Avis sur UFR d'études théâtrales, Université de la Sorbonne Nouvelle

Suivant les cours, de très bons professeurs, passionnés et qui savent transmettre cette passion à l'aide d'une pédagogie constructive.

Beaucoup de choses mais de manière générale, je trouve qu'on est pas assez renseigné et au courant de tout ce qui se passe.

Bonne localisation mais mauvaise infrastructure. Les locaux ne sont pas assez grands ! Passer un examen assis par terre, trouvez-vous ca normal ?

On nous aide pas du tout et de manière générale, tout ce qui concerne l'administratif est une catastrophe dans cette université. Insertion professionnelle? Jamais entendue parler

Certains excellent professeur, d'autre réellement incompétents.

Parfois compliqué de se procurer une convention de stage.

Cela varie d'un semestre à l'autre. Mais dans l'ensemble je n'ai jamais été trop déçue par les enseignements et les enseignants.

Il y a une très bonne ambiance dans la fac, j'ai rencontré beaucoup de gens. Il y a très souvent des initiatives d'associations.

Les locaux ne sont pas toujours assez spacieux pour un effectif de plus en plus important. Par ailleurs, le 5eme arrondissement est très sympa, et évoluer dans cette ambiance est très favorable au bon déroulement des études.

Enseignements variés mais très aléatoires, très théoriques qui ne transmettent malheuresement qu'une vision très intellectuelle du théâtre loin de sa pratique, de son public et du monde professionnel.

Les seuls point positifs sont le service d'action culturelle et sa billeterie ainsi que le SUAPS. Pour le reste le campus est "mort", il communique mal sur ses évèvements, s'occupe mal de ses associations qui restent souvent inconnues des étudiants malgré leurs efforts. L'université n'est pas fédératrice et les groupes qui la compose ne sont pas amenés à échanger...L'administration est un véritable enfer pouvant aller jusqu'à mettre en péril des parcours de vie.

Le quartier Censier/Rue Mouffetard est agréable, bien desservi. Les bâtiments sont froids et très vieillissants, mal conçus, mal entretenus, peu accueillants, on doit s'assoir par terre très souvent. La construction d'une nouvelle aile a grignoté le seul coin d'herbe en extérieur. Les escaliers sont très désagréables. Le service technique est déplorable. Alors qu'il s'agit de la seule fac spécialisée dans les études théâtrales, il n'y a aucune salle digne de ce nom pour en accueillir la pratique, quasiment aucun matériel. Il existe cependant la bibliothèque spécialisée la plus riche de France sur le sujet.

Bureau des stages et de la mobilité à l'étranger souvent fermés, difficiles à contacter et peu compréhensifs, frennent les démarches les plus essentielles... Il faut souvent jouer contre l'université ou se débrouiller tout seul pour faire valoir notre formation ou la rentabiliser dans des démarches professionnelles.

Les professeurs proposent des séminaires très intéressant complet, ouvrant la réflexion de l'étudiant.

Il y a de nombreux éléments qui font vivre la fac mais les informations sont à aller chercher.

La disponibilité des salles est souvent complexe notamment depuis la fermeture de plusieurs salles pour cause d'amiante. Le problème devrait être résolu avec le déménagement de la fac.

Les stages ne sont pas obligatoires mais remplace des cours. Cependant, le cursus ne dispose pas de temps dédié au stage, ce qui peut-être compliqué.

Certains profs sont géniaux, d'autres insupportables.

Sans plus.

C'est pas très beau à part le bâtiment D.

Je ne peux pas dire, je n'en ai pas fait. Mais notre fac ne nous prépare pas au vrai monde.

Les professeurs sont, pour ce qui est des courts de pratique des professionnels du spectacle vivant qui en général on un très bon parcours (Nicolas Lormeau, Koffi Kwahulé, Serge Tranvouez, pour ne citer qu'eux) et les professeurs qui dispensent les cours théorique sont des pointures dans leur domaine (Josette Féral, Frédéric Morin, Sylvie Perault, et j'en passe). Les professeurs ayant un très grand réseau les cours se passent parfois dans des lieux exceptionnel, et on voit des choses qui ne sont pas donnés à tous le monde, il est également fréquent de rencontrer des personnalités du théâtre grâce aux professeurs. De plus les professeurs sont dans l'ensemble toujours disponible pour dispenser conseils et aider les étudiants dans leurs projets et les guider au mieux.

Les locaux de Censiers méritent un rafraîchissement , cependant la localisation de l’université est idéale. Pour ce qui est des infrastructures il y a de bons équipement pour le pôle Etudes Théâtrale, une cinémathèque passe des films de répertoire deux fois par jours et l'université dispose de bibliothèque très complète (Gaston Baty pour l'IET)

Les professeurs sont pour la plupart très compétents, connaissent bien leurs sujets et savent transmettre leurs connaissances de manière intéressante. Ils ont tous un contact avec le monde du spectacle vivant d'une manière ou d'une autre que ce soit parce qu'ils sont eux-mêmes metteurs en scène, comédiens, critiques, auteurs d'essais...

L'UNEF s'octroie probablement trop de droits... Il y a parfois trop de politique voulue à grande échelle et pas assez d'intérêt porté à l'établissement et à son microcosme eux-mêmes. D'un point de vue des offres faites aux étudiants, il y a de grandes possibilités grâce à la billetterie de la fac qui offre des tarifs préférentiels pour des spectacles et des expos. De la même manière, il y a des projections de films toutes les semaines dans les locaux mêmes. Il y a aussi un grand choix d'activités.

Le bâtiment principal est un peu vieux mais il est loin d'être aussi vétuste que les gens veulent le faire croire. Il y a des salles adaptées à toutes sortes de groupes (petits ou gros effectifs, tables rondes, salle de cours "classique", salle de pratique...). Il pourrait y avoir une salle de pratique plus grande et vu l'importance du théâtre dans l'université, une salle de spectacle. Le bâtiment est (pour l'instant) idéalement placé au cœur de Paris.

A cause de la suppression de la prise en compte des absences, les administrations nous prennent moins au sérieux. De même, certaines filières n'ont plus de stage obligatoire; c'est la croix et la bannière pour prouver que l'on veut vraiment en faire un et pour obtenir les autorisations requises.