Donne ton avis !
Partage ton expérience et aide d'autres étudiants à faire le bon choix.
Chargement...
Jules
Il y a 10 mois2Je suis content et soulagé d'enfin pouvoir quitter cette licence et cette école. Le rythme imposé par l'INALCO est très rapide, parfois trop. C'est une formation qui s'avère particulièrement difficile pour les étudiants qui arrivent là-bas… Je suis content et soulagé d'enfin pouvoir quitter cette licence et cette école. Le rythme imposé par l'INALCO est très rapide, parfois trop. C'est une formation qui s'avère particulièrement difficile pour les étudiants qui arrivent là-bas sans la moindre notion de japonais. Ce qui en démotive beaucoup. Le nombre d'étudiants qui abandonnent (ou échouent) au cours ou à la fin de la première année de licence est très élevé. Selon le site de parcoursup, le taux de passage en deuxième année n'est que de 38%, c'est dire ! La formation n'est réservée qu'à une petite poignée de personnes, qui désirent se tourner vers la traduction ou l'interprétariat en règle générale. En outre, c'est une épreuve psychologique assez difficile à surmonter, il faut être prêt à travailler en quasi permanence si on veut réussir, souvent au détriment de sa santé mentale. Et pour atteindre le niveau exigé par l'établissement, mieux vaut travailler de son côté, avec des ressources qu'il vous faudra trouver par vous-mêmes car le contenu des cours, bien que majoritairement qualitatif, ne suffira pas. Au final, malgré l'obtention de ma licence, je me sens incapable de tenir une simple conversation en japonais et mon intérêt pour la langue s'est envolé après ces trois années difficiles. Je ne recommande cette école qu'à ceux qui ont déjà un bon niveau de japonais et aux plus accrochés et courageux ! Sinon, passez votre chemin.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS2La plupart des professeurs sont très bons dans leur domaine respectif et donnent envie d'en apprendre plus à leur sujet. Cela vaut notamment pour les professeurs de civilisation et d'options de troisième année. Cependant, certains de nos professeurs se sont empressés de nous faire comprendre que nous n'étions littéralement rien et que nous étions voués à l'échec, et ce, dès le premier cours de la première année de licence… De plus, il faut se préparer à subir les commentaires négatifs, les remarques désobligeantes et les humiliations en plein milieu des cours de la part de certains professeurs. En dehors de ça, comme beaucoup de mes camarades ont pu le mentionner, nous avons trop peu de cours d'oral, durant lesquels on prend à peine la parole, ce qui résulte en une incapacité à s'exprimer en japonais pour de nombreux élèves à la fin de la licence. De plus, la quantité de kanji à apprendre est colossale (et cela empire au fil des ans !). En une semaine, nous avions parfois 19 kanji à apprendre, ce qui peut paraître correct, mais cela équivaut en réalité à environ 70 mots de vocabulaire qu'il faut connaître et savoir écrire par semaine ! Et cela doit être fait en plus du travail à faire pour le reste des cours. Enfin, j'aimerais souligner le fait que même si certains professeurs sont démotivants et trop peu pédagogues (voire pas du tout), la plupart d'entre eux sont à l'écoute, répondent aux questions dès qu'ils le peuvent et aident lorsque cela est nécessaire. A ceux-là, je dis un grand merci car ils ont été d'un grand secours pendant cette licence.AMBIANCE5Je pense que l'ambiance dépend beaucoup du ressenti de chacun. En effet, on peut se retrouver assez seul une fois que les groupes sont formés. Malgré ça, la majorité des étudiants sont sympathiques, prêts à aider, et n'ont aucun problème à prêter leurs notes si besoin. Il n'y a pas vraiment d'esprit de compétition dans cette licence, ce qui aide beaucoup à tenir le coup au fil de ces trois années. Pour ce qui est de l'ambiance au sein de l'INALCO en elle-même, elle est également bonne, il y a souvent des journées culturelles organisées et les différents clubs et associations mettent en place des activités intéressantes.LOCAUX4Les locaux sont propres et relativement récents. L'école est très proche (3-5 minutes à pieds) de la ligne de métro 14 ainsi que de la ligne du RER C. Les seuls points négatifs sont la taille de la cafétéria, qui est trop petite pour le nombre d'étudiants qui aimeraient y manger, voire y travailler, mais également le manque de places dans la BULAC, où on voit très souvent des places vides qui sont réservées (par un sac ou autre) pendant des heures et qui sont donc inutiles.INTÉGRATION PRO1Il n'y a pas de stage en licence. Pour ce qui est de l'insertion professionnelle, on ne peut pas aller très loin avec une simple licence, il faut au minimum avoir un master, voire un doctorat selon l'objectif professionnel que l'on vise.École, répondezSignalerCélia
Il y a 11 mois3J'écris ce message avec beaucoup de recul, car quand on est dans la formation, on ne se rend pas compte des points positifs et négatifs. Ma formation était intense. Plus de 350 élèves en septembre de la L1, un peu moins de 100 étudiants à… J'écris ce message avec beaucoup de recul, car quand on est dans la formation, on ne se rend pas compte des points positifs et négatifs. Ma formation était intense. Plus de 350 élèves en septembre de la L1, un peu moins de 100 étudiants à la fin de la L3. On nous demandait d'apprendre en 3 ans ce que des natifs apprennent depuis leur naissance. Donc si vous êtes là pour vous divertir, passez votre chemin. On vous demande vous investir dans cette formation, d'être curieux, de chercher des informations par vous-même. Aller en cours ne suffira pas pour obtenir votre diplôme. Alors oui, il y a eu beaucoup de larmes, de pétage de plomb, mais je pense que mes années à l'Inalco étaient les plus belle de ma vie courte vie.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS3Très intense, dur, mais c'était nécessaire pour avoir un niveau correct/bon. La solution? Bachoter et réviser aussi régulièrement que possible. Car oui on vous demande d'apprendre beaucoup d'éléments en peu de temps. Concernant les professeurs, il y a de tout comme partout. Des chercheurs passionnant et passionnés par leur discipline. Certains font de bon enseignants, d'autres non. Des Français et des Japonais.AMBIANCE5Je faisais partie de Dejima, l'association des étudiants du département. Beaucoup d'évènements organisés, c'était cool! Une très bonne ambiance, les étudiants s'entraidaient, se prêtaient les cours, faisaient des séances de révision collectives.LOCAUX4Proche de la ligne 14 et du RER CINTÉGRATION PRO1Dans le parcours régional, je n'ai pas eu l'opportunité de faire de stages ou d'alternances.École, répondezSignalerJerome
