 candidates que tu vas découvrir samedi soir. Alors que certaines sont encore au milieu de leur parcours scolaire, d’autres sont déjà diplômées et exercent même une activité professionnelle. Parmi les aspirantes au diadème, 12 ont déjà leur diplôme en poche.

Miss Bourgogne

Charlène Laurin détient un bac+2 dans le domaine de la santé. Elle a réalisé un BP préparateur en pharmacie au sein d’un CFA et exerce aujourd’hui le métier de préparatrice en pharmacie. Elle a 22 ans.

Miss Corse

Manon Mateus s’est arrêtée au bac. À 23 ans, elle dirige une gelateria ambulante pour vendre des glaces !

Miss Île-de-France

Mareva Michel a aussi fait une école de commerce. De son côté, les études ont été plus courtes. Elle réalise un BBA (bachelor of business administration) en trois ans.

Miss Limousin

Aloïce Sejotte, elle, a choisi le domaine de la mode pour ses études. Elle passe un BTS métiers de la mode et occupe aujourd’hui un poste d’employée dans la maroquinerie de luxe.

Miss Lorraine

Camille L’Étang détient le diplôme d’État d’infirmier. Après 3 années d’études au sein d’un IFSI, elle exerce le métier d’infirmière dans un centre de cancérologie.

Miss Mayotte

Hervian Kamillat a fait des études au conservatoire d’art dramatique. Son rêve en plus de remporter la couronne ? Devenir actrice !

Miss Midi-Pyrénées

Léa Chabrel a fait 5 ans d’études pour obtenir un diplôme d’ostéopathie. Aujourd’hui, elle s’épanouit dans ce métier. Férue de sport, elle adore le ski et l’équitation !

Miss Nouvelle-Calédonie

Juliette Collet est passionnée par l’environnement marin. Elle obtient une licence de biologie marine et un master en gestion des risques naturels à l’université. À l’heure actuelle, elle est nageuse-sauveteuse et animatrice radio sur Nouvelle-Calédonie La 1ère.

Miss Poitou-Charentes

Agathe Michelet est restée très longtemps sur les bancs de la fac. Après 10 ans d’études de médecine, elle est aujourd’hui dentiste.

Miss Guadeloupe

Naomi Torrent a suivi un double master en management et ingénierie financière en école de commerce. Elle est donc titulaire d’un bac+5 dans le domaine de la finance et exerce aujourd’hui le métier d’analyste financière. Elle est la candidate la plus âgée de cette promotion (30 ans).

💡​ Le savais-tu ?

Auparavant, les candidates au concours Miss France devaient avoir entre 18 et 24 ans. Depuis 2022, cette règle a été supprimée. D’autres restrictions ont aussi été levées, comme l’interdiction aux femmes mariées et aux mères de candidater.

Miss Provence

Julie Zitouni a l’âme d’une négociatrice ! Elle obtient un BTS professions immobilières et se lance dans l’entrepreneuriat. En parallèle, elle est mannequin : peut-être une longueur d’avance sur ses concurrentes ?

Miss Tahiti

Hinaupoko Devèze n’est pas allée au bout de son parcours. Elle a abandonné ses études en fac de droit et travaille en tant que secrétaire administrative et organisatrice de séjours. Le mannequinat fait aussi partie de son quotidien.

Les candidates toujours étudiantes à l’heure du concours

La plupart des jeunes femmes ont mis leurs études en pause pour pouvoir assister à cet événement incontournable de la télévision française. Que ce soit dans l’immobilier, le droit, la santé ou le commerce, on peut dire que les futures Miss ont de belles ambitions de carrière !

Miss Franche-Comté

Comme Julie Zitouni (Miss Provence), Jade Cholley souhaite travailler au contact des gens, dans le domaine de l’immobilier. Elle suit actuellement un BTS PI et souhaite ouvrir sa propre agence.

