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PASS/LAS : 5 conseils pour réussir sa première année de médecine

Au lycée, tu as toujours entendu dire que les études de médecine, c’est dur. Et c’est un fait ! Mais dur ne veut pas dire impossible, et tu peux tout à fait accéder au cursus de tes rêves. Tu veux connaître le secret de la réussite ? Le CPCM te livre ses astuces !
Publié le — Sponsorisé par CPCM.
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©CPCM

Ce n’est pas un secret : la première année de médecine est exigeante et nombreux sont celles et ceux qui ne parviennent pas à passer en 2e année. Mais, cette première année est une étape cruciale dans le parcours des futurs professionnels de santé, puisque c’est celle-ci qui détermine leur avenir dans l’univers médical.

Entre programme bien rempli, charge de travail élevée, journées sans fin ou encore mental au plus bas, les émotions peuvent être mises à rude épreuve. Mais, ceux qui réussissent haut la main sont eux aussi nombreux ! Tu veux faire partie des heureux élus ? Yanis Khedis, co-directeur de la prépa CPCM (Centre Préparatoire aux Carrières Médicales), te livre 5 conseils pour mettre toutes les chances de ton côté en première année d’études de santé !

CPCM, c’est quoi ? 📚

  • 20 étudiants par classe
  • 74 % de réussite en 2025
  • 37 années d’expérience
  • Spécialisation dans les 6 universités d’Île-de-France

1. Avoir une bonne méthode de travail

Le passage de la terminale à la première année de médecine représente un réel changement auquel les étudiants doivent se préparer. Finis les simples devoirs à rendre : pour réussir ses études de santé, il faut mettre les bouchées doubles. Pour ce faire, les étudiants en médecine doivent avoir une organisation rigoureuse et trouver la méthode de travail qui leur correspond et qui sera productive sur le long terme.

Selon Yanis Khedis, pas de secret : la méthode de travail dépend du profil de chacun. Technique Pomodoro, méthode J ou des flashcards ? À toi de voir celle qui te correspond le mieux ! Si tu as une mémoire auditive, prépare tes révisions à partir d’audios. Plutôt mémoire visuelle ou manuelle ? Si tu retiens mieux ce que tu vois ou ce que tu écris, tu peux toujours opter pour une de ces méthodes de travail !

Tu ne sais pas ce qui te convient le mieux ? N’hésite pas à demander de l’aide à ton établissement ! Au CPCM, les étudiants bénéficient de précieux conseils. « Pour les aider à s’organiser, à faire leur propre semainier, on leur pose des questions sur leur quotidien : est-ce qu’ils sont plutôt couche-tard ou couche-tôt ? Quelle est leur capacité de concentration ? Sont-ils plus productifs le matin ? Font-ils du sport ? Cela nous permet d’identifier, avec eux, la méthode de travail adaptée et dans laquelle ils se sentent bien », détaille le co-directeur.

D’autre part, il est important de maîtriser la prise de notes dans le cas où tu n’as pas de prépa. À la fin de ton cours, celles-ci doivent être claires et concises pour faciliter tes révisions. Il ne faut pas hésiter à utiliser des abréviations, des mots-clés ou encore des schémas pour illustrer ton cours. Enfin, si tu as du mal à bosser seul, tu peux aussi organiser des sessions de révisions avec tes camarades de classe, pour obtenir du soutien facilement en cas de doutes.

2. Faire des choix adaptés à son profil

Choisir de faire des études de santé, c’est se confronter à des difficultés majeures, à savoir : la densité du programme, le rythme de travail intense ou encore la pression psychologique. Pour arriver au bout de sa première année de médecine, il faut donc faire des choix judicieux que tu vas pouvoir assumer jusqu’au bout !

Et cela commence par bien choisir son université, sa mineure et sa prépa. En effet, chaque établissement a ses spécificités. Commence par te renseigner sur la pédagogie de l’université. Certaines proposent des matières majoritairement à réflexion, d’autres où l’accent est mis sur le par cœur. Vérifie aussi les parcours dispensés (PASS, LAS, LSPS), ainsi que la localisation géographique.

Le choix de la mineure est également primordial. Opte pour une matière qui t’intéresse et que tu es sûr de réussir pour passer en deuxième année. Les algèbres et les équations, ce n’est pas ta tasse de thé ? Oublie les mathématiques en mineure ! Retiens aussi qu’en cas d’échec, tu pourras poursuivre tes études en licence, correspondant à la mineure choisie.