Il y a 1 an5Formation exigeante mais passionante. Beaucoup de gens avec des cursus multiples, et des rencontres intéressantes. Je recommande aux étudiants avec un réel projet et de la motivation. Formation exigeante mais passionante. Beaucoup de gens avec des cursus multiples, et des rencontres intéressantes. Je recommande aux étudiants avec un réel projet et de la motivation.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS5Profs passionants, jamais je n'aurais imaginé être intéressé par certains sujets et pourtant. Exigence académique (les kanji !), mais au final on en récolte les fruits.AMBIANCE2A mon époque c'était encore à Dauphine. Ça a certainement changé depuis, mais le choc des ambiances était rigolo.LOCAUX3Voir le message précédent. Une bibliothèque, un labo vidéo, une librairie, je venais pour étudier et m'ai jamais eu de problème pour le faire.INTÉGRATION PRO3Connaître le Japonais au Japon n'est pas une solution, mais une absence de problème. Je recommande de faire un autre cursus en parallèle (ou avant/après) si vous me visez pas une carrière universitaire.École, répondezSignalerKirin
Il y a 3 ans4Après une première année, je tiens à dire que l'INALCO n'est pas que les mauvais avis que vous voyez sur Internet ! La majorité de ces avis négatifs viennent de gens qui ont abandonné en première année. Ce n'est pas une école qui cherche à… Après une première année, je tiens à dire que l'INALCO n'est pas que les mauvais avis que vous voyez sur Internet ! La majorité de ces avis négatifs viennent de gens qui ont abandonné en première année. Ce n'est pas une école qui cherche à vous voir échouer et qui s'en fiche de ses élèves ! Ce n'est pas non plus impossible. Je vais vous partager mon ressenti personnel pour que vous puissiez voir ce qu'attend l'école de vous en première année !FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS4Les professeurs que j'ai eu sont en grande majorité très bons, rigoureux et savent qu'ils ont affaire à des débutants. J'ai eu plusieurs professeurs qui ont mit de nombreuses choses en place pour nous voir réussir et pour qu'on valide les partiels. Ils étaient assez accessibles et nous motivaient souvent. Rien à voir avec l'idée d'être accueilli par "Bienvenue dans la licence du désespoir". C'était tout l'inverse pour moi, nous avons eu à la pré-rentrée des encouragements de bon cœur. Malgré un emploi du temps très léger, les enseignements que j'ai eu sont très bon en global. Les manuels sont très bon et les chapitres au programme sont plutôt corrects. Il y a plusieurs points négatifs comme une mauvaise concordance des matières entre elles. Il m'est arrivé d'étudier en oral ce qu'on avait étudié des semaines avant en analyse et exercice. Et l'oral est vraiment une matière désagréable puisqu'on est au moins 35 par classe. Ceci dit, la notation à l'INALCO est dure, voir quasi injuste... En kanji, il faut avoir 70% de bonnes réponses pour avoir la moyenne. Mais si l'on travaille rigoureusement et régulièrement, c'est très faisable. Par cela, je ne veux pas parler dire 3H par jour. Non non, il suffit de bien retravailler ses cours, de rendre tous les devoirs avec sérieux et de suivre régulièrement. S'il y a cependant une chose que vous devez bien travailler non-stop, c'est les kanji. Mettez-vous y dès le début sinon vous allez regretter ! 15 kanji par semaine, c'est largement faisable et vivable. Je vous conseille l'outil "anki" pour les étudier.AMBIANCE4L'ambiance n'est pas mal. On a souvent le cliché des ultra otaku gênants qui sont dans la licence mais je n'ai pas vraiment eu ce ressenti. Alors c'est sûr que les petits porte-clés et les t-shirts manga, vous allez en voir. Mais c'est loin des phrases que j'ai pu lire comme "il y a des filles avec des oreilles de chat". Il y a cependant beaucoup d'élèves pas très sérieux... Très bruyants. En début d'année, les amphi étaient plein à craquer, c'était chaud. Ca a pas mal descendu et à la fin, on était nombreux mais ça passait largement. Il y a aussi pas mal de faux débutants au début, ça démotive beaucoup mais rassurez-vous ; ça s'équilibre assez vite au second semestre. On estime que le japonais appris au lycée est rattrapé au premier semestre. Il y a plein de contacts que j'ai perdu à l'INALCO. Plein de gens que je connaissais sont partis mais pas forcément pour les raisons évoquées sur cette page. C'était davantage un problème de voie qu'autre chose. Donc je tiens à vous le dire : assurez-vous que vous souhaitez faire cette licence. 1) Voulez-vous devenir un spécialiste du Japon qui connait l'histoire du pays, sa société et sa langue ? 2) Voulez-vous travailler régulièrement dessus et vous améliorer très vite afin d'avoir un bon niveau en 3 ans ? 3) Pouvez-vous vous consacrer au Japon pour les années à venir et faire de ce domaine une partie importante de votre vie ? Si à ces trois questions, vous avez répondu non, c'est que la licence n'est pas faite pour vous.LOCAUX4L'INALCO est très joli ! C'est moderne et très bien indiqué.INTÉGRATION PRO3En faisant cette licence, vous devez comprendre que les débouchés sont très... bofs. Je vous conseille de ne pas prendre cette voie car vous n'avez pas d'idée où aller. Prenez-au moins quelque chose qui vous assure de grandes chances d'avenir. Ici, c'est plus limite et vous devez avoir un projet en tête pour vous maintenir. Ce qui vous fera garder votre motivation, c'est un objectif à moyen et long-terme. Concernant l'échange universitaire au Japon, les places sont très limitées. Attendez ! Je crois qu'on s'est mal compris. LES PLACES SONT TRES LIMITEES.École, répondezSignalerLucie
