Avis sur LSHA - UFR des langues et sciences humaines appliquées, Université de Strasbourg

Les enseignements sont intéressants. Bien sur les professeurs sont différents les uns de autres : certains vont aller au bout de leurs explications et réexpliquer alors que d'autres ne se gênent pas pour bâcler le cours. La plupart des professeurs sont à l'écoute des élèves et près à aider. Certains considèrent que l'étudiant doit se débrouiller seul de A à Z (compléments de cours, inscription...). Ce que je regrette le plus, c'est que les lectrices (professeurs "apprentis" anglophones) ne sont pas assez compréhensifs des difficultés qu'en francophone peut avoir (ne comprennent pas que certaines tournures de phrase ne sont pas naturelles par exemple).

Il y a plutôt une bonne ambiance avec des soirées organisées par les associations. Tout le monde reste en groupe mais le campus est paisible.

Le campus esplanade est plutôt bien situé avec une grande bibliothèque ouverte tous les jours. 3 arrêts de tram-way le desservent et il n'est pas loin du campus du Palais Universitaire. Les jardins sont grands et bien entretenus. Les bâtiments sont vieux mais potables. Le point fort des bâtiments est que les salles et amphithéatres sont très bien indiqués (avec des flèches de couleurs et des plans).

N'étant qu'en première année de Licence d'Anglais, je ne peux pas vraiment juger cela.

Les cours sont intéressants mais pas pas assez développés, nous sommes notés sur des sujets que nous abordons en quatre séances. Il s'agit d'un master recherche qui n'offre pas la possibilité de faire un stage pro et ce point n'a pas été précisé à la rentrée de plus il est clairement écrit dans le livret pédagogique "stage" or il s'agit en fait d'enquête de terrain et non de stage . ce master débouche sur un doctorat. L'avantage dans ce master est que nous avons été familiarisé avec des logiciels et des bases de données utiles à la recherche ( Zotero, Factiva, Cairn..) Les professeurs sont très exigeants, le niveau est élevé. Concernant les cours de langues, nous avons le choix en M1 entre 15 langues ( arabe-russe-polonais- anglais -allemand- japonais.) et en M2 il n'y QUE l'anglais!! Du coup nous avions dû nous-mêmes chercher des cours de langues de niveau master car nous n'allions pas continuer notre LV2 ou LV1 en UE libre comme nous ont conseillé les responsables. De plus pendant les cours de sociolinguistique pas mal de citations et d'articles étaient en anglais or elle n'est pas la LV1 de tout les étudiants beaucoup d'entre nous ont quitté ce master à cause de l'anglais.

il y a très bonne entente et ambiance au sein de ma promotion et plusieurs associations et événements organisés

Il s'agit d'un master recherche qui n'offre pas la possibilité de faire un stage pro et ce point n'a pas été précisé à la rentrée de plus il est clairement écrit dans le livret pédagogique "stage" or il s'agit en fait d'enquête de terrain et non de stage. ce master débouche sur un doctorat. Nous avions suivit des ateliers d'insertion professionnels mais nous n'avons pas eu de cours ou de conférence sur le Cv ou la lettre de motivation ou bien juste sur un échange sur nos projets professionnels.

Malgré les difficultés bien connues du passage du lycée à l'université, l'équipe que j'y ai rencontrée était compétente dans l'ensemble, plutôt disponible que l'inverse, et passionnée. On retrouve, par ailleurs, rapidement ses marques dans la promo (très vite réduite en nombre...) et les partenariats internationaux sont excellents (attention, ils peuvent changer d'année en année d'après mon constat). Bref, une belle et enrichissante expérience! Juste un conseil : assumez-vous, soyez curieux, osez parler aux professeurs, investissez-vous dans la filière et contribuez à l'élaboration de son contenu (on est en France, il faut parfois forcer les choses, mais ça fait partie de l'apprentissage!). Soyez proactifs!

