Avis sur Université de Strasbourg

Les professeurs les plus vus en TD (ateliers tridi, bidi, etc.) font pencher la balance du mauvais côté mais dans d'autres options il y en a de plus pédagogues et ouverts qui ne semblent pas considérer leurs cours comme un spectacle à leur gloire et désirent réellement transmettre dans le respect de l'autre.

On est vite categorisé ce qui est malaisant, étudiants agressifs

Superbe bâtiment en plein centre-ville avec accès à tout le nécessaire et proximité du restau U

La majorité des professeurs est sympa. Il y en a bien sûr qui ne répondent jamais aux mails et ne sont pas accessibles, mais c'est plutôt des exceptions.

Il y a des associations vraiment top qui organisent des conférences et des concours de qualité!

Les batîments ne sont pas ouf, surtout le Platane où se déroule la majorité des TD...

La fac ne vous aidera pas trop à trouver des stages, mais les étudiants se débrouillent très bien. Je connais beaucoup de L2 et même de L1 qui ont trouvé des stages sans piston!

Il n'y a pas eu d'intégration en début d'année, la plupart des élèves ne se connaissaient pas, il n'y avait pas de vie étudiante à proprement parler dans la promo.

Nous étions baladés de bâtiment en bâtiment car il n'y a qu'un seul amphithéâtre, trop petits pour accueillir la promo entière, à la faculté des sciences de l'éducation. C'était parfois compliqué.

C'est dommage qu'il n'y ait pas de stage obligatoire dans cette formation (et que la durée du stage optionnel soit si courte !), cette Licence devrait pouvoir être faite en apprentissage, ce serait bien plus motivant. Elle ne prépare pas du tout à l'insertion professionnelle. Si je travaille aujourd'hui, c'est grâce à mes autres diplômes et à mon expérience professionnelle acquise depuis que j'ai 18 ans.

La plupart des profs sont cool, mais il y en a ou le cours est vraiment ennuyant

Il y a moins d'ambiance dans cette licence que dans les autres.

Le bâtiment est ancien donc il rentre dans le theme de la licence, les bibliothèques sont pas mal pour travailler mais la bnu reste quand même la meilleure.

Je n'en ai pas encore eu l'occasion.

Il y'a de très bons professeurs qui restent à notre disposition en cas de besoin et les cours sont très bien expliqués.

Je n'ai pas vraiment participé à la vie associative parce que je ne m'y intéressais pas trop

Très facile à retrouver. Les locaux sont bien et confortables et les salles de travaux pratiques sont bien équipées

Je continue en Master du coup je ne sais pas trop pour l'insertion professionnelle

Les enseignements sont intéressants. Bien sur les professeurs sont différents les uns de autres : certains vont aller au bout de leurs explications et réexpliquer alors que d'autres ne se gênent pas pour bâcler le cours. La plupart des professeurs sont à l'écoute des élèves et près à aider. Certains considèrent que l'étudiant doit se débrouiller seul de A à Z (compléments de cours, inscription...). Ce que je regrette le plus, c'est que les lectrices (professeurs "apprentis" anglophones) ne sont pas assez compréhensifs des difficultés qu'en francophone peut avoir (ne comprennent pas que certaines tournures de phrase ne sont pas naturelles par exemple).

Il y a plutôt une bonne ambiance avec des soirées organisées par les associations. Tout le monde reste en groupe mais le campus est paisible.

Le campus esplanade est plutôt bien situé avec une grande bibliothèque ouverte tous les jours. 3 arrêts de tram-way le desservent et il n'est pas loin du campus du Palais Universitaire. Les jardins sont grands et bien entretenus. Les bâtiments sont vieux mais potables. Le point fort des bâtiments est que les salles et amphithéatres sont très bien indiqués (avec des flèches de couleurs et des plans).

N'étant qu'en première année de Licence d'Anglais, je ne peux pas vraiment juger cela.

Fermeture d'esprit quasi totale aux autres domaines d'enseignement qui viendraient alimenter l'élaboration clinique. 3-4 enseignantes chercheuses du laboratoire Sulisom sont vraiment méprisantes et dans une position de savoir absolu qui pose question pour des psychanalystes.