Il y a 4 ans3Très difficile de suivre le rythme, ça l'est encore plus avec le COVID: les cours de langue en visio sont intenables, la plupart des élèves ont abandonné toute motivation dès novembre en visio. L'emploi du temps est spécial mais assez light.… Très difficile de suivre le rythme, ça l'est encore plus avec le COVID: les cours de langue en visio sont intenables, la plupart des élèves ont abandonné toute motivation dès novembre en visio. L'emploi du temps est spécial mais assez light. Je vous préviens, si vous n'avez JAMAIS fait de Japonais avant l'INALCO, deux choix s'offrent à vous. Soit vous fuyez. Soit vous vous accrochez. Parce que je peux vous garantir une chose, c'est qu'entre ceux qui ont déjà voyagé au Japon, travaillé la langue des années avant, ou même redoublé... Vous vous sentirez très vite tiré vers le bas par vos propres camarades. Les points positifs ? Les profs qui étaient auparavant des élèves (ils comprennent votre douleur ahah), les cours de civilisation. C'est tout. Bref, j'ai fini par abandonner. Le rythme infernal, le non-soutien en cours de langues & la qualification de "défaillante" aura eu raison de moi.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS3Comme je l'ai dit plus haut, ça dépend. Vous pouvez très bien tomber sur des profs géniaux: pas du tout "élitistes" comme on peut le lire sur des avis datant de 2014, très sympa & chill, qui sont passionnés & te transmettent leur passion. Généralement ces profs sont des anciens élèves, qui comprennent vos difficultés. Ils sont un réel soutien, et certains aident vraiment. Ca fait plaisir à voir. Généralement ce sont des profs de civilisation, ils font aussi de la langue mais comme je l'ai dit plus haut, je n'arrivais personnellement pas du tout à suivre. Sauf que contrairement aux profs natifs, ils sont compréhensifs vis à vis de vos difficultés. Je m'explique. Les professeurs natifs ont tendance à prendre de haut les élèves en difficulté, qui n'ont jamais touché à la langue autre que par le biais de l'école. Plus le temps passe, plus ils soutiennent leurs chouchous. Il y a clairement de la préférence, et ce n'est juste pas tenable. Les cours de langue sont trop déséquilibrés. Pour les kanji, on a 10/12 kanjis à apprendre par semaine... Bon, c'est beaucoup mais pas impossible. Mh mh... On a deux cours pour les avaler. Dont l'un d'eux est un CM...en visio. Avec généralement une demi heure de trou entre la visio & le cours présentiel donc si vous n'êtes pas sur Paris, dites adieu à tous vos CM. Enseignement mitigé.AMBIANCE1Encore une fois, je me répète mais le COVID a truqué mon expérience avec l'INALCO. C'est dommage mais je vais quand même partager ce que j'ai vécu. La vie étudiante & associative déjà vous oubliez. Le seul truc sympa n'existe plus à cause des mesures sanitaires etc. Vous avez juste des cours de soutiens..qui finissent tard le soir. Pas d'activités culturelles, rien. L'ambiance entre étudiants peut vraiment varier. J'ai testé les deux profils. Au premier semestre j'étais dans un groupe assez sympa. Tout le monde était appréciable, j'avais des amis, etc. Du soutien, de l'entraide... ça faisait plaisir, on oubliait presque le rythme infernal de l'école! Sauf que l'INALCO a eut l'intelligence de mettre des inscriptions inter-semestres: les inscriptions pédagogiques se font deux fois par en. Traduction: si vous traînez un peu, votre groupe dans lequel vous étiez se remplit et vous vous retrouvez dans un nouveau groupe dans lequel vous ne connaissez personne et les groupes d'amis sont déjà construits donc aucun moyen de s'intégrer. Le pompon c'est qu'en plus de ça, dans ce nouveau groupe il y avait un groupe d'étudiants "à part" qui méprisaient les autres, prenaient de haut, etc. Je vous laisse imaginer l'ambiance ;)LOCAUX5Rien à dire, c'est très bien situé.INTÉGRATION PRO1je les cherche encore...École, répondezSignalerSolène
Il y a 6 ans2Je regrette de ne pas être allée à Diderot. J'ai obtenu ma licence mais comme beaucoup de mes camarades je m'exprime en japonais avec énormément de difficultés. Je regrette de ne pas être allée à Diderot. J'ai obtenu ma licence mais comme beaucoup de mes camarades je m'exprime en japonais avec énormément de difficultés.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS3La majorité des cours sont très divers et intéressants. Les professeurs de civilisation, histoire, société et littérature japonaise sont tous chercheurs dans leurs domaines respectifs et enseignent en exclusivité à l’INALCO de nombreuses connaissances précieuses. Cependant, 3 heures par semaine seulement sont réservées à la pratique et à l’apprentissage du japonais à l'oral, les élèves sont trop nombreux par classe et les exercices (restés identiques depuis plus de dix ans) ne privilégient pas la pratique orale de la langue. Les cours de grammaire eux sont plutôt satisfaisants (en fonction du professeur) en première et deuxième année mais sont beaucoup moins nombreux dès le second semestre de la deuxième année : Beaucoup moins de temps est consacré à la grammaire et les explications sont de plus en plus superficielles malgré la difficulté croissante des points de grammaire. Ainsi, beaucoup d'élèves finissent par accumuler de nombreuses lacunes en grammaire, sont très insatisfaits de leur niveau en oral et ont du mal à prendre la parole en japonais même à la fin de leur licence. La licence de japonais à l'INALCO est destinée aux personnes ayant de réelles facilités d'apprentissage et se destinant à travailler en tant que chercheur, en tant que traducteur ou bien en tant que diplomate. Si votre but est de travailler dans l’interprétariat, au sein d'une entreprise au Japon ou bien de réaliser à l'avenir un travail ou vous devrez souvent parler en japonais, si vous souhaitez progresser en oral et en écrit et si vous ne souhaitez pas courir le risque de redoubler une voir deux années d'étude, je vous conseillerai de ne pas vous inscrire à l'INALCO en japonais.AMBIANCE1Ambiance élitiste. Tout au cours de la licence les élèves sont « triés » : Les élèves avec les meilleures notes sont soutenus par les professeurs qui les félicitent pour leurs bons résultats et leur avenir prometteur au cours de petites réunions privées entre eux, ils leur proposent des cours en troisième année qui leur sont réservés après avoir passé un petit test d’entrée. Bizarrement ce sont eux à que sont communiquées les offres de stages, offres d’emplois et bourses les plus intéressantes… Les élèves en « difficulté » sont eux tirés vers le bas, beaucoup d'entre eux finissent par abandonner ou redoublent, démoralisés par leurs résultats (malgré leur assiduité et leur travail), la passivité des professeurs et leurs remarques malveillantes et condescendantes envers eux, l'administration distante avec les élèves etc. En première année environ 66% des élèves abandonnent ou redoublent et 60% en deuxième année. Malgré la difficulté de cette licence peut de ressources sont mis à disposition des élèves pour prendre soin de leur santé y compris leur santé mentale. Je fus particulièrement déçue lorsqu'en 2015-2016 très peu d'aide psychologique fut proposée aux élèves malgré 3 suicides d'élèves en une année (dont un sur les locaux de l'INALCO). Aucun professeur de la licence de japonais n’évoqua le sujet de ces suicides ou de santé mentale de leurs élèves ou nous parla d’une éventuelle aide mise à notre disposition.LOCAUX3L'INALCO se situe dans un quartier vraiment très agréable, facile d'accès en transports en commun, restaurant CROUS et résidences étudiantes très proches. Les locaux sont neufs, bien