Tu cherches un métier qui a du sens et à faire la différence dans la vie des gens ? Si tu es empathique, que tu as un bon sens du relationnel et un esprit d’analyse affûté, tu n’as peut-être pas pensé aux métiers de la banque ni du conseil. De chargé d’affaires à banquier privé, en passant par ingénieur patrimonial ou contrôleur de gestion, ce secteur offre pourtant un vaste panel de métiers incontournables dans la vie des particuliers comme des entreprises, pour mener à bien leurs projets.
C’est précisément à ces professions que forme le MBA banque et chargé d’affaires Entreprises de Financia Business School. L’école de référence, spécialisée en finance, propose un parcours hyperspécialisé sur deux ans, reconnu par l’État et 100 % en alternance. Le but : préparer les jeunes à tous les métiers de la banque, où les besoins sont grandissants et les possibilités d’évolution très nombreuses. Suis le guide !
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Une approche concrète, enseignée par des professionnels du secteur
Soucieuse de former des experts opérationnels dès les bancs de l’école, Financia Business School aborde les métiers de la banque via trois angles concrets. Ceux-ci sont enseignés par des professionnels du secteur « de haut vol », nous explique Thomas Thouillez, directeur du MBA Banque.
« Le premier volet concerne l’accompagnement commercial des clients - entreprises ou particuliers - dans l’acquisition d’un financement qui réponde à une stratégie de croissance », détaille le docteur en mathématiques et enseignant-chercheur à Panthéon-Sorbonne. En parallèle de son implication au sein du MBA, il est lui-même cadre-dirigeant d’une grande banque commerciale.
« Un étudiant apprend au moins autant dans son entreprise qu’à l’école. Et surtout, il apprend à faire son métier », Thomas Thouillez, directeur du MBA Banque et chargé d'affaires Entreprises de Financia Business School
« Ensuite, on se penche sur la gestion des risques : crédit, finances, bilan, non-conformité… On ne peut pas prêter de l’argent à quelqu’un qui comporte un risque de non-remboursement », explique encore Thomas Thouillez. « Enfin, le troisième volet s’intéresse aux fonctions transversales de la banque, en lien avec le contrôle de gestion, le bilan ou la gestion des contentieux », termine-t-il.
Un accompagnement sur mesure vers la vie pro
Cette approche pédagogique ancrée dans le réel s’inscrit dans l’ADN de Financia qui propose des cursus 100 % en alternance. « C’est notre marque de fabrique. Un étudiant apprend au moins autant dans son entreprise qu’à l’école. Et surtout, il apprend à faire son métier », assure Thomas Thouillez.
Et pour trouver l’emploi qui leur correspond en alternance, les étudiants peuvent compter sur le vaste réseau de l’école - près de 300 entreprises et 1200 alumnis - un career center et l’accompagnement sur mesure d’un référent entreprise. Celui-ci conseille chaque étudiant, de sa candidature (job datings, aide à l’élaboration d’un CV, d’une lettre de motivation, coaching pour les entretiens…) au suivi de son expérience en entreprise.
« Aujourd’hui, force est de constater que l’on manque de bras dans le secteur bancaire. Notre rôle est donc d’accompagner un maximum de personnes dans le niveau de compétences requis pour accéder à ces emplois », ajoute le directeur du MBA. « Nous mettons à disposition des étudiants les connaissances et l’accompagnement nécessaires pour qu’ils deviennent de bons professionnels, intègres et performants. Le marché saura faire le reste », résume-t-il.
👥 Des profils variés bienvenus Une des grandes valeurs de l’école repose sur l’ouverture. Le MBA banque et chargé d’affaires entreprises s’adresse ainsi à divers profils :
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« Quand tu es banquier, tu as cette capacité de changer la vie des gens »
Leur diplôme en poche, les étudiants du MBA banque et chargé d’affaires entreprises accèdent à de nombreuses opportunités dans la banque ou le conseil. « La banque, c’est un métier riche », assure le directeur du programme.
Une grande partie des emplois (70 %) concerne l’accompagnement des clients, pour le financement d’un projet. Cela correspond aux postes de chargé d’affaires ou de banquier privé, par exemple. Le reste (30 %), se concentre sur des missions analytiques, telles que celles des ingénieurs patrimoniaux, contrôleurs de gestion bancaire ou d’analystes de risque. Quant aux salaires, la fourchette s’étend de 38 000 à 50 000 euros bruts annuels.
« C’est un secteur confortable avec beaucoup métiers différents. Les entreprises sont de grandes structures, ce qui permet une carrière évolutive et épanouissante », ajoute Thomas Thouillez. « Quand tu es banquier, tu as cette capacité de changer la vie des gens. Une fois que tu as noué une relation saine et de confiance avec tes clients, tu es utile dans la durée. C’est un métier qui a beaucoup de sens », conclut-il.
Le MBA Banque et chargé d’affaires Entreprises en 4 points
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