Cafeteria très sympathique, la faculté se situe face à un charmant parc, cadre bucolique vraiment charmant.

Les amphithéâtres laissent à désirer. Micros qui ne fonctionnent pas toujours, assises d'un autre temps et j'en passe.

Des jours sont alloués aux stages ce qui est tout à fait appréciable. Cependant le volume horaire est bien inférieur à celui des universités parisiennes.

Beau et prestigieux palais universitaire bien situé à l'écart du campus universitaire. Mais les salles de classe ont vraiment besoin d'un (grand) rafraîchissement.

Très peu de stages (un en licence non obligatoire et très court et un obligatoire d'un mois en master). On ne fait rien avec simplement des études d'histoire mais on y apprend beaucoup et on se forge une grande culture générale qui servira de complément ce qu'offrent peu d'autres formations.

Les cours sont intéressants mais pas pas assez développés, nous sommes notés sur des sujets que nous abordons en quatre séances. Il s'agit d'un master recherche qui n'offre pas la possibilité de faire un stage pro et ce point n'a pas été précisé à la rentrée de plus il est clairement écrit dans le livret pédagogique "stage" or il s'agit en fait d'enquête de terrain et non de stage . ce master débouche sur un doctorat. L'avantage dans ce master est que nous avons été familiarisé avec des logiciels et des bases de données utiles à la recherche ( Zotero, Factiva, Cairn..) Les professeurs sont très exigeants, le niveau est élevé. Concernant les cours de langues, nous avons le choix en M1 entre 15 langues ( arabe-russe-polonais- anglais -allemand- japonais.) et en M2 il n'y QUE l'anglais!! Du coup nous avions dû nous-mêmes chercher des cours de langues de niveau master car nous n'allions pas continuer notre LV2 ou LV1 en UE libre comme nous ont conseillé les responsables. De plus pendant les cours de sociolinguistique pas mal de citations et d'articles étaient en anglais or elle n'est pas la LV1 de tout les étudiants beaucoup d'entre nous ont quitté ce master à cause de l'anglais.

il y a très bonne entente et ambiance au sein de ma promotion et plusieurs associations et événements organisés

Il s'agit d'un master recherche qui n'offre pas la possibilité de faire un stage pro et ce point n'a pas été précisé à la rentrée de plus il est clairement écrit dans le livret pédagogique "stage" or il s'agit en fait d'enquête de terrain et non de stage. ce master débouche sur un doctorat. Nous avions suivit des ateliers d'insertion professionnels mais nous n'avons pas eu de cours ou de conférence sur le Cv ou la lettre de motivation ou bien juste sur un échange sur nos projets professionnels.

La qualité du cours dépend TOUJOURS du professeur. Certains vous diront que leur cours se suffit à lui-même, d'autres vous donnerons des pistes qu'il faudra lourdement approfondir. De mon opinion, une minorité seulement enseigne correctement, les autres n'ayant pas vraiment l'esprit pédagogique ou se permettent de donner des leçons aux étudiants alors qu'ils ont récupéré le cours d'un collègue de l'an passé ! Pour ce qui est des enseignements proposés, beaucoup d'anciens diront que la première année est un brouillon et une passoire destinée à se débarrasser des moins motivés. Je suis d'accord avec la seconde mais pas avec la première : Tout ce qui est enseigné en première année doit être APPRIS, c'est essentiel si on veut comprendre les cours des années suivantes puisqu'ils vont réutiliser le vocabulaire enseigné et approfondir les notions. Du plus, les enseignements de première année donnent un aperçu des nombreuses facettes du droit, ce qui est essentiel. C'est en deuxième année que les matières deviennent plus intéressantes. Premièrement, l'étudiant aura le choix des matières qui l'intéresse et de leur importance, ce qui est plus avantageux. Deuxièmement, il existe des liens évidents entre les matières enseignées, comme des notions que l'on va retrouver dans deux, voire trois cours, ou des points qu'une matière va plus amplement approfondir et qui seront très utiles lors des examens pour se faire mieux voir par le correcteur. En troisième année, la règle est de choisir ses matières en fonction du master que l'on vise ou, à défaut, de la profession et/ou de l'intérêt.