équipés, relativement accessibles aux personnes en chaise roulante, relativement propres et avec une cafétéria sympa. Cependant malgré tout cela il est difficile de trouver un endroit où étudier dans le bâtiment. La BULAC (bibliothèque universitaire) située au rez de chaussée met à disposition des élèves une sélection très importantes d'ouvrages et de ressources sur les langues et le civilisations orientales mais est quasiment constamment bondée. Il est parfois difficile de trouver ne serait-ce qu'une seule place. Le réseau Wifi est extrêmement lent, il est impossible de s'y connecter au sein de la BULAC et dans de nombreuses autres salles. L'état des toilettes laisse aussi à désirer...INTÉGRATION PRO1La plupart des offres sont destinées aux étudiants en Master et les élèves en licence professionnalisante (option japonais) en commerce, relations internationales etc. Il y a assez peu d'offres destinées aux élèves en japonais. Les possibilités d'étudier en tant qu'étudiant en échange au Japon sont très peu nombreuses : Une dizaine de places environ pour les étudiants en deuxième ou troisième année, ce qui est très peu comparé à d'autres universités voisines par exemple. Encore une fois, seuls les élèves avec les meilleurs résultats peuvent partir en échange.École, répondezSignalerPatrick
Il y a 7 ans5Avis certifiéUn avis certifié est un avis ayant tous les éléments de preuve que l’avis ait été déposé par un élève ayant été dans l’école.Il fallait vraiment vouloir apprendre et parler, pour progresser l'effort et le travail étaient la seule voie. Apprendre le japonais, le chinois, le coréen nécessite un but, un engagement, pas un vague snobisme. La sélection se faisait principalement… Il fallait vraiment vouloir apprendre et parler, pour progresser l'effort et le travail étaient la seule voie. Apprendre le japonais, le chinois, le coréen nécessite un but, un engagement, pas un vague snobisme. La sélection se faisait principalement par l'abandon de ceux qui pensaient que ce serait facile.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS5La qualité des cours faits et conçus par de très grands professeurs français ou japonais: MM Sieffert, Mori, Origas, Fujimori et quelques autres. Avec eux, l'étudiant devait vraiment étudier pas attendre comme un dû le diplôme.AMBIANCE2Travaillant plein temps pendant la journée, les cours du soir n'étaient pas vraiment concerné. L'étude du japonais était en général un complément à d'autres études ou à une carrière professionnelle.LOCAUX4A l'époque place De Lattre de Tassigny dans les locaux de Paris IX (ex-OTAN). Les choses ont dû changer. En bien? En mal?INTÉGRATION PRO4Pas d'alternance à l'époque. Les étudiants des cours du jours trouvaient des stages dans le tourisme ou dans certaines entreprises à l'export. Pour ceux des cours du soir, en 1987, nous étions dix huit de notre année de licence (1978), travaillant dans des entreprises françaises ou japonaises, ou des administration à Tokyo seulement. (certains y sont encore.)École, répondezSignalerSuzie
Il y a 4 ans5J'adore l'INALCO, je trouve ses locaux, ses professeurs et ses cours absolument fantastiques. Il est certain qu'étudier le japonais peut être stressant quand aux perspectives d'avenir (à moins d'avoir un but précis) mais l'apprentissage m'a… J'adore l'INALCO, je trouve ses locaux, ses professeurs et ses cours absolument fantastiques. Il est certain qu'étudier le japonais peut être stressant quand aux perspectives d'avenir (à moins d'avoir un but précis) mais l'apprentissage m'a été très très enrichissant. Je pense que comme tout cursus à l'université, il reste exigeant. Il y a du travail à fournir mais il ne m'a jamais paru exagéré. Socialement aussi, j'ai pu rencontrer des gens avec qui je suis proche aujourd'hui. Je ne pourrais affirmer que l'INALCO est faite pour tout le monde, mais le bilan qu'en retrace ce site et ses avis ne correspondent absolument pas à ma réalité (et je ne suis pas la seule)FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS5Les professeurs sont tous compétents, bienveillants et justes.AMBIANCE4Je pense que l'ambiance dépend des rencontres que l'on y fait, donc malheureusement je ne peux pas m'exprimer là-dessus.LOCAUX5Les locaux sont superbes et très lumineux ✨INTÉGRATION PRO1Malheureusement, cela reste compliqué de ce point de vue.. mais l'Université a tout de même mis au point 5 parcours professionnalisants à partir de la L2 et des parcours transversaux très intéressants.École, répondezSignalerNicolas
Il y a 5 ans2INALCO a été une expérience qui me laisse mitigée. La réputation de l'établissement n'est pas usurpée: le département Japon est exigeant, froid, peut dégoûter de la langue et des études en général, et demande une très solide endurance mentale.… INALCO a été une expérience qui me laisse mitigée. La réputation de l'établissement n'est pas usurpée: le département Japon est exigeant, froid, peut dégoûter de la langue et des études en général, et demande une très solide endurance mentale. Si vous souhaitez apprendre le japonais, je recommande effectivement de se tourner vers Diderot qui, en plus d'une LLCER, propose également une LEA anglais-japonais qui permet de s'intégrer un peu plus facilement dans le monde de l'entreprise (si vous ne souhaitez pas devenir traducteur ou professeur), grâce à des cours en rapport avec l'économie et le droit, en complément de la langue.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS2Les cours de civilisation sont très bons, grace à des professeurs passionnés, qui aiment transmettre leur savoir. Je pense que l'on peut estimer avoir un bon niveau de connaissance sur le Japon, son économie, sa politique, son histoire, à l'issue de la L2. Ces professeurs sont parmi les meilleurs que j'ai rencontré dans ma scolarité, et je suis très heureuse d'avoir croisé leurs routes, grâce à ce qu'ils m'ont apporté, tant scolairement qu'humainement. Malheureusement, pour les autres matières, le constat n'a pas été le même, en ce qui me concerne, du moins. Je rejoins les avis posté par mes camarades au sujet des professeurs décourageants, peu disponibles, froids, et qui trient les étudiants. Je faisais parti de ceux en difficulté, et seulement trois professeurs se sont montrés humains à mon égard. Et pourtant, trois, c'est déjà beaucoup. D'autres n'ont même pas eu cette chance. Les autres enseignants étaient passifs, ou franchement méprisants, estimant qu'un étudiant en difficulté est forcément quelqu'un qui ne travaille pas (avis également repris par certains étudiants, ce qui rajoute une pression supplementaire et crée un très grand sentiment de honte