Avis sur IEJ - Institut européen de journalisme

Certains professeurs sont excellents et nous donnent envie de pratiquer ce métier, d'autres au contrarient se montrent parfois arrogants et peu à l'écoute des élèves.

Les locaux sont bien équipés (studios radio, TV, iMac et logiciels de montage...) bien qu'un peu vieillissants. La localisation dans le 16ème arrondissement est par contre idéale.

Un stage est obligatoire par an, ce qui est bénéfique pour apprendre le métier en immersion totale. Par contre, il n'y a aucun suivi de la part de l'école une fois le diplôme obtenu, et je n'ai pas exemple reçu aucune aide pour trouver un stage ou un emploi, malgré les promesses.

Des professionnels qui savent de quoi ils parlent et sont eux-mêmes toujours en activité, donc à jour sur les mutations du métier.

Quelques difficultés parfois avec le BDE mais de toute façon les exigences en cours laissent peu de place pour les activités extérieures. En revanche, une bonne ambiance interne avec le staff et les autres élèves, une vraie ambiance de travail et d'entraide.

Deux métros et un RER à proximité, difficile de demander mieux. Cadre agréable à quelques centaines de mètres de la Tour Eiffel, idéal pour de belles illustrations de Paris.

Une super responsable des stages qui aiguille au mieux chaque élève avec un suivi personnalisé si possible. L'école mise tout sur la pratique et les stages en sont une grande partie.

La majorité de nos professeurs sont des journalistes en activité, et nous sommes considérés comme tels. De plus, les intervenants sont nos premiers contacts pour des stages. La pratique est présente à l'Iej dès les premières semaines, ce qui nous permet à la fin de la formation d'être complètement à l'aise avec tous les outils indispensables à ce métier.

Ambiance familiale à l'Iej, nous sommes encadrés comme il le faut.

L'établissement dispose de beaucoup d'espaces : plateaux Tv, studios radios, magasin d'empreint de caméras et micros en tout genre, de plus, toutes les salles informatiques sont équipées Apple. Enfin, on ne se plaint pas d'être dans le 16 ème arrondissement, il y a pire ! ;)

Plusieurs mois de stage à effectuer chaque année, ce qui nous permet de mettre un réel pied dans les rédactions et de construire notre propre carnet d'adresse. Une page facebook permet de proposer grand nombre d'offres de stages et d'emplois. L'Iej dispose d'un réseau important (intervenants, anciens étudiants, offres reçues à l'école,...).

Les intervenants que nous avons eus sont professionnels, pertinents et qui considèrent les étudiants comme des journalistes à part entière

Manque d'événements fédérateurs organisés par l'institut

Matériel souvent disponible, nombreuses salles et installations qui nous ont permis de s'exercer en radio, plateau télé...

Les professeurs sont tous des journalistes en activité dans les rédactions, ils nous encadrent et sont là pour nous aider à décrocher nos premiers stages.

Bof, le BDE est peu présent, en tout cas pendant mes années d'étude, après j'avoue que je n'en ai jamais fait partie mais bon… à part des soirées rien de bien intéressant

Les locaux sont pas mal mais le vrai point positif est le matos, pour avoir fait une autre école avant, l'IEJ est top, caméras, studios TV et radio… De quoi bien bosser

Pour les stages, il m'a toujours été facile d'en trouver grâce aux publications d'offres

Tous les intervenants, sont des personnes en activité. Ils savent de quoi ils parlent. Cela permet de sortir de la routine stylo-tableau-cahiers, nous allons directement sur le terrain.

Je suis entrée en 3eme année entrée directe, je n'ai peut-être pas eu la possibilité de voir le BDE. Dans tous les cas même si je l'aurais voulu, je n'avais pas le temps. Ca bosse à l'IEJ !

L'IEJ est entre 2 métros (9 et 6), donc c'est assez bien desservie.

Tous les jours il y a des annonces de stages sur le compte facebook du BDE. Dans ceux qui les proposent pas mal c'est des anciens. Preuve que l'école a un très bon réseau.

Tous les professeurs ne sont pas de façon systématique investis auprès des étudiants. De plus l'intérêt de l'intervention de professionnels en tant que professeurs est très limité, puisque la plupart ne compte pas vous aider à trouver un travail un jour. Tout au mieux un stage et pas toujours rémunéré.

Aucun week-end d'intégration fait en 3 ans dans cette école. Pour autant des soirées étaient organisées, en semaine.

Les locaux et les infrastructures sont satisfaisantes. La localisation n'est pas idéale, mais ce dernier point est très subjectif.

Pas de possibilité de mettre 0. Les conventions de stage ne sont absolument pas contrôlées (abus fait par les employeurs non repris par l'administration). Alternance, je ne peux rien dire, je ne sais pas. Insertion professionnelle, en ce qui me concerne, est nulle. Aucun accompagnement, aucune aide, aucun soutien, même lorsqu'un ancien élève atterri au prud'hommes à la sortie de l'école, il n'y a eu aucun suivi.

Les professeurs sont des professionnels en activité et leurs conseils souvent avisés, mais une partie de ces derniers ne possède pas la formation pour enseigner. Cela se ressent sur certains cours où ma présence me paraissait inutile. Pourquoi faire faire un devoir en classe alors que l'on pourrait le faire entre deux cours ?

LE point faible de l'école. Il n'y a aucune communication inter-classes, j'ai côtoyé le même groupe et le même demi-groupe pendant 2 ans avant de voir ma classe mixée avec une autre en 3e année. Les quelques soirées sont trop occasionnelles et les semblant de voyages peu engageants... Je trouve surtout dommage de ne pas favoriser une réelle émulation propre au développement personnel et aux rencontres.

L'immeuble est récent, les ordinateurs en parfait état de marche et intégralement Apple, le quartier est central en plein 16e et permet d'ailleurs de favoriser les stages vers Radio France situé juste à côté. Petit bémol : le 16e, c'est cher pour s'acheter un sandwich le midi ou prendre une bière !

Ambivalent. D'un côté, l'école m'a permis d'effectuer une vraie insertion professionnelle dans des rédactions qui fonctionnent (Sopress, Radio France). De l'autre, c'est en réalité toujours moi qui me suis débrouillé pour me trouver des stages et l'école ne m'a jamais appuyé dans ma démarche. Personnellement je n'en avait pas le plus besoin, certains de mes amis, oui. GROS point positif : le Mur BDE où des annonces de stages défilent tous les jours, c'est par ce biais que je suis rentré à France Inter.