Enfin, côté prépa, certains éléments sont indispensables : Les effectifs sont-ils réduits ? Y a-t-il un réel suivi ? Quels supports pédagogiques sont mis à disposition des étudiants ? Renseigne-toi aussi sur le nombre d’heures de cours proposé par les prépas, si tu envisages d’en faire une. Par exemple, au CPCM, les étudiants ont environ 8 heures de cours par semaine, leur permettant ainsi de se rendre à la faculté de manière assidue.

Bon à savoir 💡

CPCM propose un stage de pré-rentrée à celles et ceux qui souhaitent prendre de l’avance sur le programme. Pendant deux semaines de stage intensif, près de 50 % du programme du 1er semestre est traité. Il permet donc d’avoir une longueur d’avance et est un tremplin vers l’année à venir.

3. S’entraîner régulièrement

La prépa est un entraînement intensif permettant aux étudiants de dissiper tous leurs doutes sur des notions qui leur seraient obscures. Au CPCM, rien n’est laissé au hasard : toutes les séances sont orientées vers une compréhension approfondie des cours universitaires. Au programme ? Des explications détaillées et des entraînements réguliers. 

« Il est indispensable de s’entraîner pour développer des automatismes en termes de temps. Pour répondre à une question dans un QCM, il faut environ 1 minute, 1 minute 30. Si l’étudiant ne s’entraîne pas pour être dans le bon timing, malheureusement, le jour J, il se retrouvera en difficulté », explique le co-directeur. S’entraîner régulièrement permet aussi de contourner les possibles pièges dans les QCM, de comprendre le sens des questions et de valider que tu as bien compris ton cours !

Au CPCM, des QCM avec corrections basés sur les annales des années précédentes sont mis à disposition des apprenants et des examens blancs, ainsi que des oraux (appelés colles) ont lieu pour les mettre dans de réelles conditions.

4. Réviser avec du contenu de qualité

S’entraîner c’est bien, mais avec des supports adaptés c’est encore mieux. Et ça, le CPCM l’a bien compris ! En effet, la prépa anticipe le travail des étudiants en leur proposant des fiches de cours pour chaque matière. « Sur ces fiches, on ajoute des schémas pour plus de compréhension, on met en lumière ce qu’il faut absolument apprendre par cœur et ce qui est tombé lors des examens des années précédentes », précise Yanis Khedis. « Bénéficier de ce contenu de qualité permet à la fois de gagner du temps et d’optimiser ses révisions », ajoute le co-directeur.

En plus des supports proposés par ta prépa, tu peux aussi avoir recours à tes professeurs. Au CPCM, tout l’intérêt de former des promotions à effectifs réduits est d’avoir une réelle proximité entre les étudiants et les professeurs, et ce même à distance : « Sur son espace personnel, un étudiant peut poser ses questions à n’importe quel moment à chacun de ses professeurs et avoir une réponse sous 48 heures. »

Quelques chiffres du CPCM en 2024 🔎

  • UPEC et Université Sorbonne Paris Nord : 75 % d’admis en 2e année
  • Université Paris Cité et Sorbonne Université : 73 % d’admis
  • UVSQ et Université Paris Saclay : 71 % d’admis

5. Avoir un bon mental

Les promotions à taille humaine ne permettent pas seulement de savoir qui est qui. Cette pédagogie permet aussi d’améliorer les relations entre les étudiants d’une même classe, et donc de travailler ensemble, pour se motiver ensemble. Résultat ? Un moral et un mental boostés !

Mais, plus facile à dire qu’à faire. Une fois le nez plongé dans les études de médecine, certains sont confrontés au stress ou à la compétition et vient le fameux : « Je n’y arriverai jamais ». Pour être prêt psychologiquement et regagner confiance en soi, il existe des méthodes efficaces. Le CPCM opte pour des séances de coaching mental. « Notre coach mental intervient à la fois sur de la gestion du stress, sur des exercices de respiration, sur la façon d’appréhender l’examen et notamment sur la confiance en soi. »

Tu en as conscience : les études de médecine sont difficiles. Les places sont limitées et c’est la raison pour laquelle il est indispensable d’appliquer ces conseils une fois que tu es accepté en études de santé. Évidemment, au-delà de choisir la bonne méthode de travail, la mineure qui te correspond ou la prépa idéale, il faut que tu te donnes les moyens de réussir. « La réussite reste dans les mains de l’étudiant. La prépa va donner des outils, mais c’est à lui de mettre en place toutes les bonnes actions pour réussir », conclut Yanis Khedis.

Postule en prépa médecine au CPCM

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