et de culpabilité). Les cours d'oraux sont trop peu nombreux, malheureusement. Trois heures d'oral par semaine en L2, ce n'est pas suffisant, surtout dans des classes surchargées où l'on est 40. Et le partiel est l'un des plus durs de la licence. Les cours ne nous préparent pas à cela, les exercices y sont d'une difficulté dérisoire par rapport à ce qui nous attend en janvier, pour les examens. Il est très facile de réussir les exercices du cours d'oral, mais de rater complètement ce partiel. La qualité des cours de grammaire dépend très franchement du professeur (certains sont dévoués et font le maximum pour vous aider, d'autres ont leurs têtes et n'aideront que ceux-là, tout en lançant des piques assassines aux étudiants qu'ils n'apprécient pas et qui auront le malheur de se tromper ou de ne pas savoir lire un kanji. Humiliation garantie. J'ai vu un professeur être compréhensif avec un étudiant qui n'arrivait pas à lire un kanji de L1, et assassiner verbalement un autre qui avait eu du mal à lire un kanji de L2, lors de la deuxième année de licence. L'un était estimé du professeur, l'autre non...) Les cours de thème sont denses mais permettent d'acquérir un bon niveau de langue écrite. Idem pour la traduction, grâce aux nombreux textes vus en cours au deuxième semestre de la L2. Néanmoins, je rejoins l'avis général stipulant qu'au final, nous pouvons traduire des textes (ou même des livres) du japonais au français, mais pas forcément parler la langue avec fluidité. Pas assez pour travailler avec des japonais, en tout cas, sauf pour une minorité ayant des facilités en langue. J'ai pour ma part choisi de quitter l'établissement après la L2, en grande partie à cause de l'ambiance.AMBIANCE1Trois suicides en une année, dont l'un sur place, en 2016. Je pense que tout est dit. Ambiance élitiste, entretenue aussi bien par les professeurs que par certains étudiants qui ne comprenaient pas que d'autres craquent et commettent l'irréparable... j'ai entendu par deux fois (deux fois de trop), des horreurs dénuées de la moindre empathie. INALCO demande une très solide endurance mentale. Et il y a des problèmes réels à ce niveau. Il est urgent d'en parler, de faire de la prévention, et que les étudiants arrêtent de se juger les uns les autres. J'espère sincèrement que ce tabou sera brisé un jour, et que les professeurs discuteront de ce sujet avec leurs élèves, afin de trouver le moyen de mettre en place une véritable écoute et une prévention digne de ce nom. Plusieurs de mes camarades craquaient à cause du rythme (dépression), mais se taisaient, de peur d'être jugés par les autres. Certains professeurs ne semblaient pas heureux d'être là, d'autres fuyaient à Diderot.LOCAUX3L'établissement est bien desservi (méro, tram, RER, bus) et le quartier est très agréable. Les locaux sont en bon état. Les bémols concernent les toilettes (devoir prendre son papier devant tout le monde à l'entrée de ceux-ci), le wifi, et la bulac, où il est extrêmement difficile de trouver une place et où les disputes à ce sujet sont fréquentes. Au final, on cherchait souvent des salles libres pour étudier.INTÉGRATION PRO1Pas de stage en licence, sauf pour ceux en double cursus commerce ou HEI.École, répondezSignalerAurélie
Il y a 7 ans3Avis certifiéUn avis certifié est un avis ayant tous les éléments de preuve que l’avis ait été déposé par un élève ayant été dans l’école.Une université qui m'a laissée mitigée, et que je recommande aux plus courageux et motivés (et pas effrayés à l'idée de redoubler, ne serait-ce que la deuxième année). Une université qui m'a laissée mitigée, et que je recommande aux plus courageux et motivés (et pas effrayés à l'idée de redoubler, ne serait-ce que la deuxième année).FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS3Pour avoir entendu des témoignages relatifs à d'autres universités en France proposant une LLCE japonais, l'INALCO dispose, à mon avis, du programme sans doute le plus équilibré. La formation proposée - en LLCE Japonais tout du moins, demande beaucoup d'investissement.Le corps enseignant est partagé entre des professeurs à velléités élitistes qui mettent la barre haut, et d'autres plus pédagogues, conscients des limites des étudiants. L'enseignement des kanjis, notamment, est bien trop riche pour arriver à des résultats conséquents en fin de parcours, si l'on veut se concentrer sur les autres matières...AMBIANCE3Le BDE est assez actif, et organise des activités régulièrement. Il existe aussi différents clubs, liés aux départements ou à d'autres activités, accessibles à tous. De plus, des "journées" centrées sur les différents pôles linguistiques sont organisées chaque année, permettant d'en apprendre plus sur les différentes cultures étudiées à l'INALCO.LOCAUX4Les locaux, datant des années 2000 sont neufs, assez bien entretenus. Il est dommage d'avoir une bibliothèque intégrée au bâtiment et dont les étudiants paient automatiquement l'inscription si c'est pour qu'elle soit assiégée par les élèves d'autres facultés en période d'examen... Une partie de la bâtisse n'a d'ailleurs jamais été achevée, et quand on pense que ça aurait pu être un espace supplémentaire d'étude, c'est un peu frustrant.INTÉGRATION PRO1Pas de stage en licence.École, répondezSignalerThibault
Il y a 8 ans3Je suis partagé sur mon avis global : durant mon passage en licence, j'ai oscillé entre désespoir et optimisme. Cette faculté est, je le pense, très élitiste dans son approche. Il faut donc être prêt à se battre sur chaque partiel, et ne pas… Je suis partagé sur mon avis global : durant mon passage en licence, j'ai oscillé entre désespoir et optimisme. Cette faculté est, je le pense, très élitiste dans son approche. Il faut donc être prêt à se battre sur chaque partiel, et ne pas se décourager devant les échecs ou les mauvaises notes (si à cela on rajoute certains commentaires désagréables de professeurs). Je recommande la faculté pour son aura et son exigence, et à la compétence en langue d'un étudiant diplômé de cette fac à la sotie, mais il faut savoir où l'on met les pieds avant de s'engager dans le cursus. le nombre d'étudiants baisse d'années en années, et de manière plutôt drastique : en ce qui concerne mon expérience personnelle, je dirais que sur 10 personnes, environ 3 obtiennent la licence de manière "normale", en 3 ans. Le reste se partage en abandon et redoublement (parfois plusieurs sur une seule année...)FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS3Pour ce qui est des cours et des enseignements, la licence de japonais à l'INALCO est (malheureusement ?) fidèle à sa réputation : difficile, exigeante, de