Média

De KEDGE au monde du luxe : Titouan raconte son parcours

L’école de commerce ouvre-t-elle toutes les portes ? C’était la conviction de Titouan qui a intégré le programme Grande École de KEDGE Business School. Pour Diplomeo, il revient sur son passage au sein de l’établissement qui l’a mené vers le job de ses rêves.
Publié le — Sponsorisé par KEDGE Business School.
Lecture
https://f.hellowork.com/edito/sites/5/2025/06/image0-1.jpeg
© Titouan

KEDGE : l’école de tous les possibles ? Avec ses cursus — et notamment son Programme Grande École (PGE) —, l’institution ouvre les portes de nombreux métiers (finance, marketing, logistique) dans des secteurs variés comme le luxe !

C’est séduit par cette promesse que Titouan s’est inscrit au concours ECRICOME bac+2, à l’issue de son BTS en commerce international. Cette voie d’accès ouvre les portes du PGE — une formation qui délivre le grade de master — de 5 écoles de commerce, dont KEDGE. Grâce à cela, il a pu réaliser son rêve : travailler dans le monde des achats dans l’univers de l’horlogerie de luxe. Le jeune diplômé se confie sur son expérience au sein de KEDGE et dans son job actuel.

Qu’est-ce qui t’a donné envie d’intégrer KEDGE après ton BTS ?

J’avais envie de poursuivre mes études jusqu’à un bac+5, car je ne voulais pas m’arrêter à un diplôme de niveau bac+2. Intégrer une école de commerce s’est donc imposé comme la suite logique. Ce qui m’a attiré à KEDGE, c’est l’expertise reconnue dans les domaines de la supply chain et des achats. Même si je restais ouvert à d’autres opportunités, ce secteur m’intéressait particulièrement. Un autre point décisif a été la possibilité, pour les étudiants de l’école, de se confronter très tôt à la réalité du monde professionnel, à travers les stages, l’alternance, les cas pratiques ou encore l’engagement associatif.

Passionné par l'univers des achats, de la supply chain ou de la logistique ?

Découvre tous les cursus proposés par KEDGE

Comment décrirais-tu ton expérience à KEDGE ?

Il y a plein de dispositifs intéressants à KEDGE, mais il faut être proactif et oser aller plus loin que ce que l’école apporte durant les cours, comme avec le parcours manager engagé ou les Pro-Act Be-U qui sont des projets concrets à réaliser, à vocation humanitaire ou engagés.

Quel projet as-tu choisi pour ton Pro-Act Be-U ?

J’en ai fait plusieurs. Le premier était un tutorat d’un projet lycéen : la Course en cours. Il s’agit d’une compétition durant laquelle les étudiants se réunissent autour de la fabrication d’une petite voiture et abordent tous les aspects de ce processus : création de stand, design, marketing, communication… J’y avais participé quand j’étais en seconde et j’ai pu leur faire profiter de mon expérience.

Mon autre Pro-Act Be-U était l’organisation d’une conférence avec Alain Juppé et celle qui était à l’époque ministre chargée des Affaires européennes, Nathalie Loiseau, sur le campus de KEDGE. Je me suis retrouvé avec d’importantes responsabilités. Le bon déroulé de cet événement ne dépendait que de la bonne coordination des équipes et c’était très enrichissant comme expérience.

KEDGE est un terrain d'exploration idéal pour une personne curieuse

Tu t’es aussi engagé dans la vie associative en rejoignant SimONU. Qu’est-ce que c’est ?

L’engagement dans la vie associative est un passage obligatoire à KEDGE ! L’école peut se targuer d’avoir des associations qui sont très expertes dans leur domaine et bénéficient d’une belle visibilité.

SimONU est l’asso de géopolitique de KEDGE. Elle est calquée sur le modèle des Nations unies qui est très répandu dans les pays anglosaxons. L’objectif ? Représenter un pays sur un sujet précis, comme la position de l’Allemagne sur l’arme nucléaire par exemple. Ensuite, il faut préparer son dossier pendant 4 à 6 mois avant de le défendre pendant une simulation de discussion des Nations unies avec des étudiants qui viennent du monde entier.

