Imagine : tu termines ton master 1 ou décroches ton diplôme après cinq années d’études et tu réalises qu’une corde importante manque à ton arc : le digital. Avec l’EFAP, nul besoin de reprendre ta formation à zéro. Le MBA spécialisé Digital Marketing & Business (MBADMB) permet aux détenteurs d’un bac+4 ou bac+5, ainsi qu’aux professionnels déjà en poste, de booster leur carrière en seulement un an et depuis n’importe quel endroit !
L’Île-de-France abrite la capitale, certes, mais cela ne veut pas dire qu’elle doit concentrer toute l’offre de formation. Si l’EFAP possède inévitablement un campus à Paris, l’école des nouveaux métiers de la communication ne délaisse pas les autres régions. Le MBADMB est également dispensé en alternance à Lille et à Lyon : deux métropoles qui rayonnent en matière d’innovation.
L’école ne s’arrête pas là ! La formation peut aussi être totalement suivie à distance, toujours en alternance. Comme ça, pas de jaloux et personne n’est laissé sur le carreau. Rejoins l’EFAP et monte dans le train à grande vitesse du digital !
Le digital : une « super spécialisation » et une « super transversalité »
Le MBA spécialisé Digital Marketing & Business de l’EFAP, c’est son fondateur et directeur, Vincent Montet, qui en parle le mieux. Que tu sois un grand débutant ou déjà expérimenté dans le domaine des nouvelles technologies, acquérir une expertise du digital ne pourra que renforcer ton employabilité. « Le digital est à la fois une super spécialisation et une super transversalité », décrit Vincent Montet.
Le MBA Spécialisé Digital Marketing & Business s’étend sur 12 mois et compte 455 h de formation. Il est compatible avec une activité professionnelle suivie en parallèle.
À Paris, Lille, Lyon et à distance, la formule de l’alternance est proposée avec la signature d’un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation.
Dans ce cas, les étudiants passent une semaine de cours en présentiel (ou par visioconférence pour le programme 100 % à distance) par mois, et trois semaines en entreprise.
La transformation digitale est omniprésente dans tous les secteurs. Intégration d’outils numériques pour automatiser des tâches chronophages, optimisation des sites web, modernisation des canaux de communication en interne, marketing omnicanal, achats en ligne… La révolution numérique prend différentes formes. Pour être plus efficace dans son métier, quel qu’il soit, et même avant cela, pour se différencier sur le marché du travail, impossible de faire l’impasse sur l’acquisition d’une culture digitale et de compétences techniques fortes.
7 diplômés du MBADMB sur 10 s’orientent vers les nouveaux métiers du digital, en lien avec l’acquisition, la communication, l’expérience utilisateur, la vente ou encore la fidélisation client. Quid des 30 % restants ? « Ils se dirigent vers des métiers classiques et s’ils parviennent à décrocher leur poste sans peine, c’est parce qu’ils se sont différenciés grâce à leur maîtrise du digital. »
« Vivre une expérience, même à distance »
Le MBA Spécialisé Digital Marketing & Business est dispensé à Paris, Lille, Lyon et à distance. L’EFAP a tout prévu pour que, peu importe le lieu à partir duquel les cours sont suivis, le cursus soit engageant. Cela passe en premier lieu par des promotions à taille humaine : 15 à 20 apprenants à distance et 30 en présentiel. Intégrer le MBADMB, c’est « vivre une expérience, même à distance », révèle Vincent Montet.
Le fondateur de la formation met les points sur les i : « Les cours entièrement à distance de la promo nomade n’ont rien à voir avec les cours covidiens ». Et pour cause, la plaquette pédagogique de la formation regorge de formes diverses et variées d’enseignements. L’objectif ? Offrir aux étudiants à distance et sur site, à Paris, Lille et Lyon, l’opportunité d’apprendre par la pratique et de concert avec les dernières innovations. « On est le MBA des mains dans le cambouis », illustre Vincent Montet.
Léa Aknin a intégré le MBA après un M1 en lettres classiques et modernes, puis une 4e année en communication à l’EFAP.
« Le distanciel était plus pratique pour moi à cause de mon travail pour lequel j’étais amenée à bouger souvent. Je suis aussi devenue maman entre temps et j’ai réalisé durant le covid que le distanciel me correspondait plus », explique-t-elle. « Suivre la formation en distanciel m’a appris à mieux travailler avec des équipes présentes partout dans le monde, soumises au décalage horaire, à mieux communiquer et à gérer plusieurs outils. »
Le MBADMB débouche sur l’obtention d’un titre RNCP de niveau 7 (bac+5) « Manager du marketing et de la transformation digitale ». Au cours de la formation, les apprenants développent plusieurs volets de compétences, dont la définition de la stratégie marketing, le pilotage des opérations et la gestion des équipes. « Vous allez étudier avec des codeurs, des graphistes, des IA ou encore des sociologues, et de tout âge », prévient le directeur de la formation.
Pour s’armer de tous ces savoir-faire et savoir-être, les futurs diplômés — à distance, dans la capitale des Gaules ou dans la capitale des Flandres — passent par des compétitions, des études de cas directement confiés par des entreprises partenaires, des événements, des ateliers, des présentations orales et des rendus écrits.