temps en temps décourageante. je m'explique : l'apprentissage des kanjis est dense, les cours de grammaires sont intenses et nécessitent d'être revus et repassés à la maison, les cours d'oraux (pratique orale et compréhension) sont difficiles et peu nombreux, et les examens, une véritable source de stress pour un bon nombre d'étudiants (la notation parait parfois obscure, les contenus de certains examens, en décalage (en terme de difficulté) avec ce que l'on voit en cours) MAIS si l'on s'accroche, ce n'est pas insurmontable, et c'est même gratifiant que de valider son année sans passer par le système de compensation (ou par les rattrapages). Pour les professeurs, c'est fluctuant : cela va du professeur proprement désagréable, qui ne comprend pas qu'en L1, les étudiants ne sachent pas lire des kanjis scientifiques, au professeur qui a "ses têtes", jusqu'aux professeurs qui peuvent s'avérer certes, très exigeants, mais aussi extrêmement calés sur leurs sujets d'études, qui dispensent des cours d'une grande qualité. Bref, comme dans toutes les facultés de France, en somme.AMBIANCE4Cela dépend de chacun, mais pour ma part, la faculté, et ici en l’occurrence l'INALCO, offre cette liberté si importante : celle du CHOIX ! Si vous souhaitez passer votre cycle de licence seul, c'est possible. Si vous souhaitez vous liez d'amitié et créer un cercle d'ami, pareil ! Mis à part au moment des inscriptions pédagogiques (une "battle royale" des emplois du temps) ou c'est chacun pour soi, la coopération entre étudiants est en générale de mise. Pour ce qui est des activités culturelles, il y a une offre très variée, avec des journées à thèmes, beaucoup de clubs ou d'associations, un BDE plus ou moins actif... De quoi satisfaire à peu près tout le monde.LOCAUX4Le bâtiment est propre, très bien situé (Paris 13, au bout de la ligne 14 en métro, RER, Tram) les locaux et salles sont neufs (en tout cas ça l'était toujours lors de mon dernier passage), la cafétéria facilement accessible, avec de la place quand ce n'est pas le rush, et une terrasse pour profiter des beaux jours. Le Resto U est à quelques rues, si vous avez le temps d'y aller pour manger tranquillement. BEMOL : la BULAC, destinée aux étudiants en langue ou en civilisation étrangère (intégrée dans les bâtiments de l'INALCO) est une bibliothèque "privée" : elle accepte tout le monde. Je dis bien TOUT le monde. Préparez-vous donc à faire le piquet devant l'entrée avant l'ouverture si vous voulez être sûr de bénéficier de places pour étudier, car elle est régulièrement prise d'assaut par des étudiants en médecine, chimie, etc.INTÉGRATION PRO2Je ne parlerai ici que des possibilités de partir en échange universitaire au Japon : Soyons clair : les échanges ne sont réservés qu'aux meilleurs élèves (et réguliers depuis la L1), titulaires du JLPT N2 (que l'on est censé passé en L3). Rien de bien étonnant par rapport aux autres facultés de France. Néanmoins, le nombre de places disponibles est assez réduit, une dizaine environ, ce qui est dommage compte tenu de la réputation dont bénéficie l'INALCO par rapport à l'enseignement de la langue japonaise. En un mot, si vous voulez partir, il faut se battre dès le début !École, répondezSignalerElisabeth
Il y a 8 ans1Je suis très heureuse de quitter cet établissement qui, je pense, ne m'a absolument rien apporté au niveau humain ou professionnel et dont la qualité des enseignements est telle que je pense progresser bien plus rapidement en travaillant seule. Je suis très heureuse de quitter cet établissement qui, je pense, ne m'a absolument rien apporté au niveau humain ou professionnel et dont la qualité des enseignements est telle que je pense progresser bien plus rapidement en travaillant seule.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS1De très mauvais professeurs : l'intitulé des cours change après les inscriptions, les cours manquent de rigueur de recherches. Même lorsque les élèves protestent en masse à l'administration contre un professeur qui ne suit pas son programme, celui-ci conserve son poste et se venge par des notes catastrophiques. Aucun suivi et encore moins de travaux dirigés. Aucune distribution de bibliographie. Aucun conseil aidant à se tourner vers le monde de la recherche.AMBIANCE1Trois suicides en un an sur le lieu même de l'établissement et aucune réaction, mise en place de cellule d'écoute ou de programme de sensibilisation. Les élèves sont accueillis par une réunion de pré-rentrée durant laquelle on leur souhaite la bienvenue dans "l'année du désespoir" (surnom choisi par l'équipe enseignante).LOCAUX1Disputes très fréquentes dans la bibliothèque universitaire où les places vides "réservées" durant des heures s'accumulent sans que l'administration ne mette rien en place pour que ses étudiants puissent travailler ailleurs que par terre dans des couloirs.INTÉGRATION PRO1Un forum pro par an, d'une taille très petite et auquel ne prennent part aucun professeur. Durant l'année, aucune information ou sensibilisation n'est donnée quant à l'avenir professionnel des élèves. Aucune possibilité de stages dans notre domaine et lorsque l'on cherche à effectuer un stage dans un autre domaine durant les vacances, l'administration refuse de délivrer les papiers nécessaires.École, répondezSignalerCéline
Il y a 8 ans3l'inalco a été une expérience très riche pour moi, on y apprend énormément de choses, établissement très renommé et enseignement de qualité. mais l'enseignement atteint parfois des rythmes impossibles, surtout en double licence et c'est très… l'inalco a été une expérience très riche pour moi, on y apprend énormément de choses, établissement très renommé et enseignement de qualité. mais l'enseignement atteint parfois des rythmes impossibles, surtout en double licence et c'est très dur moralement. en L3, stage obligatoire de 1 mois, c'est largement insuffisantFORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS4enseignement de qualité, profs chercheurs qui sont des spécialistes, parfois même les plus grands de France mais enseignement très exigeant, parfois très dur à suivre et cela peut être extrêmement difficile, surtout en cas de double licenceAMBIANCE2c'est une université, peu d'esprit de cohésion, tout le monde est assez indépendant, mais beaucoup de journées à thème sont organisées !LOCAUX4locaux quasi neufs et bien situés, très agréalesINTÉGRATION PRO2pour moi, très peu d'aide, peu d'occasion pour s'insérer dans la vie pro, sauf à la fin du cursus, peut être un gros handicapÉcole, répondezSignalerLucille