Quand on m’a présenté SimONU, je n’ai pas hésité une seule seconde. Cela permet de pratiquer la prise de parole en public et l’aisance dans les négociations. Il faut réaliser des discours formels en anglais, parfois devant plusieurs centaines de personnes. Il y a aussi tout un volet d'organisation d'événements à l'échelle locale, permettant aux étudiants de la région de mettre un pied dans la diplomatie.

Le but d’une école de commerce, c’est aussi de t’amener vers le monde pro. Quid de l’accompagnement proposé par KEDGE ?

KEDGE propose plein d’outils comme des ateliers pour faire son CV, des conseils d’orientation, forums entreprises… Ce qui m’a le plus marqué, ce sont les conférences à thème autour de métiers ou d’entreprises qui viennent partager leur quotidien. Ça permet de déconstruire des stéréotypes autour de certains jobs et secteurs.

Ce que tu as appris à KEDGE te sert-il dans ton quotidien ?

Je retiens surtout l’ouverture d’esprit très utile quand on arrive en entreprise.KEDGE est un terrain d'exploration idéal pour une personne curieuse. C’est déterminant pour se faire à la culture interne, mais aussi aux différentes façons d’exercer un même métier. S’il y a bien quelque chose que j’ai découvert en école, c’est qu’il y a une énorme différence entre la théorie et la pratique.

En école de commerce, on retrouve un nombre de débouchés conséquent.

De ton côté, tu t’es intéressé au luxe. Qu’est-ce qui t’a attiré dans cet univers ?

C’est vraiment un hasard. Pour mon premier stage, je postulais dans tous les secteurs, car tout m’intéressait. Et Louis Vuitton ont été les premiers à me donner ma chance. J'ai intégré le pôle achats maroquinerie et c’est une branche que j’avais toujours voulu explorer. J’ai travaillé avec des tanneurs, un métier très artisanal et j’ai eu la chance de me déplacer chez les fournisseurs et de suivre toutes les étapes de production du cuir. J’ai découvert l’artisanat dans les maisons de luxe.

Ce que j’apprécie dans cet univers, c’est que le métier d’acheteur y est très différent. Ici, la question du coût n’est pas centrale : le véritable enjeu réside dans la qualité des produits et les capacités de production. On cherche à créer une relation avec des fournisseurs historiques qui travaillent avec nous depuis plusieurs décennies. C’est beaucoup plus humain.

Aujourd’hui tu es dans l’horlogerie de luxe. À quoi ressemble une journée type ?

L’avantage de mon métier, c’est que les journées sont rythmées et variées. C’est un secteur où tout le monde est basé en Suisse. Il y a donc cette proximité avec les fournisseurs qui est attachante. Dans mon portefeuille, j’en ai une quinzaine avec qui j’échange au quotidien. J’essaie de les aider au mieux en cas de difficulté et de prendre du temps avec eux pour les accompagner.

J’ai également une chance : celle d’avoir mon bureau au sein de la manufacture. Je suis connecté avec mon cœur de métier. Je peux assez aisément enfiler une blouse et aller voir les horlogers travailler. Je le fais toutes les semaines pour avoir un contact avec le produit fini et les montres. C’est vraiment passionnant.

Un conseil pour un étudiant qui hésite à s’inscrire dans une business school ?

Il ne prend pas énormément de risques. En école de commerce, on retrouve un nombre de débouchés conséquent. En revanche, j’incite tous les étudiants à cultiver cette volonté d’aller plus loin, d’aller chercher les dispositifs qui vont les aider à ouvrir des portes et dénicher des opportunités intéressantes.

Trouve ton diplôme
en 1 min avec Diplomeo ! Trouver mon école

Plus de contenus sur Actu des écoles

Toutes les actualités
Ne manque aucune info pour t’orienter
Deux fois par mois, reçois une newsletter par mail avec l’actu et nos conseils sur l’orientation.
En cliquant sur "S’inscrire", tu acceptes les CGU et tu déclares avoir lu la politique de protection des données du site Diplomeo