Strasbourg et notamment la fac de droit s'efforcent de donner une bonne image en organisant divers événements pour les étudiants. Pour les cinq années que j'ai pu passer là-bas, l'esprit de compétition est totalement absent et c'est vraiment l'entraide qui prône entre les étudiants. C'est en tout cas le cas durant la licence. Le syndicat étudiant au sein de la fac est plutôt effacé en comparaison à son entrain pendant la période des élections. L'administration peut se montrer irrespectueuse vis-à-vis des étudiants, en fonction de la personne qui est en poste. En fait, il est très fréquent que l'étudiant soit mal reçu, quel que soit le sujet de sa venue.

La fac propose des amphithéâtres majoritairement neufs, seuls deux sont vraiment défraîchis et font peine à voir. En revanche, tous mettent le dos et le bassin à l'épreuve : table trop éloignée par rapport au siège hasardeux (en fonction de l'amphi, difficile de trouver une assise qui ne vous fait pas glisser sous la table), mais c'est relativement logique vu le modèle de bureau et la fâcheuse tendance des gens à se lever pour sortir ou rentrer dans le rang en plein cours.

Mis à part un rapport d'étude professionnel (TPE) fait en première année, l'étudiant n'a pas vraiment d'occasion de découvrir le monde professionnel, à moins de sacrifier ses vacances d'été (que ce soit pour se reposer ou être employé pour un job d'été). La fac propose bien une convention de stage mais la procédure est très longue et assez ardue puisqu'elle demande la participation active de l'administration et d'un professeur référant. Il est toutefois fortement conseillé de faire un ou plusieurs stage(s) si l'on veut aller jusqu'en master, cela peut être déterminant lors de la sélection des dossiers.

Professionnels intervenant de l'industrie et chercheurs

BDE sous dimensionné

Excellente localisation, beau bâtiment mais ont retient insuffisant

Bonne prise en charge et support lors de la recherche et le suivi des stages

De très bons profs et d'autres qui sont un peu moins impliqué mais dans l'ensemble ils sont vraiment bien et on est bien encadré

Énormément de soirée, de sorties organisées par l'assos des étudiants, une k'fet agreable où l'on peut se renseigner facilement On ne se sent jamais seul parce qu'on trouve toujours quelqu'un pour nous aider

Quelques problèmes dans les amphithéâtres avec une climatisation qui fonctionne parfois de trop ou une absence de chauffage sinon les outils de travaillés sont en bons états La Facultés est au centre ville avec des capacités de transports vraiment performants, de plus Strasbourg est magnifique

Je ne peux pas répondre

Les enseignements suivis sont fait par des professionnelles du domaine étudié. Ils ont à cœur de nous transmettre leurs savoir et leurs expériences.

L'enseignement se déroule principalement au CNRS de Cronenbourg et une plus petit partie (anglais) sur le campus central. Ceci a pour conséquence d'engendrer des déplacements inutiles et de plus une fois les cours terminer de ne pas pouvoir profiter des activités proposé sur le campus tel que les conférence à l'heure du repas.

Le laboratoire qui nous accueillent (IPHC), nous fournis une salle de classe équipée d'une petit cuisine, ce qui permet de pouvoir manger sur place. De plus, nous avons a notre disposition une salle de TP extrêmement bien équipée en divers appareils de mesure qui ont fait leurs preuves.

Afin de valider la formation, j'ai du effectuer un stage d'environ 6 mois. J'ai eu la chance de pouvoir le faire au CEA qui est une référence dans le monde du nucléaire.

Malgré les difficultés bien connues du passage du lycée à l'université, l'équipe que j'y ai rencontrée était compétente dans l'ensemble, plutôt disponible que l'inverse, et passionnée. On retrouve, par ailleurs, rapidement ses marques dans la promo (très vite réduite en nombre...) et les partenariats internationaux sont excellents (attention, ils peuvent changer d'année en année d'après mon constat). Bref, une belle et enrichissante expérience! Juste un conseil : assumez-vous, soyez curieux, osez parler aux professeurs, investissez-vous dans la filière et contribuez à l'élaboration de son contenu (on est en France, il faut parfois forcer les choses, mais ça fait partie de l'apprentissage!). Soyez proactifs!