À définir par chaque promo, me semble-t-il. Personnellement, j'avais choisi la voie universitaire pour préserver mon indépendance et éviter de connaître l'effet d'assimilation des écoles et autres instituts, mais ma foi on s'est bien éclaté avec nos groupes! Pour le reste, l'amicale organisait régulièrement des soirées, etc. Pas trop mon dada, personnellement, mais vive la différence ;).

Tout dépend de si vous vous inscrivez en licence (LSHA, bâtiment Patio en général) et/ou du master que vous effectuerez (certains, plus sélectifs, sont rattachés à l'ITIRI, d'autres, moins sélectifs, au Patio). L'ITIRI bénéficie, par ailleurs, d'un meilleur financement et d'une très bonne réputation (plusieurs masters sont certifiés pour leur qualité : Erasmus Mundus, EMT...), les locaux sont donc bien équipés et modernes, mais le Patio a connu bien des rénovations depuis que j'ai obtenu mon diplôme en 2014 ;).

Stage obligatoire : évidemment indispensable, et tant mieux! J'ai réussi à collaborer avec une entreprise en Allemagne dès la deuxième année et ai effectué, en tout, trois petits stages de 2 à 3 mois (dont le stage obligatoire). J'ai intégré un bon master par la suite, et hop, carrière plutôt épanouissante dans les affaires européennes, donc c'était vraisemblablement le bon choix pour moi :).

Malgré les difficultés bien connues du passage du lycée à l'université, l'équipe que j'y ai rencontrée était compétente, plutôt disponible que l'inverse, et passionnée. On retrouve, par ailleurs, rapidement ses marques dans la promo (très vite réduite en nombre...) et les partenariats internationaux sont excellents (attention, ils peuvent changer d'année en année d'après mon constat). Bref, une belle et enrichissante expérience! Juste un conseil : assumez-vous, soyez curieux, osez parler aux professeurs, investissez-vous dans la filière et contribuez à l'élaboration de son contenu (on est en France, il faut parfois forcer les choses, mais ça fait partie de l'apprentissage!). Soyez proactifs!

Malgré les difficultés bien connues du passage du lycée à l'université, l'équipe que j'y ai rencontrée était compétente, plutôt disponible que l'inverse et passionnée. On retrouve, par ailleurs, rapidement ses marques dans la promo (très vite réduite en nombre...) et les partenariats internationaux sont excellents (attention, ils peuvent changer d'année en année d'après mon constat). Bref, une belle et enrichissante expérience! Juste un conseil : assumez-vous, soyez curieux, osez parler aux professeurs, investissez-vous dans la filière et contribuez à l'élaboration de son contenu (on est en France, il faut parfois forcer les choses, mais ça fait partie de l'apprentissage!). Soyez proactifs!

Tout dépend de si vous vous inscrivez en licence (LSHA, bâtiment Patio en général) et/ou du master que vous effectuerez (certains, plus sélectifs, sont rattachés à l'ITIRI, d'autres, moins sélectifs, au Patio). L'ITIRI bénéficie, par ailleurs, d'un meilleur financement et d'une très bonne réputation (plusieurs masters sont certifiés pour leur qualité : Erasmus Mundus, EMT...), les locaux sont donc bien équipés et modernes, mais le Patio a connu bien des rénovations depuis que j'ai obtenu mon diplôme en 2014 ;).

Tout dépend de si vous vous inscrivez en licence (LSHA, bâtiment Patio en général) et/ou du master que vous effectuerez (certains, plus sélectifs, sont rattachés à l'ITIRI, d'autres, moins sélectifs, au Patio). L'ITIRI bénéficie, par ailleurs, d'un meilleur financement et d'une très bonne réputation (plusieurs masters sont certifiés pour leur qualité : Erasmus Mundus, EMT...), les locaux sont donc bien équipés et modernes, mais le Patio a connu bien des rénovations depuis que j'ai obtenu mon diplôme en 2014 ;).