Aurélie Esposto a également suivi le MBADMB en alternance et à distance. « Le MBADMB en alternance m’a permis de rester à Toulouse, dont je suis originaire, et surtout d’effectuer mon alternance n’importe où et réellement là où je le souhaitais : dans un grand groupe d’aéronautique. »
Finalement, ce sont plus de 50 matières qui viennent aiguiser l’expertise des diplômés, animées par plus de 50 intervenants. Les enseignants sont tous des professionnels en poste et certains cumulent également la casquette d’alumni de l’EFAP. « Plus que de simples intervenants qui donnent des cours, ces professionnels constituent une communauté avec laquelle interagir, à qui demander des conseils et avec qui travailler », détaille Arnault Chatel, responsable pédagogique du MBADMB.
« Le marketing digital est un monde qui va vite, très vite. L’obsolescence est déjà programmée. Ne pas s’intéresser aux problématiques liées à l’IA est une faute stratégique pour sa carrière », Arnault Chatel, responsable pédagogique du MBADMB à l’Efap.
Même le Métavers est mis à l’honneur dans la pédagogie du MBADMB.
L’école a signé un partenariat avec The Sandbox, le premier jeu virtuel français, pour gamifier la formation et la garder à la page de ce qui se fait de mieux en matière de nouvelles technologies.
Et ChatGPT alors ? Les étudiants sont formés à l’outil et l’utilisent nécessairement dans le cadre du cursus. Ils apprennent à maîtriser les outils d’IA génératives, pour être augmentés et non remplacés.
Des outils pour devenir le chef d’orchestre de sa future carrière
L’un des cours les plus importants, par rapport au nombre de crédits ECTS qu’il rapporte, est la masterclass, qui prend la forme d’un cours inversé : les étudiants réunis en équipe se produisent pendant deux heures à l’oral, pour présenter la transformation digitale d’un secteur (la santé, l’automobile, le vin…).
« Dans les métiers du marketing et de la communication, on passe notre temps à transmettre des messages, d’où l’importance de savoir s’exprimer devant un public, à l’oral, mais aussi de maîtriser la communication non verbale. Le corps peut être amené à dire de grosses bêtises, alors on travaille tout cela », explique Arnault Chatel, responsable pédagogique de la formation. En intégrant le MBADMB de l’EFAP, tu es donc lancé dans le grand bain de tes futures responsabilités, pour arriver plus que jamais prêt et sûr de toi sur le marché du travail.
Outre les cours autour du management de projet digital ou de l’e-business — pour ne citer que ceux-là — les étudiants bénéficient aussi d’une trentaine d’heures consacrées à leur personal branding et à leur insertion professionnelle. Avec l’équipe pédagogique, ils font le point sur leur projet professionnel et ont accès à des coachings individuels sur la rédaction d’un CV efficace ou leur présence en ligne, sur LinkedIn, par exemple.
Par ailleurs, pour enrichir leur profil LinkedIn, les diplômés peuvent compter sur les certifications qu’ils sont amenés à passer dans le cadre du MBADMB. « On tente au maximum de remplacer les partiels par des certifications — Google, Prestashop, etc. Elles sont plus parlantes sur LinkedIn qu’un 17 qui traîne dans un placard », analyse Vincent Montet.
Parce que l’EFAP est convaincue que l’on ne cesse jamais d’apprendre, les diplômés se voient offrir plusieurs fois par an, durant toute leur vie, des masterclasses pour qu’ils aient toujours un coup d’avance sur les transformations qui affectent leur métier.
Lille et Lyon : des métropoles digitales florissantes
Pour se former au digital, en plus de Paris, Lille et Lyon sont deux villes rêvées. L’EFAP ne se contente pas de déployer son MBA spécialisé Digital Marketing & Business dans ces deux eldorados. Bien que le contenu pédagogique soit le même et que le diplôme ait la même valeur à distance et pour chacun des campus, l’école rend l’expérience unique d’un lieu à l’autre.
80 % des intervenants professionnels sont issus de la région dans laquelle se trouve le campus. De quoi acclimater les étudiants à tout l’écosystème innovant qui existe autour d’eux. Les apprenants lillois et lyonnais ont pour enseignants des professionnels de leur région, comme Xavier Hangar, le spécialiste e-commerce de Danone, ou encore Thomas Puget, head of SEA et ASO chez Deezer et qui accompagne les étudiants dans l’obtention de la certification Google Ads.
Enfin, les régions Hauts-de-France (Lille) et Auvergne-Rhône-Alpes (Lyon) sont dans le top 10 des régions qui comptent le plus d’offres d’emploi dans le numérique. L’Auvergne-Rhône-Alpes est deuxième derrière Paris, selon la Grande École du Numérique.
➡️ Tu es prêt à prendre le monde du digital par les cornes en intégrant le MBA spécialisé Digital Marketing & Business de l’EFAP ? À Paris, Lille et Lyon, une première rentrée a lieu en octobre, suivie d’une rentrée décalée en mars à Paris. La formation 100 % à distance ouvre uniquement ses portes en octobre. Pour rappel, à Paris, la formule de l’alternance n’est pas proposée.