À définir par chaque promo, me semble-t-il. Personnellement, j'avais choisi la voie universitaire pour préserver mon indépendance et éviter de connaître l'effet d'assimilation des écoles et autres instituts, mais ma foi on s'est bien éclaté avec nos groupes! Pour le reste, l'amicale organisait régulièrement des soirées, etc. Pas trop mon dada, personnellement, mais vive la différence ;).

Tout dépend de si vous vous inscrivez en licence (LSHA, bâtiment Patio en général) et/ou du master que vous effectuerez (certains, plus sélectifs, sont rattachés à l'ITIRI, d'autres, moins sélectifs, au Patio). L'ITIRI bénéficie, par ailleurs, d'un meilleur financement et d'une très bonne réputation (plusieurs masters sont certifiés pour leur qualité : Erasmus Mundus, EMT...), les locaux sont donc bien équipés et modernes, mais le Patio a connu bien des rénovations depuis que j'ai obtenu mon diplôme en 2014 ;).

Stage obligatoire : évidemment indispensable, et tant mieux! J'ai réussi à collaborer avec une entreprise en Allemagne dès la deuxième année et ai effectué, en tout, trois petits stages de 2 à 3 mois (dont le stage obligatoire). J'ai intégré un bon master par la suite, et hop, carrière plutôt épanouissante dans les affaires européennes, donc c'était vraisemblablement le bon choix pour moi :).

Malgré les difficultés bien connues du passage du lycée à l'université, l'équipe que j'y ai rencontrée était compétente, plutôt disponible que l'inverse, et passionnée. On retrouve, par ailleurs, rapidement ses marques dans la promo (très vite réduite en nombre...) et les partenariats internationaux sont excellents (attention, ils peuvent changer d'année en année d'après mon constat). Bref, une belle et enrichissante expérience! Juste un conseil : assumez-vous, soyez curieux, osez parler aux professeurs, investissez-vous dans la filière et contribuez à l'élaboration de son contenu (on est en France, il faut parfois forcer les choses, mais ça fait partie de l'apprentissage!). Soyez proactifs!

Malgré les difficultés bien connues du passage du lycée à l'université, l'équipe que j'y ai rencontrée était compétente, plutôt disponible que l'inverse et passionnée. On retrouve, par ailleurs, rapidement ses marques dans la promo (très vite réduite en nombre...) et les partenariats internationaux sont excellents (attention, ils peuvent changer d'année en année d'après mon constat). Bref, une belle et enrichissante expérience! Juste un conseil : assumez-vous, soyez curieux, osez parler aux professeurs, investissez-vous dans la filière et contribuez à l'élaboration de son contenu (on est en France, il faut parfois forcer les choses, mais ça fait partie de l'apprentissage!). Soyez proactifs!

Tout dépend de si vous vous inscrivez en licence (LSHA, bâtiment Patio en général) et/ou du master que vous effectuerez (certains, plus sélectifs, sont rattachés à l'ITIRI, d'autres, moins sélectifs, au Patio). L'ITIRI bénéficie, par ailleurs, d'un meilleur financement et d'une très bonne réputation (plusieurs masters sont certifiés pour leur qualité : Erasmus Mundus, EMT...), les locaux sont donc bien équipés et modernes, mais le Patio a connu bien des rénovations depuis que j'ai obtenu mon diplôme en 2014 ;).

Tout dépend de si vous vous inscrivez en licence (LSHA, bâtiment Patio en général) et/ou du master que vous effectuerez (certains, plus sélectifs, sont rattachés à l'ITIRI, d'autres, moins sélectifs, au Patio). L'ITIRI bénéficie, par ailleurs, d'un meilleur financement et d'une très bonne réputation (plusieurs masters sont certifiés pour leur qualité : Erasmus Mundus, EMT...), les locaux sont donc bien équipés et modernes, mais le Patio a connu bien des rénovations depuis que j'ai obtenu mon diplôme en 2014 ;).