Avis sur Université Paris-Sorbonne

un mot : génial

Localisation extraordinaire !

Des professeurs compétents mais les enseignements sont parfois inintéressants

La vie associative est quasiment inexistante dans cet UFR

Le centre Clignancourt sympathique, mais Malesherbes est une source à dépression

Le nom de La Sorbonne résonne bien aux oreilles des employeurs

Mon choix pour votre université repose essentiellement sur le niveau et la qualité du corps professoral, les moyens didactiques desquels jouissent vos formations.

fréquemment pris comme exemple par les enseignants de mon pays, ne peuvent me laisser indifférent de joindre votre université. Ma maîtrise de votre langue d'enseignement, le site agréable de votre université, constituent un stimulant directe pour ma détermination.

Mon choix pour votre université repose essentiellement sur le niveau et la qualité du corps professoral, les moyens didactiques desquels jouissent vos formations.

Cette option me permet une projection dans l’avenir, tant qu’avec ce diplôme je pourrai exercer et pratiquer dans ce domaine, un rêve qui alimente ma volonté de travailler

Même si c'est a porte de Clignancourt les infeastructures et les batiments sont quasi neuf et propre

Cette formation n'inclue pas de stage dans son cursus. Il faudra attendre d'être en Master pour inclure des stage dans votre cursus. il y a quand même des ateliers et des UE reservé à l'orientation des etudiants en L1.

les profs sont talentueux, passionnants et à l'écoute.

Les gens sont sympa (pas tous) mais il n'y a pas de vraie cohésion de groupe. Le bureau est compétent mais pas nécessairement au top. les relations sont pas toujours évidentes à tisser. Par contre vous êtes à paris donc vous trouvez toujours de quoi vous éclatez entre amis et de faire plein de rencontre. En bref, la vie étudiante est top mais pas vraiment grace à l'établissement (mais en même temps vu le nombre d'étudiants c'est un peu logique).

C'est, beau, c'est propre, c'est classe. A part la bibliothèque (magnifique) toujours surchargée et les amphi qui cassent un peu le dos on peut pas vraiment se plaindre. C'est quand même un énorme monument historique, vous pouvez vous en vanter.

Les cours se veulent à la fois professionnalisants et théoriques. Nous avons des intervenants extérieurs et des enseignants ce qui permet de bien comprendre l'environnement professionnel.

Nouvelle cafétéria, wifi qui ne fonctionne pas toujours bien mais on fait avec :) UFR LEA est situé à Malesherbes dans le 17ème.

Pour ma part j'ai fait mes deux années de master en alternance, ce qui est un vrai plus sur le CV. Les initiaux font seulement un semestre de cours pour ensuite effectuer un stage durant la seconde partie de l'année.

Je suis en Lettres Edition Médias Audiovisuel qui est une filière un peu plus professionnalisante que les Lettres modernes. En effet, à côté des cours de littérature, j'ai aussi des cours de journalisme, d'édition, des métiers de l'enseignement, de l'audiovisuel. Nos professeurs, chargés de TD comme professeurs de cours magistraux, sont pour la plupart des passionnés qui ont un grand savoir littéraire. Ma seule réserve concerne les cours magistraux qui, à mon goût, sont un peu trop théoriques pour une filière qui se veut professionnalisante.

Je me sens très bien dans cette faculté où tous les styles se mélangent. L'activité associative et syndicale n'est pas très importante mais ce n'est pas pour me déplaire : que de tranquillité ! Le grand point fort à mes yeux, c'est l'entraide : tout le monde s'envoie les cours sur notre page Facebook (ce que je n'avais jamais vu dans ma formation à Assas par exemple).

Je suis actuellement à l'annexe de Malesherbes dont les locaux sont très modernes : la cafétéria vient d'être refaite, la bibliothèque est en travaux (dur dur pour une littéraire mais elle sera superbe !). Les locaux de la Sorbonne dans le quartier latin sont plus vétustes mais sont d'une grande splendeur à mes yeux et la localisation est géniale pour un étudiant.

Il est difficile de trouver du travail dans le milieu de la littérature (à part professeur...), c'est pourquoi ma filière de Lettres professionnalisante me parait très judicieuse. Elle n'est pas aussi professionnalisante que je l'espérais mais elle a quand même le mérite de nous présenter des métiers (journaliste, éditeur, bibliothécaire, professeur). En 1ère année, nous avons même dû réaliser un dossier sur le métier de notre choix accompagné d'interviews ce qui nous a poussés à créer un réseau. La 3ème année prévoit par ailleurs un créneau pour un stage optionnel. J'ai pour ma part réalisé un stage conventionné au journal Le Point à la fin de ma L1.

Enseignement solide et professeurs le plus souvent passionnants.

L'enseignement de licence au sein de l'UFR est excellent et complet. On notera en histoire de l'art le module de L3 "études visuelles et culturelles" qui est excellent et qui s'ouvre au cinéma, à la culture populaire et aux sciences. La formation pousse rapidement les étudiants à se responsabiliser et à réfléchir par eux mêmes. Les professeurs ne mâchent pas le travail mais sont à l'écoute mais au niveau du master les séminaires recherche HDA sont peu variés et les étudiants étant obligés de s'inscrire à trop de cours pour valider leur cursus suivent alors des matières qui n'ont rien à voir avec leur spécialité de départ. Incohérence ne convenant pas d'ailleurs aux professeurs. Autre problème, les ambitions personnelles du corps enseignant qui suscitent des tensions au sein de l'équipe pédagogique. Si ce n'est pas gênant en licence, cela peut être un réel frein au niveau du master. La présidence actuelle ne facilite pas non plus les choses.