Il y a 8 ans1Une école élitiste, certes de bonne renommée mais en ce qui concerne le pôle Japon, des professeurs peu agréables et peu disponibles, beaucoup de condescendance...cela peu dégoûter du japonais, donc attention. Une école élitiste, certes de bonne renommée mais en ce qui concerne le pôle Japon, des professeurs peu agréables et peu disponibles, beaucoup de condescendance...cela peu dégoûter du japonais, donc attention.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS1Mauvaise ambiance générale, professeurs peu disponibles à répondre aux questions des élèves, toujours à essayer de décourager les étudiants.AMBIANCE3LOCAUX4INTÉGRATION PRO1École, répondezSignalerLudivine
Il y a 8 ans4Bon institut avec de bons professeurs mais le niveau est vraiment vraiment haut en Japonais, il faut s'accrocher, ils nous demandent vraiment beaucoup ! A ceux qui n'aiment pas travailler, cherchez autre part. Je fais une double licence DID-Japonais,… Bon institut avec de bons professeurs mais le niveau est vraiment vraiment haut en Japonais, il faut s'accrocher, ils nous demandent vraiment beaucoup ! A ceux qui n'aiment pas travailler, cherchez autre part. Je fais une double licence DID-Japonais, il faut s'accrocher (mais pas impossible bien sûr);FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS4AMBIANCE4Beaucoup d'associations et pas mal d'activités. En Japonais, si vous avez du temps libre, vous pouvez largement trouver une activité à votre goût ! Par contre les soirées avec le BDE sont assez chères et pas spécialement pratiques pour la localisation et les horaires.LOCAUX5Beaux bâtiments neufs, localisation super (bus, métro, RER, tramway...). Malheureusement les gérants n'ont pas encore compris que la clim, c'était en été et le chauffage en hiver ! (la climatisation au mois de novembre, j'ai connu mieux).INTÉGRATION PRO3Aucun stage pour moi et pas grand chose en aide pour l'insertion professionnelle, sauf un bureau au deuxième étage qui aide pour faire des CV, entretiens d'embauche etc.École, répondezSignalerMathilde
Il y a 8 ans1Rythme trop rapide, au détriment de ma santé. Notation beaucoup trop sévère qui n'ont aucun rapport avec les notations effectués en cours de semestre, administration injoignable. Rythme trop rapide, au détriment de ma santé. Notation beaucoup trop sévère qui n'ont aucun rapport avec les notations effectués en cours de semestre, administration injoignable.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS1Niveau et rythme beaucoup trop élevés dans toutes les matières. Les professeurs fuient a Diderot où ne semblent pas être content d'être ici si ils restent.AMBIANCE2LOCAUX4INTÉGRATION PRO1Très peu d'opportunité et de place.École, répondezSignalerMarine
Il y a 8 ans3Ne pas choisir cet établissement si vous n'êtes pas prêt à subir la pression de certains des professeurs. Quand je parle de pression, ce n'est évidemment pas celle dont on fait l'expérience pendant les années du bac. C'est vraiment difficile… Ne pas choisir cet établissement si vous n'êtes pas prêt à subir la pression de certains des professeurs. Quand je parle de pression, ce n'est évidemment pas celle dont on fait l'expérience pendant les années du bac. C'est vraiment difficile à vivre. Vous pouvez vite déchanter, même avec toute la bonne volonté. En général les cours sont de bonnes qualités. Si vous n'arrivez pas à suivre les cours où un prof parle pendant des heures, n'y pensez même pas. Tout en sachant qu'il faut faire le tri dans tout ce que dit le prof. Et des fois, trop de tri, bah... ça vous met dans la mouise. Au final, soyez sûr de votre choix et de ce que vous voulez. Si vous voulez apprendre la langue et la civilisation (qui est un gros coeff), c'est fait pour vous. Mais si vous voulez juste des cours d'histoire, ou juste des cours de la langue choisie, ne vous lancez pas dans cette aventure. Il y a toujours d'autres alternatives. Sur ce, j'espère que ce commentaire vous aura aidé.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS4Les professeurs sont passionnés. La plupart sont toujours là pour répondre à vos questions pendant, ou à la fin du cours. Et ils ont toujours le sourire (toujours pour la plupart).AMBIANCE3Bon, on va pas se le cacher, comme chaque année, et comme chaque semestre, c'est la guerre pour les inscriptions pédagogiques. D'une part, parce que les élèves ne se font aucun cadeau, c'est à celui qui sera le plus rapide. D'autre part, parce que l'heure d'ouverture annoncée n'est jamais respectée. De plus, quand tout le monde se connecte en même temps, bah ça bug énormément Et si vous avez cours à 9 heures, que l'inscription est à 8 heures, et que vous mettez un certain temps à aller à la fac, il vous faudra vous munir de votre téléphone ou de votre ordinateur portable, et trouver une connexion internet de qualité. Pour la vie associative, c'est vraiment le pied ! Beaucoup de journée sur un pays donné, des portes ouvertes, de la culture. Il y a de quoi faire !LOCAUX2Sincèrement, l'INALCO est un très bel établissement. On a quelques terrasses (dès qu'il y a un peu de soleil, c'est bien agréable). La cafet' est un chouilla trop petite. Mais vous pouvez toujours vous rabattre sur la cantine du CROUS (si vous avez le temps de faire l'aller et retour, et aussi de faire la queue aux heures de pointes). On vous parle même pas de la file d'attente de la cafet' aux heures de pointes, des fois ça va super loin. L'éternel débat et combat pour avoir des places à cette fabuleuse BULAC qui nous permet de travailler tranquillement pendant nos heures de pauses (cours annulés, pas cours du tout, etc). La documentation est au top ! Pour ce qui est de la localisation, on peut pas faire mieux, y'a le RER, le tram, et le métro ! Sérieusement, que voulez vous de plus ?INTÉGRATION PRO1École, répondezSignalerAngela
Il y a 8 ans4Certains profs sont géniaux, expliquent bien et une fois dépassé la L1, on sent moins de pression. Le seul problème c'est qu'on paie une bibliothèque qui n'est même pas propriété de la fac et qu'il n'y a jamais de place. Le personnel bibliothécaires… Certains profs sont géniaux, expliquent bien et une fois dépassé la L1, on sent moins de pression. Le seul problème c'est qu'on paie une bibliothèque qui n'est même pas propriété de la fac et qu'il n'y a jamais de place. Le personnel bibliothécaires sont acerbes, les toilettes dégueulasses, les locaux ne sont pas surveillés et squattés par ses lycéens et gens d'autres facs. Il n'y a qu'une toute petite cafétéria. Mise à part ça on ressort de l'inalco riche en expérienceFORMATION SUIVIELicence Langues du monde et formation appliquée : didactique du français langue étrangèreCOURS3AMBIANCE3LOCAUX1INTÉGRATION PRO1École, répondezSignalerSaturnette