Miss Alsace

Âgée de 20 ans, Julie Decroix vise un bac+5 en psychologie. Actuellement, elle est en licence à l’université de Strasbourg et réalise un job étudiant dans l’hôtellerie-restauration en parallèle de ses études.

Miss Aquitaine

Aïnhoa Lahitete débute à peine dans le monde de l’enseignement supérieur. Elle est en première année de licence de droit. À seulement 19 ans, elle tente sa chance dans la compétition après avoir été élue au Futuroscope de Poitiers en octobre dernier.

Miss Auvergne

Alice De Lima Guimaraes a opté pour le chemin de la prépa littéraire. Selon ce que l’avenir lui réserve, elle prévoit d’intégrer une licence en journalisme à la Sorbonne.

Miss Bretagne

Ninon Crolas a 18 ans et suit des études de santé dans un IFSI. Elle se prépare au concours de médecine, pour exercer un métier qui nécessite environ 10 ans d’études (spécialité neurologie). En parallèle, elle est pompier volontaire.

Miss Centre-Val de Loire

Anna Valero est aussi en plein dans ses études de santé à Tours. Elle aspire à se spécialiser en cardiologie. Sportive, la candidate pratique la danse et le judo.

Miss Champagne-Ardenne et Miss Languedoc-Roussillon

Ynès Lallemand et Lou Lambert dessinent leur trajectoire dans le domaine concurrentiel du droit. Elles sont actuellement en deuxième année de licence.

Miss Côte d’Azur et Miss Nord-Pas-de-Calais

Luna Maiolino et Lola Lacheré sont plutôt branchées commerce. Elles visent un bac+3 et préparent le BUT techniques de commercialisation dans un IUT.

Miss Guyane

Jamais deux sans trois ! Après Julie Zitouni (Miss Provence) et Jade Cholley (Miss Franche-Comté), Alicia Mertosetiko s’est elle aussi laissée séduire par le domaine de l’immobilier. Elle prépare un BTS professions immobilières en deux ans.

Miss Martinique

Léaline Patry reste dans le thème. Elle prépare un bachelor de stylisme et modélisme en école de mode (bac+3).

Miss Normandie

Victoire Dupuis est passionnée par le domaine de la communication ! Elle a intégré le PGE de l’ISCOM pour 5 années d’études.

Miss Pays de la Loire et Miss Réunion

Lola Winter et Priya Padavatan sont toutes les deux en licence de droit. La première souhaite devenir avocate spécialisée en droit des affaires.

Miss Picardie

Emma Bovin a choisi les études de santé. Elle passe le DE Infirmier au sein d’un IFSI.

Miss Rhône-Alpes

Noémie Baiamonte veut travailler dans le domaine de la beauté et de l’art. Elle prépare le bachelor maquilleuse plasticienne FX dans une école de cinéma.

Miss Roussillon

Comme Alice De Lima Guimaraes (Miss Auvergne), Déborah Adelin Chabal a un profil plus littéraire. Elle suit une licence d’espagnol à la fac. La plus jeune candidate de l’émission est aussi danseuse professionnelle depuis ses 16 ans.

L’université et la santé : les voies privilégiées des candidates Miss France 2026

Il est bien connu que les études de santé et de droit font partie des plus plébiscitées par les jeunes, et la tendance s’observe aussi chez les candidates à la couronne Miss France. Les deux filières sont les plus suivies, avec respectivement 7 et 6 candidates qui se sont lancées dans ces domaines.

Côté établissement, c’est l’université qui tire son épingle du jeu. Sur 30, elles sont plus d’un tiers à s’être dirigées vers cette voie. Viennent ensuite les lycées et les IFSI.

Le niveau d’études le plus présent chez les inscrites dans la compétition est le niveau bac+3. Que ce soit des licences ou des BUT, les jeunes femmes sont 14 à se lancer dans des études universitaires pour trois ans. Six des trente candidates optent pour des études plus courtes, en deux ans (BTS) et deux se sont arrêtées au niveau bac. Les études de médecine concernent trois Miss, qui vont jusqu’au bac+10.

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