L'ambiance entre les élèves à Paris IV est plutôt bonne. La vie associative en revanche n'offre absolument rien d'intéressant avant le doctorat. La dernière association de master crée est assez creuse et ne semble servir que les ambitions de ses créateurs. Evidemment, selon les promotions, les choses peuvent être amenées à changer. A partir du doctorat, les associations font un excellent travail qui sert tous les étudiants. Les journées d'étude organisée sont d'un bon niveau, la communication est bien gérée et permet aux doctorants d'être tenus au courant d'un certain nombre d'appels à communication. Le réel Bémol reste l'absence de lien entre Paris I et Paris IV qui pourtant partagent des locaux en Licence (Michelet) et en Master (INHA). Il est tout de même regrettable que certains étudiants alimentent une forme de rivalité infondée entre deux universités situées à un étage d'écart...

Pour la licence, les cours sont dispensés sur le site Michelet, proche du Jardin du Luxembourg. L'endroit est agréable mais il manque encore un espace cafétéria et l'installation d'un micro-onde. Le site du Master est concentré principalement au deuxième étage de l'INHA. Il n'y a pas de critique négative à faire à ce sujet. Le bâtiment est bien situé, la proximité avec la bibliothèque est très appréciable et les locaux sont parfaitement entretenus.

En licence les professeurs signet sans aucun problème les conventions de stage. En Master les choses se compliquent puisque les professeurs et parfois la présidence elle même sont peu nombreux à comprendre la nécessité de c certains étudiants à travailler. Il est difficile de réellement aménager ses horaires et les stagiaires ou étudiants engagés dans la vie active sont souvent pénalisés. La formation dispensé est de suffisamment bon niveau pour permettre aux personnes sortant de Paris IV de trouver du travail. L'université offre le choix entre master pro, master recherche et préparation à l'INP. Les 3 formations sont bien reconnues et ont bonne réputation.

Les professeurs expliquent bien et ils sont attentif aux élèves pour les études en portugais.

Je n'en fait pas partie mais quand je voit sur fb ils ont l'air cool

J'aime pas trop la localisation.

Professeurs passionnants, large choix dans les séminaires et spécialités, les enseignants sont ouverts aux autres domaines de recherches. nombreux colloques ou interventions, le cadre est propice à la recherche

très peu d'ambiance / vie étudiante .

petit établissement : institut études ibériques mais bien situé = proche du jardin du luxembourg et de la BIS. petit mais fonctionnel, bien entretenu, bon cadre de travail et bien sécurisé ( plan vigipirate bien respecté )

aucune idée

J'ai trouvé les professeurs compétents mais généralement inaccessibles (peu proches de leurs élèves) Les classes sont surchargées, il faut littéralement se battre via une plateforme désuète lors des inscriptions pédagogiques pour avoir la chance d'obtenir le cours que l'on souhaite (les meilleurs cours et qui finissent le plus tôt sont donc réservés aux personnes ayant la meilleure connexion internet !).

Seuls les cours "fondamentaux" sont dispensés dans l'ufr d'HDA, les activités "extra-scolaires" et associatives mais aussi les options se trouvent dans les autres UFR (par exemple, les cours de langue - autre - que ceux spécialisés en HDA se trouvent à Malesherbes, Clignancourt ou la Sorbonne "mère", idem pour le c2i, le théâtre, les conseillères d'orientation, les problèmes administratifs, etc). Bref il ne faut pas avoir peur de se déplacer beaucoup mais l'ambiance y est bien plus chaleureuse que dans l'UFR d'HDA (que j'ai trouvé très froide et austère durant mes trois années de licence).

Les locaux ont besoin d'un sérieux rafraichissement. La bibliothèque est surchargée (il n'y a pas toujours de places libres), et il n'y a pas d'autres salles pour travailler. Contrairement aux autres UFR, il n'y a pas de cafétéria mais un petit fast-food itinérant a été mis en place devant l'amphi et le CROUS se trouve à 10minutes à pieds de la fac (on peut y manger des repas équilibrés et des pizzas pour environ 3euros) La localisation de L'UFR est agréable, tout près du jardin du Luxembourg pour se balader entre deux cours. Le complexe sportif Jean Sarrail est à 10 minutes à pieds de l'UFR et propose un large choix d'activités (pour les options de sport).

Il n'y a pas de stage en Histoire de l'art (éventuellement, des chantiers de fouille en qualité de bénévoles à chercher sur le site du ministère de la culture) J'ai été complètement livrée à moi même dans mes recherches et choix d'orientation.

Les meilleurs professeurs en lettres, linguistique et informatique se sont réunis pour créer le mélange parfait : la licence Langue Française et Techniques Informatiques

Pas de vie étudiante trépidante à Paris IV.

En plein cœur du Quartier Latin, dans le centre Serpente entièrement rénové pour les cours d'informatique et dans les locaux de la Sorbonne pour les lettres, les étudiants peuvent ressentir l'histoire qu'il y a derrière cette université et ces locaux.

Aucun stage, aucune alternance.

Tous les professeurs sont les spécialistes de leur domaine. Très actifs dans la recherche, ils dispensent des cours approfondis et complets.

Beaucoup d'associations très variées sont proposées ! Même si les étudiants sont relativement peu informés, il faut chercher les renseignements soi-même. L'ambiance est cool et le quartier latin très vivant !

Les locaux de la Sorbonne mère sont splendides et historiques. Les autres pôles de la Sorbonne sont moins historiques mais assez complets. Néanmoins, les cafétérias et certaines salles de cours mériteraient quelques travaux.

Les stages sont possibles en licence, mais pas obligatoires. En outre, il faut chercher les renseignements soi-même. Les étudiants ne sont pas poussés vers l'insertion professionnelle.