Il y a 8 ans4J'ai globalement tout résumé dans les sections précédentes, mais j'adore cette école et la recommande, même s'il faut y entrer en connaissance de cause (difficulté, exigence, peu de débouchés) au risque d'avoir l'impression de faire des années… J'ai globalement tout résumé dans les sections précédentes, mais j'adore cette école et la recommande, même s'il faut y entrer en connaissance de cause (difficulté, exigence, peu de débouchés) au risque d'avoir l'impression de faire des années pour "rien" ou d'avoir un diplôme "inutile". Mais pour celui qui chercher à approfondir au maximum sa connaissance sur un pays, une culture ou une langue, vous ne trouverez pas mieux ailleurs.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS5Les professeurs sont excellents. En réalité, l'enseignement ne vaut pas 5 étoiles, dans le sens où certains cours sont clairement inefficaces (les cours d'oraux à 70 en L1 à répéter bêtement des phrases de fascicule) ou inutiles. Les cours de langue sont particulièrement imparfaits et inefficaces pour une grande partie. Ceci étant, les cours de civilisation, donnés par des chercheurs professionnels dans leur domaine font toute la réputation et la qualité des cours de l'INALCO. Des centaines de disciplines possibles (musique traditionnelle, archéologie, analyse de la presse, sociologie, histoire de l'art, histoire intellectuelle, philosophie, religion...) tout est fait pour que l'étudiant s'épanouisse intellectuellement dans son domaine, et ressorte ne serait-ce qu'en deuxième ou troisième année seulement avec des connaissances solides de la culture du pays étudié.AMBIANCE5Chaque département de langue a son association qui propose des cours spécifiques à la culture des pays étudiés, des soirées sont organisées avec les étudiants étrangers, des voyages scolaires également, plusieurs soirées étudiantes dans l'année dans des endroits très sympa, du sport. On a aussi une chorale, une troupe de théâtre, plusieurs concerts sont aussi donnés plusieurs fois dans l'année. Mais le point le plus fort de la vie associative de l'inalco, ce sont les journées spéciales relatives à des pays spécifiques. Pendant ces journées, les étudiants du pays en question s'habillent dans des vêtements traditionnels, les étudiants font partager les spécialités culinaires locales, des conférences spéciales, de la musique traditionnelle est jouée, bref, c'est à la fois très enrichissant et dépaysant. Enfin, je tenais à souligner l'excellente qualité des très nombreuses conférences qui sont données tout au long de l'année.LOCAUX4Les locaux sont tous neufs, à peine 5 ans. C'est joli, propre, coloré, lumineux, ça dénote clairement avec d'autres universités plutôt froides. Je ne mets pas 5 étoiles à cause des infrastructures qui sont déjà pour certaines vieillissantes: toilettes souvent bouchées, condamnées, machines parfois en panne, séchoir qui restent HS pendant des mois... Elle est près de plusieurs grandes bibliothèques (en plus celle en son sein, spécialisée dans les ouvrages linguistiques et culturels orientaux) Pour les étudiants en japonais (la majorité de l'école), elle se situe à 8 mn de la station de métro 14 Pyramides, soit le quartier japonais dans lequel on trouve une centaine de restaurants asiatiques excellents, des librairies spécialisées, des supérettes avec des produits locaux importés, etc. Bref, elle est parfaitement bien localisée.INTÉGRATION PRO2A part si l'on est dans la section commerce ou relations internationales (dans lesquelles il y a des stages et une assez bonne insertion professionnelle je crois) on va pas se mentir, c'est le néant. La qualité d'enseignement se vérifie dans la réputation, et dans la rapidité qu'on peut mettre à décrocher des petits boulots. Malgré tout, l'enseignement y est tellement spécialisé et théorique que ça peut permettre de décrocher des petits boulots bien spécifiques de temps en temps, mais c'est pas ça qui vous fera manger sur le long terme, et on déchante vite une fois sur le marché du travail en voyant qu'on a fait 5 ans d'études pour qu'on nous dise "oui c'est bien vous êtes incollable sur la poésie japonaise du 14ème siècle... et après?"École, répondezSignalerMélissa
Il y a 8 ans2Avis certifiéUn avis certifié est un avis ayant tous les éléments de preuve que l’avis ait été déposé par un élève ayant été dans l’école.La licence à réfrainé ma passion pour le japonais voir l'a éteinte à jamais a cause de son rythme presque insoutenable en terme de kanji/vocabulaire, ce qui fait que quand on rentre chez soit on veut plus écouter regarder du japonais, devient… La licence à réfrainé ma passion pour le japonais voir l'a éteinte à jamais a cause de son rythme presque insoutenable en terme de kanji/vocabulaire, ce qui fait que quand on rentre chez soit on veut plus écouter regarder du japonais, devient plus une contrainte qu'autre chose. La facon dont certains prof fichent les élèves m'a beaucoup déçus également. Le fait qu'ils essayent juste de former des traducteurs aussi sans rien proposer d'autre ni même de stage pour une quelconque expérience professionnelle justifie ma note sur mon expérience.FORMATION SUIVIELicence Langues, littératures et civilisations étrangères - Spécialité japonaisCOURS1Certains profs qui fichent et notent a la tête, des cours de kanji inexistants en L3 mais tout aussi bourratif pour le cerveau (30 à 60 kanji par semaine sans interruption et au sens très spécifique avec un controle d'evaluation chaque semaine) et un seul cours d'oral dans la semaine . A la fin de la licence on sait plus traduire un livre d'économie japonais que de simplement tenir la conversation avec un japonais ce qui est pourtant indispensable si on veut travailler avec les japonais plus tard. Car non on ne veut pas tous finir traducteur/interprète. De plus la licence, malgre son rythme rapide et sa difficulté presque insurmontable sans avoir redoublé au moins une fois,ne représente rien à elle seule. C'est a dire qu'elle est insuffisante pour trouver un travail après.AMBIANCE4Des clubs divers sont à disposition de l'étudiant, un BDE actif et une bibliothèque en très bon état, bien que la cafétéria est moyenne en terme qualité/prixLOCAUX5Très bien situé: proche de bus, métro, tramway et RER Dispose d'une wifi bien qu'un peu lente et d'ordinateursINTÉGRATION PRO1Aucun stage proposé en entreprise donc aucune expérience professionnelle en sortant de la licence d'ou le caractère insuffisant de celle ci. Propose un an d'etude à l'étranger mais revient à redoubler puisque qu'on ne peut passer les examens la bas.École, répondezSignaler
Voir plus
Chargement...